viedoc

Les entreprises qui mettent en place une démarche de veille stratégique ne peuvent aujourd’hui faire l’impasse de la surveillance des réseaux sociaux.

Que ce soit pour suivre l’actualité de son marché, identifier de nouvelles tendances ou encore savoir tout ce qui se dit d’une marque en temps réel, la surveillance des réseaux sociaux est devenue fondamentale.

D’autre part, les résultats de l’étude de Statista ( www.statista.com) sur les réseaux sociaux les plus utilisés par les professionnels américains du marketing en 2014, montrent que ne surveiller qu’un seul de ces réseaux est loin d’être suffisant.

Infographic: How Marketers Use Social Media | Statista

Le souci, comme toujours en matière de veille stratégique, c’est donc la multiplication des sources d’information.

Les réseaux sociaux n’échappent pas en effet à cette mouvance puisque il en apparait de nouveaux régulièrement.

Avec la coexistence de réseaux sociaux généralistes ou spécialisés dans la photo, la vidéo, la musique, des réseaux sociaux pour les entreprises et les marques ou s’adressant à des communautés, il est donc nécessaire d’utiliser des agrégateurs de façon à se simplifier la tache et surtout optimiser le temps nécessaire à la surveillance de plusieurs réseaux sociaux.

Il existe, certes, des outils gratuits, qui peuvent être efficaces si la démarche de veille pour l’entreprise se limite à la surveillance de quelques réseaux sociaux, ou si le facteur temps n’est pas limitant…

Dans le cadre d’une démarche de veille stratégique structurée et efficace, les entreprises ont tout intérêt à se doter d’une solution de veille complète associant la surveillance du web (site internet des concurrents, blogs d’experts, presse spécialisée…) au suivi des réseaux sociaux comme cela est le cas sur les outils de veille sur mesure développés par Viedoc.

Comment cela se présente-t-il sur RSS Sourcing ?

Sur une page dédiée à la surveillance des réseaux sociaux (associée à une gestion fine des droits),  vous mettez en place très facilement une ou plusieurs requêtes sur chacun des réseaux sélectionnés et ce, sans qu’aucune compétence informatique soit nécessaire.

En fonction du réseau social (Facebook, Twitter, SlideShare, Instagram, Youtube…), plusieurs possibilités de requêtes vous seront proposées.

Par exemple pour Twitter, vous pourrez surveiller tous les tweets :

  • par mots clés,
  • contenant un hashtag (par exemple : #veille),
  • mentionnant un compte twitter (@dior),
  • publiés par une personne (from:chanel)

Une fois vos requêtes mises en place, vous obtiendrez sur une unique interface de visualisation un suivi en temps réel de tous les « posts » répondant à vos attentes, publiés  sur les différents réseaux sociaux.

Des possibilités de filtrage par réseaux social, par requête… vous sont également proposées,  vous permettant ainsi d’optimiser votre veille et d’établir votre sélection des posts les plus pertinents.

 

Avec le suivi des réseaux sociaux, RSS Sourcing est plus que jamais LA solution de veille simple et abordable, indispensable à toute entreprise qui souhaite s’inscrire dans une véritable démarche de veille stratégique.

 

Les atouts référencement pour 2015

04 Sep 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Avec la nouvelle donne provoquée par l’introduction du nouvel algorithme Hummingbird, on a assisté à un « coup de torchon » magistral sur les pratiques « black hat », à commencer par une dépréciation massive et sans appel des liens « de faible qualité ». Cela donne paradoxalement une nouvelle motivation aux pirates du web, prêts à effectuer du NSEO envers le site d’un concurrent en utilisant pour cela un des nombreux sites « 1000 liens automatiques » qui survivent encore quelque part sur la toile. La notion d’authorship a été grandement appréciée, ce qui force les bloggeurs à rechercher des liens venant de sites d’autorité eux-mêmes, ou en faisant du « push » pour en obtenir de manière apparemment « naturelle ». La complexité derrière cette appréciation reste l’un des secrets de l’algorithme et a été certainement été une question plus complexe à traiter que d’autres aspects techniques. Enfin, troisième volet, la prééminence renforcée du contenu. Cela s’est accompagné par un net gain du « not provided » interdisant aux référenceurs de jauger de l’efficacité de leurs mots-clés sur Google analytics. Sans aller jusqu’à dire que le « SEO est mort », vieille rengaine peu crédible, on se concentrera donc sur l’essentiel une fois encore.

