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Une petite révision ou mise au point sur les formats d’images pour le web:

Les formats print:
Fait pour l’impression, à convertir pour le web.
Classiques: Tiff, et BMP (Bitmap)
Et plus exotiques et/ou polyvalents: Dicom, DCX, Targa, PCX, Pixar, Scitex…
La résolution standard sur le web est 300 dpi (Dot per Inch) soit 300 pixels sur 2.54 cm.
La colorimétrie print est le CMJN (Cyan-Magenta-Jaune-Vert) ou synthèse additive.

Les formats web/
Résolution standard 72 dpi soit 72 pixels pour 2,54 cm.
La colorimétrie standard est le RVB (Rouge-Bleu-Vert) ou synthèse soustractive.

– Le .jpg ou jpeg, pour « Joint Photographic Experts Group » est l’un des premiers format compressé pour le web. Particulièrement conseillé pour la photo grâce à sa bonne qualité d’image et son amplitude de résolution, on le retrouve d’ailleurs partout comme standard en photo, vidéo, smartphone… Meilleur choix donc pour afficher une phot sur internet standard (sans détourage) car la transparence n’est pas prise en compte.

– Le .gif pour « Graphics Interchange Format », inventé en 1987 spécialement pour le web. Format très compressé en 8/16/24/64 bits, gère parfaitement la transparence et les animations (Gif animé). S’adresse plus aux logos, illustrations et graphiques que les photos dû à la très forte compression qui privilégie le poids au détriment de la qualité. Après avoir connu une éclipse, ce format revient sur le devant de la scène depuis quelques années grâce à la possibilité d’exporter facilement des extraits de vidéos sans en passer par des plugins et embeds des formats vidéos.

– Le .png pour « Portable Network Graphics », format plus récent (1996) se présentant comme une version très améliorée du gif. « lossless bitmap image format ». De qualité très supérieure il gère toujours la transparence, et de manière beaucoup plus fine, avec des transitions alors que le gif ne permet aucune gradation (on passe d’une opacité 100% à une opacité 0%). Très largement utilisé sur le web aujourd’hui en complément du jpg.

– Le .svg pour « Scalable Vector Graphics » (1999). Si vous êtes un usager de wikipedia vous devez le connaître puisque ce format open source s’est largement fait connaître grâce à ce site. C’est un format comparable au .png qui commence à s’imposer depuis le début des années 2000. Il permet aussi la gestion des animations et des transparences, est de base vectorielle (coordonnées de formes et couleurs plutôt que comptages de pixels) et supporte même l’aimation 3d. Il peut contenir des instructions supplémentaires depuis un fichier XML ce qui donne plus de latitude que pour une image classique. Il supporte bien également l’encodage en base 64 bits.

Alors que choisir ?
– La photo ? Sans hésitation, jpg. Directement depuis votre appareil photo, smartphone, ect. Attention toutefois la résolution de ces derniers peut être 300 dpi par défaut, pour l’impression papier. Il faudra trouver un logiciel qui permette de diminuer la résolution à 72 dpi.
– Des extraits de vidéos ? Si c’est court (5 secondes), le gif animé est parfait. Parfait aussi si vous n’avez besoin que d’un graphisme très léger, un simple carré de couleur par exemple.
– Des images avec transparences ? Png ou Svg. Attention toutefois pour le second qui n’est pas encore supporté par tout les navigateurs, et les anciennes versions.

A signaler que vous pouvez aussi agrémenter vos images avec du code (style CSS), mais à vos risques et périls car le rendu sera différent selon les navigateurs, ce qui n’est pas le cas pour une image, toujours interprétée de la même façon.
Exemples: Bordures transparente ou couleur, dégradés, ombrages, effets de rollover (interactivité)…

Depuis que les sites doivent êtres « responsives » (auto-adaptables aux smartphones/tablettes) Vous pouvez aussi remplacer certaines images par des pictogrammes vectoriels. Il en existe des milliers venant de nombreuses banques actuellement. L’un des standards les plus utilisés, avec Bootstrap (architecture responsive) comme Fonts Awesome. Viedoc.fr en affiche sur les pages de présentation.

