Outils de veille : Pourquoi faire compliqué…
05 Oct 2012, Posté par Outils dans… lorsque l’on peut faire simple ?
A l’heure où l’on parle de plus en plus de partage de l’information, la contrainte d’une ergonomie réellement orientée utilisateur devient fondamentale.
– Exit les outils nécessitant des paramétrages complexes ?
– Exit les outils nécessitant une formation préalable pour ses utilisateurs ?
Ce postulat annoncerait-il la mort de certaines entreprises (si celles-ci ne se remettent pas en cause en opérant un lifting complet de leurs produits pour revenir à l’essentiel). Lorsque l’on teste certains outils, on est en droit de se poser la question si ces sociétés ne sont pas tombés dans le piège du « Monsieur + » en proposant des outils toujours plus complexes… en y ajoutant continuellement de nouvelles fonctionnalités (parfois anecdotiques), ne serait que pour légitimer une augmentation du coût annuel.
N’en déplaise à ces pseudos experts de la veille qui se valorisent à travers l’utilisation d’un outil que ?eux seuls au sein de leur entreprise peuvent utiliser.
Pourtant n’avons-nous pas eu de précédent dans d’autres métiers. Pour un ingénieur mécanicien par exemple, la maitrise d’un logiciel de CAO fait-il de lui un bon concepteur ? Le retour d’expérience nous prouve le contraire. Alors à quel titre, dans les métiers de la veille et de l’intelligence économique, nous pourrions penser autrement.
C’est bien dans l’analyse que le veilleur trouvera son salut et à trop vouloir s’équiper, certains en oublieraient la partie noble de leur métier.
L’outil doit rester le support en facilitant les phases à faible valeur ajoutée que sont la surveillance, la collecte, la diffusion et le partage de l’information.
Avec l’arrivée des réseaux sociaux interne d’entreprise, une nouvelle tendance n’est-il pas en train de se dessiner ?