Sans surprise en effet, Google poursuit sa traque des fraudeurs du web, des techniques « limites » dont la frontière, grise, devient de plus en plus floue et recule de manière drastique selon tous les indicateurs provenant de la communauté SEO. Les bases du SEO ne changent en effet pas vraiment. Il s’agit de s’adapter rapidement aux nouvelles règles tout en conservant les anciennes « sans risque ». En ayant conscience que les enjeux n’ont fait que se renforcer, que la visibilité et le taux de conversion sont toujours plus difficiles à obtenir car pour le monde du commerce, la présence sur le web n’est plus une exception mais la règle, et surveiller la concurrence est plus que jamais au centre de ces efforts.

Linking : Le grand ménage. En effet, sans surprise, les sites ayant usé et abusé des « liens faciles » ont perdu des places. De nombreuses places, compensée par ailleurs par leur présence sur les réseaux sociaux, authorship, et le poids de leurs liens de qualité quand ils en avaient. 2014 Aura donc été l’occasion de faire un « ménage du printemps » et de revoir éventuellement la possible sur-optimisation des « bons liens ».

Du Contenu, du contenu, du contenu… Rien de bien nouveau sous le soleil. La tendance s’est confirmée. On doit désormais considérer comme l’optimisation pour les robots secondaires, et en revenir à des principes marketing terre à terre. Le ciblage doit être juste et le contenu calibré pour arriver au meilleur taux de conversion possible. Le relai sur les réseaux sociaux, là encore bien choisis selon la cible, avec une stratégie adaptée pour chacun, est là encore primordiale. Enfin, un contenu qui ne sera pas figé, nécessairement, ce qui implique de disposer d’un blog sur lequel créer un contenu « utile » qui sera susceptible d’être repris et partagé. Ce dernier point aura l’avantage supplémentaire de renforcer l’authorship du site ou de l’auteur des contenus. Selon l’étude de Vocus, les dix premier résultats sont des pages à plus de 2000 mots. Ce n’est pas une règle absolue, mais il semble que les contenus plus importants sont favorisés, passant de 500 à 1000 mots par exemple. En outre les pages d’accueil interminables à scroller (donc riches sémantiquement, à dessein) sont une tendance confirmée en webdesign.

Les réseaux sociaux indispensables. Selon tous nos indicateurs, la tendance s’est confirmée, non seulement pour les grands comme facebook ou twitter, mais aussi pour google+ qui se taille désormais une part du lion grâce aux croisements avec d’autres services comme google adwords et de la place privilégiée que Google fait à ses contenus sociaux relayés/partagés sur la toile.

Google+ en effet selon MOZ, a estimé que les posts partagés et reliés à un compte personnel renforçaient l’authorship et améliore le classement des contenus dans les résultats de recherche. Il semble aussi y avoir une corrélation assez nette entre les « +1 » affichés dans les mêmes SERPs provenant de ses cercles de connaissance proches, là encore apportant une crédibilité à l’authorship.

Il faut également penser toujours et plus encore en termes de diversité, en étant présent (là encore en communicant en fonction de sa cible), sur Instagram, Pinterest, ou les sites de vidéos Vimeo ou Vine. L’efficacité de cette présence doit être de plus en plus sérieusement prise en compte et l’est, indiscutablement pour Google.

Une présence sur mobile qui devient incontournable
Votre site n’est pas encore responsive ? Grossière erreur ! En effet tous nos indicateurs montrent que la part du trafic web concernant les mobiles a progressé de manière drastique entre 2013 et 2014. Les mobiles doivent êtres pris en considération comme un « web nomade » dont l’usage -au travail comme en loisirs- est devenu un réflexe. Qu’est ce qu’un design responsive ? Tout simplement la possibilité pour un site web de changer d’apparence en fonction de la taille de l’écran des utilisateurs et donc d’optimiser la lecture (donc réduire le taux de rebond et accroître le bénéfice de l’expérience utilisateur »). A ce titre la part des tablettes (pour qui un design web standard non-responsive ne pose pas trop de problèmes) recule au profit des mobiles, profitant de ventes dopées sur les samsung S3/4/mini et autres I-phones. Edit: Concernant les atouts référencement pour 2015, Google enfonce le clou sur la responsivité avec un nouvel algorithme dédié lancé le 21 avril 2015.

Comment ça marche concrètement ?