Après d’autres réseaux sociaux c’est au tour de Youtube de fermer la porte aux flux RSS.
Pour être plus précis, Youtube arrête la compilation de données résultant sur des flux « composites », basé sur des requêtes, ce qui était bien pratique pour mettre en surveillance des milliers de vidéos, et de se constituer son propre mur de vidéos embeddées à thème.

On ne peut que regretter ce choix qui est doublement motivé sans doute par le temps et le coût de développer l’API (version officielle) et comme pour d’autres réseaux sociaux de garder les utilisateurs « à demeure » lorsqu’un flux RSS permet d’exporter une requête qui pourrait être satisfaire sur youtube même (Manque à gagner évident pour les annonceurs).

L’export de vidéos (embed) qui pourtant dévore de la bande passante n’est pour l’instant heureusement pas remis en question. Cette API disparue est l’API v2. Lorsque l’on tape la requête on a désormais la mention « no longer available ».

L’API v3 est en beta pour l’instant et nettement plus complexe d’utilisation. Yahoo Pipes étant sur la fin également, c’est encore une alternative qui s’en va définitivement.

Officiellement Youtube offre la possibilité de faire des souscriptions à des flux sous la forme d’un fichier OPML dont l’adresse se trouve ici. Toutefois le procédé est fastidieux. On peut aussi, en étant connecté à son compte youtube télécharger le fichier OPML et l’en voyer sur Feedly, (« Organiser », à gauche, « Importer OPML ». Une fois le fichier chargé il va créer un dossier avec les RSS individuels de tous vos souscriptions rss pour ajouts dans le reader. Pas aussi utile que l’ancien mais il fonctionne relativement bien. On peut aussi se replier sur l’excellent API Github de Seb sauvage: https://github.com/sebsauvage/rss-bridge.

Ou bien sûr, utiliser RSS Monitoring, qui dispose de ses propres API de surveillance…

Alors quelles étaient ces requêtes ?
Nous avions parlé de cette possibilité de suivre les réseaux sociaux depuis leurs flux RSS. Depuis l’hécatombe s’est poursuivie.

Suivre un compte précis: https://gdata.youtube.com/feeds/api/users/-/uploads
Et surtout, suivre un fil d’actualité issu d’une requête: https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos/-/
Ou bien https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos?q=&orderby=relevance
https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos?q=&orderby=published
https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos?q=&orderby=viewcount

Pour suivre un compte maintenant c’est:
https://www.youtube.com/feeds/videos.xml?user=viedoc
https://www.youtube.com/feeds/videos.xml?channel_id=UCe2J3cFALUjxa47QD3bA-7g
https://www.youtube.com/feeds/videos.xml?user=USERNAME

Pour en savoir plus : https://www.reddit.com/r/youtube/comments/339idg/youtube_just_dropped_its_support_for_rssatom_feeds/

V.Suggest: Comment surveiller plus de sources ?

Chaque jour, des sources disparaissent et d’autres voient le jour. Dès lors, il devient primordial de mettre à jour régulièrement son sourcing.

Pour vous aider, Viedoc a développé et intégré à son outil de veille la fonctionnalité V-Suggest.

Chaque fois que vous l’activez, l’algorithme V.Suggest analyse vos sources actives pour vous proposer entre 25 et 50 sources nouvelles en relation avec votre secteur.

V.Suggest

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V.Letter – La veille des newsletters

13 Juil 2015, Posté par adminviedoc dans A la une, Outils

V.Letter: Vous en avez assez de voir votre boîte mail remplie de newsletters chaque semaine?

V.letters vous permet de vous abonner à des newsletters directement depuis l’interface de RSS Monitoring et surtout d’y effectuer des recherches.

Viedoc propose déjà plus de 800 abonnements, sur plus de 90 sujets différents. Vous pouvez donc choisir des newsletters existantes, en ajouter de nouvelles, et gérer vos abonnements de façon centralisée.

V.Letter

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V.Track – Vos tableaux de bord sur mesure

09 Juil 2015, Posté par adminviedoc dans A la une, Outils

V.Track: R&D, Marketing, Communication, Ventes …
Comment faire si mes utilisateurs n’ont pas les mêmes centres d’intérêt ?

