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La nouvelle maquette de veille salon

28 Avr 2014, Posté par D. Bocquelet dans Digital, Veille Salon

Viedoc Solution travaille entre autres sur la refonte de Veille Salon (www.veillesalon.com).
C’est pour mémoire le premier service de veille événementielle, lancé en 2009.
Il propose :

  • Près de 25 000 salons, conférences, congrès, symposiums et autres événements professionnels
  • Des fiches complètes pour chaque événement (organisateur, lieu exact, périodicité, etc)
  • Une recherche multicritères (par secteur, organisateur, nom, date, lieu, exposants, etc.)
  • Un agenda et des alertes paramétrables, une newsletter de l’événementiel
  • Des rapports de veille en Français et en Anglais (la plupart gratuits)
  • Un formulaire d’inscription de salons
  • Un module gratuit affichant un flux rss de salons par secteur (déjà présenté)
  • Un service de veille événementiel (veille à la demande, formations, accompagnement)
  • Un service de veille adhoc avec frais mutualisés
  • Un service de salon virtuel permanent pour les exposants
  • Des services de référencement et de gestion événementielle pour les organisateurs
  • Un service de réservation à la volée pour les visiteurs (en partenariat avec salons.de)…

Le site datant de 2009, il avait sans doute besoin d’un lifting en profondeur, permettant notamment d’utiliser les dernières technologies du web. Le cahier des charges était en substance de redonner un « coup de jeune » au style, tout en conservant et en donnant plus d’espace et de fonctionnalités ergonomiques aux services (en utilisant notamment des scripts ajax/jquery).

Cette nouvelle version affichera notamment dans le header (partie haute ou bannière) un moteur multicritères en ajax et saisie-semi automatique en page d’accueil, est très modulaire, dynamique, et met plus en avant certains services.

Veille salon nouvelle maquette

Explicatif :

  1. Adresse du répertoire de maquettage (provisoire, deviendra veillesalon.com lors de la mise en ligne)
  2. Logo (image) permettant le retour à la page d’accueil (ergonomie standard)
  3. Slogan
  4. Menu déroulant
  5. Moteur de recherche dynamique en ajax
  6. Critères de recherches additionnels (ouvre un popup)
  7. rerouteur d’ips automatique avec url rewriting selon le pays du visiteur détecté
  8. système de session préchargée avec cookies
  9. Traduction automatique en 52 langues (translate.this), ici le portugais en exemple.
  10. espace de connexion rapide visiteurs/exposants/organisateurs
  11. Dernier rapport de veille
  12. Autres rapports de veille récents
  13. 10 derniers salons à venir
  14. Les pages de salons par secteurs (9 traités)
  15. Accès et présentation services
  16. Bloc advertiser à louer
  17. Dernières actualités du site
  18. Module rss des salons par secteur
  19. Partage réseaux sociaux
  20. Login (2) réservé aux collaborateurs du site

On y accède pour l’instant sur cette adresse : http://www.veillesalon.com/NEW/

La date de livraison prévue n’a pas été encore précisée.

Un talent caché de VIEDOC

10 Avr 2014, Posté par adminviedoc dans Digital, Société

Un des aspects rarement évoqué de Viedoc Solutions (le service communication & web de Viedoc) est la possibilité de réaliser des infographies et des illustrations, régulièrement publiées dans la presse généraliste et spécialisée, internationale. Ici par exemple, une présentation inédite de la marine Française en 1914-18, qui correspond au centenaire de la « grande guerre », dans le numéro 18 bimestriel (avril 2014) de Guerre & Histoire, du groupe Mondadori (« ça m’intéresse »). D’autres éditeurs comme Geo (Allemagne), National Geographic (USA et l’édition espagnole), Historia ou Cabotage (France), ou encore Asian Geographic, font partie des clients de Viedoc pour ce type très spécifique de prestation… Principalement connu pour ses profils, David Bocquelet, formé à Brassard, Tours, s’est exercé un peu dans tous les styles d’illustration traditionnelle (dessin, peinture gouache, acrylique encre de chine, aquarelle…) et numérique (vectoriel, pixel, 3d). Une spécialité parmi d’autres : Les reconstitutions navales archéologiques.

Illustration Editions Gpe MondadoriGeo Epoche 2013 HS Piraten

Dusseldorf Packaging tradefair Dans un mois, Viedoc se rendra au salon Interpack de Dusseldorf dans le cadre de son service VeilleSalon pour y découvrir les dernières innovations et tendances.

Parce que nous considérons que les salons sont de vraies sources d’informations, nous proposons à nouveau cette année une offre mutualisée – donc économique – qui permet d’avoir une vision panoramique du secteur de l’emballage.

L’offre VeilleSalon Packaging 2014, c’est la couverture des 5 salons incontournables du domaine sur 3 continents, que sont : Interpack en mai, Korea Pack en juin, Tokyo Pack en octobre, et Pack Expo et Emballage en novembre.