Typiquement une page d’accueil de blog « responsive » par exemple verra les onglets de son menu êtres disponibles en un menu déroulant tandis que vos actualités en 3-4 colonnes passeront en une seule colonne.

Il serait donc judicieux de:

  1. Vérifier comment d’affiche votre site web sur un mobile
  2. Envisager le cas échéant de le refaire complètement. Si c’est un CMS, prenez un nouveau template responsive.
  3. Eventuellement faire une version séparée, adaptée pour mobiles avec redirection automatique.
  4. Prenez aussi en compte la recherche vocale sur mobile.

ADWORDS évolue et est rendu plus indispensable.

Pour qui doute encore du « bien-fondé » d’investir dans le service publicitaire de google, quelques indications. Premièrement, outre le bénéfice d’une présence « premium » dans les SERPs, les bandeaux contextuels. Ensuite, les fameux « not provided » disparaissent comme par enchantement…

Parmi les nouveautés 2014, on citera :

Des annonces mieux ciblées. Le 22 juillet 2013, les campagnes universelles de Google Adwords ont vu un changement d’interface de l’apparition de nouveaux outils les internautes en fonction de leur localisation et horaires de leur requête. « Bid by distance » permet par exemple de jouer sur une enchère sur un mot-clé en relation avec la distance qui le sépare physiquement d’un point de vente. Les magasins peuvent dont être plus visibles dans leur propre zone de chalandise et diminuer leurs enchères après leurs heures de fermeture.

Un accroissement de l’intérêt des « informations utiles » pour les internautes au détriment du contenu avec les liens annexes du site sous le texte de l’annonce renvoyant sur les tarifs, coordonnées, contact, en général pages peu optimisées… Mais aussi  l’apparition du « click-to-call » sur mobile, l’itinéraire google maps géolocalisé, l’ajout d’images dans l’annonce google ads ou encore la collecte des adresses E-mail opt-in.

Des liens sponsorisés « responsive » changeant selon le média impliqué (mobile, PC ou tablette) avec une dépréciation en fonction de ce dernier. Notons que Google à tout fait pour pousser les propriétaires de sites à proposer une seule et unique version responsive de leur site web, ce qui rend un clair distinguo des résultats entre les deux versions éventuelles plus difficile. Selon Vincent de Mellon cela devrait avoir un impact sur le coût total de la campagne, avec une uniformisation des prix vers le haut car le CPC n’est plus relié à un média particulier.

Parler d’innovation en rendant hommage à Claude Piéplu, la fameuse voix des shadoks peut paraître surprenant et pourtant…

Lors de nos veilles salons ou de nos échanges avec des responsables R et D de tous secteurs, il nous arrive fréquemment de confronter les démarches d’innovation menées par des sociétés de nationalité différentes et de distinguer des particularités géographiques.

Certes il est difficile de faire des généralités dans le domaine de l’innovation tant la culture de l’entreprise, son cœur de métier et plus largement son activité peuvent influer sur l’organisation même de l’innovation au sein de la structure.

L’objet de cet article n’est pas de faire des propositions. En effet, de nombreuses études et autres publications existent avec leur lot de recommandations. Il s’agit plutôt de faire un constat, d’apporter un regard critique à travers le début d’une vision comparative.

Les USA ou quand l’art de la synthèse rejoint les enjeux commerciaux

D’abord, on vend… Ensuite, on innove !

Ainsi pourrait se résumer la stratégie d’innovation des entreprises américaines.

Comme le souligne Hervé Azoulay, président d’Invest Banlieues, c’est la créativité dans les usages qui permet de différencier les entreprises performantes. Par exemple, Apple a su saisir et adapter les idées des autres pour les transformer en synthèse créative avec l’iPod, qui ne comporte aucune technologie maison, mais qui a utilisé des technologies développées ailleurs.

 

La Corée, une grande capacité d’innovation et un sens poussé du service

Profitant de l’essor du continent asiatique et de la puissance de la Chine, les entreprises coréenne ont su relever le double défi d’innover et d’accroitre la reconnaissance de leur marque sur les marchés internationaux.

Aujourd’hui, la R&D coréenne est considérée comme étant parmi les meilleures au monde dans de nombreux domaines : NTIC, semi-conducteurs, batellerie, aciérie, automobile, cosmétique. Le nombre de demandes de brevets affiche un taux de croissance bien supérieur à celui d’autres pays.