V. Track permet à chaque utilisateur de configurer ses tableaux de bords personnels, en ciblant ses propres domaines d’intérêt.

Construits à partir de vos sources préférées ou de requêtes par mots clés, les tableaux de bords sont illimités.

Les différentes fonctions de partage et de diffusion sont accessibles directement depuis les tableaux de bord, pour une circulation rapide de l’information au sein de votre organisation.

 

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SEO: Les 7 étapes de la pyramide de liens

08 Juil 2015, Posté par adminviedoc dans Digital

Nous avons évoqué déjà le silo dans ces pages, sans entrer dans les détails. Mais connaissez-vous la pyramide de liens ?
Plus anciennes que les silos (parmi les monuments du Black Hat SEO, ce sont des merveilles antiques!), elles ont été largement érodées par les algorithmes de google, Panda en particulier. Le concept est né vers 2005-2006 et nombre de sites ont pu se hisser haut sur l’horizon des recherches grâce à ces techniques éprouvées et maintenant en partie obsolètes. Cet article est donc aussi bien un avertissement qu’une indication des éléments qui pourraient le cas échéant être repris en tout ou partie dans du grey hat SEO:

A l’instar des anciennes pyramides de Gizeh en Egypte, les blocs de construction de la base sont l’oeuvre d’esclaves, ici des liens « spammy » en quantité industrielle. La grande idée derrière est que la pyramide est construite par niveaux de sites successifs qui se passent le « mauvais jus » et le filtrent, étape après étape, à travers des strates de plus en plus vues comme « légitime » par google. La règle d’or est que les sites successifs se passent le jus de manière latérale ou vers le haut, jamais vers le bas.

1- Construire la base:
Il s’agit en tout premier lieu de construire des sites internet gratuits de manière massive, sur un des plateformes de blogging ou sur Squidoo. Ces sites doivent être absolument sans pubs. Ces sites doivent avoir des liens vers d’autres sites extérieurs de qualité supérieure, et pointer également vers d’autres sites plus haut (2e niveau), mais à vous. La diversité est importante. Les sites en question sont évidemment relatifs à la thématique, et si possible couvrir en contenus toutes les sémantiques connexes et associées, sans pour autant avoir « quelque chose à vendre ».

2- Ajuster la base:
Ce premier niveau va surtout servir de variable d’ajustement, en ouvrant ou coupant les vannes à volonté. En effet, il sera possible d’expérimenter le spamming des sites supérieurs et les faire acquérir du jus jusqu’à ce que les sites de la base soient bannis. Vu la quantité et basse qualités des liens, un logiciel est utilisé pour la gestion.

3- Construire le second niveau: Le hosting.
Il s’agit de domaines au nom n’évoquant pas(trop) le spam, établis chez des hosteurs gratuits ou bas de gamme, mutualisés et en grand nombre. Dans l’idéal chaque site devrait avoir son propre hébergement séparé pour créer l’illusion de la diversité aux yeux de google, mais cela est réservé aux niveaux supérieurs. la facteur coût est important ici.

4- Construire une ferme de liens de qualité intermédiaire.
Sur ce second niveau, les liens ne doivent jamais descendre. Ils sont toujours latéraux ou vers le haut. Les sites sont de bien meilleure qualité générale, peuvent bénéficier de liens achetés, du jus venant d’annuaires (spécialisés si possible) et de la presse. Quelques pubs sont acceptables pour leur financement.

5- Construire le troisième niveau.
Ce troisième niveau va servir finalement à passer le jus vers votre site final, de monétisation. Ces sites sont prêts pour le prime time, avec un design et une ergonomie soignée, des flux rss, et sont vos sites d’autorité et de niche, plus récemment avec leur propres fan-base sur les réseaux sociaux.

6- Construire un linking varié et de qualité.
Leurs liens proviennent du niveau 2 de la pyramide, combinés avec des liens achetés, du linkbaiting, des liens manuel de qualité avec optimisation variable, mais aussi un spamming de liens très ciblé et contrôlés. Ces sites peuvent faire de l’argent, mais leur véritable but est bien d’envoyer du jus de qualité vers la cime de la pyramide.