S’appuyant sur des plateformes industrielles souvent de petite taille permettant une plus grande flexibilité et une très forte réactivité, il suffit de discuter avec un fournisseur coréen pour avoir l’impression que tout est possible en terme de sur-mesure et de personnalisation. Dans ce pays de technologie, les délais de développement sont courts en phase avec le renouvellement constant des produits.

La France, éternellement à la recherche de la solution qui changera le monde

Le bilan actuel de l’innovation en France est terrible et sans équivoque, notre impuissance et notre inefficacité s’imposent à la lucidité de chacun. La France s’est davantage intéressée à l’invention plutôt qu’à l’innovation, alors que d’autres pays s’organisaient afin d’acquérir de réelles compétences pour développer et commercialiser les innovations.

Si l’innovation constitue un facteur essentiel de compétitivité économique, elle ne saurait être réduite à la recherche et aux brevets. Notre compteur mesure les innovations en fonction des brevets détenus, contrairement à la Grande Bretagne qui considère la compétitivité et la créativité des entreprises comme le seul facteur clé de la mesure.

De plus, contrairement à l’amélioration continue, ces innovations « plus fondamentales que pratiques » engendrent une certaine frilosité au moment de leur commercialisation. Toute innovation comporte un risque d’échec commercial et de non-création de valeur pour l’entreprise des produits mis sur le marché. Le taux de réussite des produits innovants est souvent inférieur à 50 %, 25 % des produits étant retirés au bout d’un an et 50 % au bout de 2 ans. Le coût est phénoménal.

Se pose donc la question de la pertinence de l’offre, qui découle encore trop souvent d’innovations pensées seulement par la technique et mises sur le marché par des techniques marketing de push.

L’Allemagne, championne du monde de l’innovation

Leader incontesté de l’innovation en Europe, l’Allemagne domine aujourd’hui également le reste du globe dans ce secteur.

Cherchant à se positionner sur des technologies de rupture, l’Allemagne est notamment en pointe dans 4 secteurs que sont les systèmes d’énergies renouvelables, la biotechnologie moléculaire, les lasers et les logiciels d’ingénierie expérimentale.

Comme l’a si justement souligné Dan Breznitz, co-directeur du Laboratoire d’Innovation Politique à l’Université de Toronto «Le plus important c’est que l’Allemagne parvient à adapter ses innovations technologiques à son industrie et à les diffuser à son tissu d’entreprises. La force des Allemands est d’infuser dans d’anciennes techniques et d’anciennes procédures des idées neuves, ce qui permet à ces secteurs de connaître une nouvelle jeunesse.»

Ainsi, l’Allemagne ne cherche pas seulement à créer de nouvelles industries mais insuffle aussi du renouveau dans ses anciennes.

Qui n’est pas tombé sur l’un de ces instituts de recherche Fraunhofer en faisant des recherches pointues sur Internet. Elément clé de la capacité de l’Allemagne à innover, ces organismes sont financés à 66% par des contrats industriels. Les Fraunhofer réalisent des activités de recherche appliquée et sont spécialisés dans des domaines pour lesquels les demandes du marché sont fortes. On est bien loin de la recherche fondamentale et ces instituts sont aujourd’hui des acteurs majeurs du transfert technologique en Allemagne.

Avec une innovation centrée sur l’application, les inventions allemandes sont aujourd’hui omniprésentes dans notre vie quotidienne : l’imprimerie, l’automobile, la moto, la première ligne de tramway, le téléviseur (en partie), l’ordinateur, l’aspirine, les rayons X, le scanner, le format mp3, le filtre à café… et même le nounours en bonbon…

Et qu’en est il des jeunes entreprises innovantes ?

En 2012, Oséo se félicitait qu’en France, les entreprises créées pour porter un projet d’innovation étaient moins mortelles que les autres. La différence semble même considérable. Leur taux de pérennité à 5 ans est de 85%, alors que selon l’INSEE, ce taux est de 1 sur 2 pour la création dans son ensemble.

 

Et pourtant, saviez vous que le taux de survie des start up atteint 90% en Corée contre 5 à 6 % aux Etats Unis, ce qui laisse à penser que la politique coréenne vise à limiter les échecs à tous prix à grand coup de financement, au lieu de laisser les marchés reconnaître les projets les plus pertinents.

A l’heure où en France, innovation rime avec subventions, pire encore avec les CIR (Crédits d’Impot Recherche) où l’innovation n’est vue que d’un point de vue comptable, il est bon de rappeler qu’un produit, aussi bien conçu soit-il, n’a d’intérêt que s’il se vend …

C’est aussi ça l’innovation en France !

Tokyo Pack 2014: Le prochain couvert par Viedoc dans le cadre de sa prestation Veille Salon Packaging 2014, et l’évènement majeur du packaging  au Japon qui se tiendra du 7 au 10 octobre au Tokyo Big Sight.

Un consultant expert en veille et japonophone se rendra pour l’occasion au pays du soleil levant pour y découvrir les dernières innovations et les tendances en la matière.

Pour mémoire, l’offre Veille Salon Packaging 2014, c’est :

  • 5 salons majeurs du secteurs sur 3 continents : Interpack, Korea Pack, Tokyo Pack, Pack Expo et Emballage
  • 5 rapports d’étonnement complets remis dans les deux semaines suivant le salon
  • une synthèse remise en décembre et reprenant les innovations et tendances les plus marquantes de l’année
  • un tarif compétitif et tous frais compris

N’hésitez pas à nous contacter pour avoir plus d’information sur cette offre, et pour en savoir plus sur le salon Tokyo Pack 2014 sur www.tokyo-pack.jp/en/

L’outil de veille TPE-PME: RSS Sourcing

22 Août 2014, Posté par B.Galimand dans Outils

guide du routard de l'IEComme on peut le lire dans le Guide du routard de l’intelligence économique paru en 2012, l’intelligence économique, aujourd’hui n’est plus le domaine réservé de l’État et des multinationales.

De plus en plus, les TPE/PME sont sensibilisées à ses apports bénéfiques, au même titre que les collectivités publiques et territoriales. Mais de la sensibilisation à la pratique, il y a un monde !

En effet, un grand nombre d’actions a été déployé pour introduire la veille dans les TPE/PME jusqu’à peu cantonnée à une simple « prise de conscience ».

Des campagnes de sensibilisations menées par les CCI aux manœuvres d’accompagnement à la mise en place d’une cellule de veille par des spécialistes en passant par les diagnostiques ou encore les tentatives de mutualisation à travers notamment l’exemple des pôles de compétitivité, on a de cesse de relancer la problématique d’intégration de la veille et de l’intelligence économique au sein des TPE/PME.

A force de lire et d’entendre que la veille :

– Est un facteur de différenciation concurrentielle et de succès pour une entreprise

– Permet aux entreprises de se développer et de pérenniser leurs activités

– N’est pas une question de secteur d’activité ou de taille mais bien de volonté de la direction et d’organisation

On peut se demander si on ne joue pas la carte de l’auto persuasion !

Deux constats peuvent être faits sur ces actions menées depuis plus de 10 ans qui semblent atteindre leurs cibles mais pas leurs objectifs :

1- Les chefs d’entreprise après avoir reçu une sensibilisation à la veille retournent souvent à leurs pratiques antérieures en termes de gestion de l’information. Noyés sous d’autres fonctions jugées prioritaires (gestion des projets en cours et des équipes, prospection commerciale pour développer du chiffre d’affaire, suivi de la relation client…), la veille retrouve en effet rapidement un caractère secondaire avant d’être tout bonnement mise aux oubliettes.

2- Pour les plus téméraires, il y a aussi les outils de veille gratuits. Au vu du nombre de sensibilisations de plus en plus important sur ce thème, on pourrait penser que c’est là, la solution idéale. Certains revendiquent même haut et fort que  l’introduction d’un dispositif de veille dans ce type d’entreprise passe nécessairement par le biais d’outils de veille gratuits sur Internet.

La veille TPE-PME peut passer par un outil. Pourtant, il y a fort à parier que le temps nécessaire au paramétrage avant d’en voir un quelconque effet bénéfique en décourage le plus grand nombre. Il est effectivement difficilement envisageable, pour ne pas dire utopiste, d’imaginer qu’une personne va prendre le temps (sur son activité principale) d’identifier, de qualifier et d’intégrer à ces boites vides un volume de sources d’information suffisamment conséquent pour obtenir une véritable vision de son environnement.

pour une veille efficace : Rss Sourcing

On se demande alors comment sortir d’une impasse où une sensibilisation reste au stade de la « sensibilisation » sans se transformer en action concrète ?