7- Mettre en place le sommet: Votre money site.
Il s’agit bien d’un site immaculé, white hat, que l’on souhaite présenter à Google. C’est tout le travail effectué sur les niveaux inférieurs qui paye. C’est en général un site boutique très bien optimisé, pour lequel des bloggeurs, influenceurs et liens payés travaillent en amont. Il peut bénéficier aussi d’une sélection draconnienne de liens (par Link ninja), avec ajustements sur le long terme.

Au final, il est important de ne laisser aucun « biscuit » à google pour vous retracer pendant cette construction. Pas de suivi google analytics, ni adwords pour la monétisation, etc. Votre nom ne doit être associé à aucun de ces sites et vous devez surfer dessus sur un autre navigateur que chrome, si possible en anonyme pour contrôler le travail.

V.Social: Vous intéressez vous à ce que l’on dit de votre organisation, de votre marque ou de vos concurrents sur les réseaux sociaux ?

Les réseaux sociaux sont aujourd’hui une mine d’information sur laquelle on ne peut pas passer à côté. Pour en faciliter la surveillance, Viedoc a créé V.Social et l’intègre à sa gamme d’outils. Cette fonctionnalité vous permet de suivre Facebook, Twitter, Instagram, Youtube et Slideshare directement depuis une plateforme unique de surveillance.
Vous pouvez configurer jusqu’à 10 requêtes par réseau, soit 50 requêtes au total, via des mots-clés ou l’URL de pages publiques.
De nouveaux connecteurs permettront bientôt de supporter d’autres réseaux sociaux.

En cas de crise ou de campagne agressive sur vos produits, votre marque ou vos services, vous serez maintenant capables de surveiller, réagir et mesurer tout ce qui se dit.

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La veille stratégique au Québec

01 Juil 2015, Posté par adminviedoc dans A la une, Actualités, Outils

La notion de veille stratégique se démocratise de plus en plus au Québec, mais c’est encore loin d’être une activité connue de tous.

Il s’agit là pourtant d’une aide précieuse à la prise de décision pour toute compagnie ou administration, basé sur l’analyse des évolutions et tendances. La veille stratégique apporte 2 avantages majeurs : une meilleure réactivité face à un changement de son environnement (marché, concurrence, technologie, brevets, juridique) et une prise de décision basée sur des faits avérés, mesurés.

La veille stratégique bénéficie aujourd’hui à de nombreux secteurs d’activité tels que la santé, par exemple au Réseau de recherche en santé des populations du Québec. On remarque que de plus en plus d’employés de grandes institutions bancaires canadiennes affichent des fonctions d’analyste de l’information ou en intelligence d’affaires sur les réseaux sociaux. Enfin, les offres d’emploi en lien avec la recherche stratégique d’informations sont maintenant beaucoup plus fréquentes qu’il y a quelques années.

Voyons avec un exemple local et concret, comment certains secteurs d’activité ont adopté ces nouveaux outils depuis quelques années : nous parlerons ici du secteur du tourisme, largement impacté par l’avènement du web.

Le Québec étant devenu une destination phare en Amérique du Nord pour de nombreux touristes Européens, le marché du tourisme connait aujourd’hui un nombre d’acteurs en forte hausse. Cette concurrence oblige chaque compagnie à surveiller de très près son environnement, pour comprendre les indicateurs touristiques et anticiper les nouvelles tendances qui se dessinent.

A titre d’exemple, le site Tourisme Québec édité par le ministère du Tourisme du Québec comporte plus de 10.000 pages et propose la consultation de bulletins et autres infolettres sur les normes, politiques, statistiques et sujets liés au tourisme. C’est un vaste écosystème qui est ainsi décrit et proposé aux internautes.

Le site veilletourisme.ca est quant à lui, une initiative de l’École des Sciences de la Gestion de l’Université du Québec à Montréal et a vu le jour en 2004. Il offre la possibilité de suivre les tendances de l’industrie touristique québécoise, grâce à une équipe d’analystes dédiés. Cet organisme, qui publie entre 10 et 15 nouveaux billets chaque mois, considère qu’« avec les années, l’industrie touristique saisit davantage l’utilité et la pertinence de la veille stratégique ».