Que doit on penser de ces initiatives visant à proposer d’intégrer un processus de veille dans des TPE/PME qui, de par de leurs taille et moyens n’en ont, pour la plupart, ni le temps ni la capacité humaine et financière ?

Les PME ont des  besoins en veille, mais les réponses apportées ne semblent pas être adaptées et suffisantes…

Les outils de veille thématique Rss Sourcing constituent une réponse pragmatique à la difficulté pour les non veilleurs à repérer et utiliser les flux Rss afin de suivre l’actualité de leurs domaines à travers un sourcing qualifié, une segmentation adaptée et un accès à une plateforme individuelle de gestion et de capitalisation des informations.

Selon notre retour d’expérience et les constats réalisés par les consultants Viedoc au sein de TPE/PME, la sensibilisation à la veille d’une entreprise peut effectivement se concrétiser rapidement par l’utilisation d’un outil mais la solution proposée doit être simple et clé en main  pour la rendre immédiatement opérationnelle et utilisable même par des non-initiés.

En d’autres termes :

« Je me connecte, j’obtiens des informations répondant à mes centres d’intérêt, sans pour autant être noyé par des informations à mille lieux de mon activité, le tout sans formation et paramétrage complexe ».

C’est dans cette optique que nous avons développé et que nous proposons des outils de veille thématiques et sectoriels clé en main.

Avec 9 domaines couverts à ce jour, nous espérons ainsi répondre au plus près aux besoins et attentes des TPE/PME en leur apportant tout notre savoir-faire et notre expertise dans la mise en place d’une démarche de veille structurée.

 

Un véritable couteau suisse de la veille

21 Août 2014, Posté par adminviedoc dans Outils

Toujours sur vous quand vous en avez besoin …

Marre de devoir utiliser toute une trousse à outils pour veiller.
Marre de devoir jongler avec une multitude d’applications pas toujours compatibles entre elles et à la durée de vie incertaine…

RSS Sourcing, véritable couteau suisse de la veille vous accompagne partout.
Taillé pour les forêts profondes de l’information, il surveille, collecte, alerte et vous permet de diffuser, partager vos découvertes en toute simplicité…

…et vous aurez une longueur d’avance sur les autres joyeux campeurs…

Un couteau suisse de la veille pour surveiller, extraire des informations, les râper, trancher, raboter, filtrer, et pour finir les lier ensemble avant de les diffuser.

Le site d’Archimag,  le magazine professionnel dédié aux stratégies et ressources de la Mémoire et du Savoir © a récemment fait peau neuve.

A travers ce site, l’entité Edition du groupe SERDA propose un annuaire des professionnels de l’information regroupés en 8 catégories, à savoir :

  • les sociétés de conseil et cabinets d’avocat ;
  • les institutions et associations ;
  • la formation initiale et continue ;
  • les entreprises de service du numérique ;
  • les producteurs et fournisseurs de contenu ;
  • les agences WEB et multimédia ;
  • les constructeurs, distributeurs de matériel ;
  • les éditeurs, distributeurs de logiciel.

Viedoc, société spécialisée en veille et intelligence économique depuis 2004, figure désormais dans les rubriques « sociétés de conseil » et éditeurs de logiciels.

En effet, depuis 2010 Viedoc propose avec Rss Sourcing des solutions de veille clés en main, abordables et agréablement simples d’utilisation.

 

Les réseaux sociaux avec RSS Sourcing

06 Août 2014, Posté par D. Bocquelet dans Outils

Découvrez aujourd’hui l’interface des réseaux sociaux dévoilé avec la V2.0 de RSS Sourcing. Cette nouvelle fonctionnalité apparaît au niveau du menu « actualités » qui comprends en outre le panneau de surveillance des bookmarks et celui des flux rss.

Comme nous l’avons évoqué auparavant avec la difficulté de suivre les réseaux sociaux à partir de leur flux rss, il est difficile de mettre en place de véritables « usines à gaz » pour suivre certains de ces réseaux, qui en outre mettent des barrières à l’affichage. Cela varie d’un réseau social à l’autre. Nous avons simplifié et automatisé ce processus de manière à suivre pour l’instant twitter, facebook et Youtube. Chaque réseau étant différent, les procédure et requêtes de recherche le sont également, ainsi que leur affichage. Par exemple, Youtube affiche un mur de vidéos… Nous allons voir le fonctionnement de cette fonctionnalité dans une animation interactive (carousel).