Veilletourisme.ca, totalisant 26 000 visites et plus de 100 000 pages vues chaque mois, est la démonstration qu’un suivi méthodique et régulier de son secteur d’activité est maintenant devenu un incontournable pour toute compagnie aux prises avec la concurrence et soucieuse de se différencier.

Refermons cette parenthèse en citant Nicole Ménard, Ministre du tourisme: « d’ici 2020, nous visons une croissance annuelle moyenne de 5 % des recettes touristiques, soit une augmentation de 7 milliards de dollars qui se traduira par l’accueil de 7 millions de visiteurs de plus et par la création de 50 000 nouveaux emplois. » (rapport de lAssociation québécoise de lindustrie touristique).

Toutes les compagnies ne disposent pas d’une cellule de veille dédiée et n’ont pas forcément autant de chance que celles du secteur du tourisme.

Il faut noter que s’appuyer sur des ressources gratuites et de qualité n’est pas permis a tout le monde et comporte aussi une part de risque. La disparition pure et simple de la ressource peut survenir, privant la compagnie de sa « boussole ».

Aussi, nous constatons que les services de communication et marketing, ou encore les service de R&D, pratiquent une veille plutôt ad-hoc. Le plus souvent, nos interlocuteurs sont créatifs et très enthousiastes mais travaillent de façon empirique et à temps partiel.

Un autre constat s’impose : lorsque veille il y a, celle ci est très souvent centrée sur la presse. La veille médias semble en effet être omniprésente, parfois au détriment de la veille technologique et de l’analyse concurrentielle.

Qu’ils soient gratuits ou payants, il existe pourtant aujourd’hui sur le marché des outils qui facilitent la mise en oeuvre de la veille. Ces outils aident à la surveillance, la recherche mais aussi la diffusion des informations utiles à vos activités.

Une chose est sûre : La veille stratégique devient un avantage pour toute compagnie devant déterminer ses orientations futures, maintenir sa position sur le marché et influencer rapidement les prises de décision.

Si ce n’est aujourd’hui pas encore une spécialité aussi répandue au Québec qu’en Europe, certaines universités québécoises proposent déjà des formations menant aux métiers de la veille stratégique. Elles sont le plus souvent reliées aux technologies de l’information et a l’intelligence d’affaires (« BI »). Dans le cadre de diplômes en communication ou en administration, il existe aussi des cours liés à la veille et à l’intelligence économique.

Nous parlerons prochainement de ces différentes filières, pour comprendre leur rôle dans le développement de la veille stratégique.

Sites mobiles: Il est temps de devenir compatible !

25 Juin 2015, Posté par D. Bocquelet dans A la une, Digital

Depuis la mise à jour du 21 avril dernier de Google, annoncée depuis janvier 2015, il a été établi par le géant de Mountain View que les sites « mobile friendly » ou encore sites mobiles c’est à dire construits pour être compatibles mobiles, bénéficieront d’un bonus dans les résultats de recherche lorsque ils sont affichés sur mobile. Cette mesure ne change rien pour les sites de l’ancienne génération affichés sur PC, sinon une très légère baisse de fréquentation générale, mais force est de constater que cette mesure, couplée à l’évolution des modes de consommation des internautes créé de fait un internet à deux vitesse. Entre les sites « responsive » (le terme technique utilisé par les webdesigners) et les sites de l’ancienne génération (conçus pour écran PC) l’écart se creuse… vite.

Quelques chiffres:
– En juin 2014, près de la moitié des français surfent sur mobile, 75% des moins de 30 ans. Le panel s’est plus équilibré depuis 2012, et comprends maintenant 50% de +35 ans et une plus grande portion est féminine.
– En 2014 les achats sur mobile/tablette ont augmenté de 50%.
(src: sondage médiamétrie 2014)

Au final: Un site responsive est donc plus visible, mieux lu, entraîne plus de conversions et de ventes, donc de chiffre d’affaire.