RSS-Sourcing: Présentation de l’interface 2.0

29 Juil 2014, Posté par D. Bocquelet dans Outils

Plus que des mots, une présentation visuelle est le moyen le plus rapide de décrire les changements survenus sur la Version 2.0 de RSS Sourcing.
Un présentation interactive (carousel). Vous pouvez aussi voir une animation. Une vidéo est aussi en cours de préparation.




























Les nouveautés rss sourcing

22 Juil 2014, Posté par D. Bocquelet dans Outils

Cet été nous allons vous proposer de découvrir la nouvelle interface de RSS-Sourcing. Elle sera portée bientôt sur les neuf outils de veille thématique de la marque. Cette interface a été modernisée en vue de plus de cohérence, d’ergonomie, et pour correspondre aux avancées dans le domaine du « responsive design ». Pour ne pas rentrer trop dans des détails techniques, il s’agit simplement de permettre un affichage optimisé sur les tablettes et mobiles.

RSS-Sourcing contrairement aux outils de veille thématiques n’est pas forcément déjà sourcé. Globalement identique pour son interface aux outils thématiques, il peut recevoir un sourcing propre à chaque client, lequel peut gérer également toute la personnalisation de l’outil via un back-office complet de gestion. On peut le présenter comme un intermédiaire entre une solution « clé en mains » comme les outils thématique et la solution RSS Intelligence, qui se dote en plus de nombreuses fonctionnalités supplémentaires, dont collaboratives.

– Les icônes : Sont des caractères vectoriels et non plus des images. Comme pas mal de CMS actuellement (donc les solutions de commerce Prestashop et Magento), ce système permet d’avoir des « images » virtuelles parfaites à toutes résolution et dont les caractéristiques comme la couleur et la taille se gère en code. Plus besoin d’une foule d’images en pixels. Sur l’outil cela se traduit par des icônes plus standards et rationnels, neutres au niveau des couleurs, afin de mieux mettre en valeur les couleurs des thématiques.

– Les boutons et arrière-plans : Sont traités entièrement en CSS. Ce qui signifie plus d’image non plus, ce qui pour les boutons donnent une grande souplesse d’adaptation, de même que les arrière-plans dont les dégradés s’auto-adaptent en fonction de la taille des popup-up et fenêtres appelées.

– Pour la solution personnalisée : RSS-Sourcing sur mesure doit en effet correspondre à la charte graphique de chaque client. L’utilisation de themes-enfant avec des éléments personnalisables en CSS dans ce cas est plus pour la souplesse de personnalisation. On peut en effet faire évoluer des éléments du thème principal sans toucher la personnalisation propre au client.

Les évolutions de RSS-Sourcing sur mesure :

  • Les réseaux sociaux, accessibles depuis la section « actualités » (représentée par le symbole « home »). Cet espace permet de mettre en surveillance une requête sur Twitter, facebook, et Instagram (pour l’instant). Surveiller les réseaux sociaux de manière automatique sans s’y connecter n’est pas simple…
  • Un menu secondaire qui permet de naviguer plus facilement dans le menu, et qui se retrouve aussi bien au niveau du front-office et du back-office. Caché sur le côté gauche, les boutons apparaissent au survol. Il permet par exemple notamment d’accéder directement au bookmarks ou de créér un bookmark depuis n’importe quelle page du front-office, et depuis le back-office d’accéder directement à l’onglet « bookmark en attente » par exemple.
  • Pour la recherche, l’ajout du filtrage par type de document, et de nouvelles chartes statistiques (google, en cours).
  • En option : Le générateur de flux RSS actuellement de série sur RSS Intelligence.
  • Un back-office complet, qui comprends :
    • Gestion des utilisateurs (droits, accès et d’édition à la newsletter, réseaux sociaux, génération de flux…)
    • Gestion des thématiques : Chaque client doit pouvoir créer, modifier, classer facilement ses propres thématique.
    • Gestion des sources : Un panneau complet de gestion des flux RSS (actifs, en attente, brisés…) et Bookmarks (sites).
    • Gestion des newsletters, avec la possibilité de publier en interne, en standard, ou en externe (destinataires hors outil) avec options.
    • Gestion des flux composites, afin de faire des envois ciblés de contenus commentés/modifiés à partir d’informations existantes
    • Un raccourci d’accès rapide à l’outil depuis le bureau (en cours).