Attention toutefois de relativiser son public cible. La compatibilité des sites mobiles profite surtout au BtoC (Business to Consumer), et donc aux services de proximité, commerçants, restaurants, salons de beauté/coiffure, etc. A ce titre en complément du site, une page facebook est un excellent moyen d’augmenter son chiffre d’affaire, en créant progressivement une communauté active de followers. Il suffit pour cela de poster de temps en temps, depuis son mobile justement lorsqu’on dispose de l’application, en particulier lorsque son métier est visuel ou se prête aux visuels. Il permet de fidéliser ses clients et d’en trouver d’autres. Un site responsive et une page facebook en complément sont des recettes qui marchent très bien.

Pour le BtoB, les personnes recherchant un prestataire en rapport avec leur métier utilisent généralement leur PC, étant à leur poste de travail. La portion « nomade » de professionnels utilisant leur mobile existe bel et bien toutefois, mais elle représente une fraction réduite des visites à but BtoB. Les possesseurs de site web auront donc plutôt tendance à ne « pas se presser » pour effectuer cette conversion, qui peut dans certains cas nécessiter un audit et une refonte sur devis dont le budget peut avoisiner plusieurs milliers d’euros pour un site important. Pour les sites utilisant une architecture CMS (Comme wordpress, Joomla, Drupal…) les templates récents sont le plus souvent responsive, donc la compatibilité est déjà présente. Pour ceux donc le template commence à dater, il est possible de changer de template à peu de frais et d’en profiter pourquoi pas pour entreprendre une refonte et une modernisation du site…

Un aspect à prendre en compte pour la transition numérique des entreprises
Le fait d’être présent sur mobile présente une corrélation certaine avec sa propre présence sur les réseaux sociaux. Cela consiste de manière générale à se rapprocher tout simplement d’un auditoire devenu « nomade » dans ses modes de consommation d’internet, et dont les réseaux sociaux constituent la première consultation régulière après les mail et le surf sur Google. En tête de tiercé, Facebook, Twitter, Linkedin/Viadeo dans une optique plus professionnelle mais aussi les réseaux sociaux d’images (prisés par les -30 ans): Pinterest et Instagram.

Viedoc Solutions propose tous type de conversion responsive (compatibles tablettes/mobile) et des audits et des études de présence pour effectuer une transition numérique efficace.

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Vivez une nouvelle expérience de la veille…

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Cela fait plusieurs jours que Viedoc vous annonce le lancement imminent de sa plateforme de veille. Après plusieurs mois de développement, de multiples béta tests et beaucoup de volonté, nos clients actuels (et futurs) peuvent, à partir d’aujourd’hui, effectuer leurs activités de veille sur la nouvelle version de RSS Monitoring.

Doté de nombreuses fonctionnalités innovantes, RSS Monitoring permet d’organiser sa veille de façon simple et efficace.

Cette semaine, nous vous avons présenté 3 de ces fonctionnalités: V-Feed, V-Gen et V-Search.

D’autres fonctionnalités vous seront présentées dans les jours et semaines à venir.

 

Pourquoi choisir RSS Monitoring ?

 

  • Nous l’utilisons.

Solution développée à l’origine en interne pour les consultants de Viedoc afin de rechercher, collecter et diffuser l’information, cette nouvelle version plus performante saura combler vos attentes en matière d’outil de veille professionnel, pour n’en retirer que les informations pertinentes dont vous avez réellement besoin.

 

  • Nous vous accompagnons.

Derrière RSS Monitoring, c’est aussi une équipe dédiée pour vous conseiller, vous accompagner dans le déploiement et la personnalisation de l’outil, et un support technique sans faille.

Vos équipes (50 utilisateurs inclus de base dans RSS Monitoring), seront formés pour une utilisation facile et optimale. Notre accompagnement vous garantit un déploiement rapide et un retour sur investissement à la hauteur de vos attentes.

 

  • Nous nous engageons.

En tant que veilleurs professionnels, nous tenons au respect de la confidentialité et du secret d’affaires de tous nos clients. L’éthique et la discrétion font parties intégrantes de nos fondamentaux.

 

Contactez-nous dès maintenant pour une démonstration !