Dans un délai de 2 semaines après chaque salon, les participants se verront remettre un rapport d’étonnement complet en anglais rédigé par un consultant expert en veille.

A la fin de l’année, un document synthétique fera le point sur les tendances et innovations du secteur de l’emballage remarquées en 2014.

Si vous souhaitez en savoir plus sur ce service : info(at)viedoc.biz

Les meilleures heures pour publier sur twitter

01 Avr 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Vous avez un contenu propre (blog) ou une actualité à relayer (retravaillée en curation), et il faut la déployer sur les réseaux sociaux pour l’amplifier. Oui mais à quelle heure pour être sûr(e) de toucher son audience ?

Chaque réseau social est différent, et selon la nature de son auditoire, (BtoB, BtoC, tranche d’âge, sexe) on va essayer et expérimenter une diffusion à des jours bien précis. Difficile au début lorsqu’on est encore peu suivi (peu de données permettant de se faire un avis) cela devient plus facile avec le temps lorsque son volume d’audience augmente.

Twitter est l’un des réseaux sociaux les plus utilisés, la plupart des marques y sont présentes pour amplifier leurs campagnes et entraîner des conversions, augmenter le trafic sur son blog, ou simplement tester une idée…

Son format court impose un rythme différent des autres (fréquence de publication plus importante). Et cela ne choquera pas de voir une même actualité relayée plusieurs fois pour être sûr d’être aperçue au milieu d’un fil d’actualité chargé. Le corollaire est une réactivité « à fleur de peau », qui permet d’interagir presqu’en temps réel avec son audience mais qui à aussi donné des sueurs froides aux Community Managers chargés de l’E-Réputation de leur marque !

Un timing vital pour ne pas rater sa cible :
Eliminons donc les horaires fantaisistes, après 23h et avant 7h du matin… Les WE de façon parfois surprenante sont aussi sollicités. Pour le BtoB on se réfèrera aux « heures de grande écoute ». En semaine, de préférence entre 9h et 18-19h. En France évidemment avec les 35h on à tendance à raccourcir vers 17h. On pourrait éviter aussi de préférence la tranche horaire 13h-14h, bien que la période de « restauration » et de pause se prête aussi souvent au « surf » sur son mobile…
Ce qui laisse une amplitude considérable.

Alors que choisir ?

Les études de plages de diffusion optimales sur twitter :
Voilà déjà deux études statistiques générales montrant que les horaires varient grandement :

• Pour le spécialiste Hubspot Dan Zarella : Le matin (7-8h et vers 18h) en milieu de semaine et… les WE.
• Pour Bitly, basé sur leurs statistiques : 13-15h, lundi et jeudi.

Connaître les habitudes de professionnels aide considérablement (activités bien segmentées avec plages spécifiques dédiées à la recherche d’information par exemple). Partant de là on peut imaginer que le moment optimal serait un lundi matin sur la tranche 9h-9h30. En fait chaque audience à ses habitudes, et plutôt que de rester dans le flou, le mieux est d’utiliser des outils statistiques gratuits :

Pour mieux optimiser la diffusion de vos tweets :
Twitter bien sûr propose déjà des statistiques assez complètes et intéressantes : En allant sur son compte profils et paramètres, menu déroulant puis « statistiques » et en complément « publicités ».

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Autres outils gratuits :
• Tweriod (fournit les meilleurs jours, incluant les tweets des followers)
• Tweetwhen (Sur statistiques globales – Fourni avec Hubspot)
• Timely (Calcule les meilleures plages horaires, basé sur les 199 derniers tweets)
• Tweetreach (Pour mieux cerner ses followers et influenceurs)
• TwitterCounter (Suivi statistiques de l’audience, tweets et interactions)
• Tweetdeck (Appartient à Twitter- Permet un monitoring global)
• Audiense (SocialBro) Suit les tweets, followers, retweets…

SocialBro-snapshot-1024x575

logo alertes mailDans son dernier article intitulé « Les systèmes de veille par alertes en questions », Frédéric Martinet aborde sur son blog (www.actulligence.com) la question de la pertinence des résultats obtenus à partir des systèmes d’alertes gratuits.

Son constat, que nous partageons également, est qu’il est très difficile, voire impossible de mener une veille digne de ce nom en utilisant la solution Google Alerts. Concernant l’alternative Bing Alerts, Frédéric Martinet propose des astuces vraiment utiles pour contourner certaines abberrations. On peut cependant se demander combien de salariés, dont la veille n’est pas leur activité unique, sont en mesure de faire de tels efforts pour les implémenter.

Concernant Yahoo Alerts et Talkwalker Alerts, deux autres challengers gratuits à Google Alerts, l’auteur se montre beaucoup plus acerbe. Son constat, appuyé par un certain nombre de commentaires, est que le service proposé par Talkwalker est médiocre puisque qu’il offre peu de pertinence et qu’il génère du bruit. L’auteur termine son article en pointant du doigt la question du sourcing de Talkwalker, aussi bien en termes de qualité que d’étendue.

Chez Viedoc, nous ne pouvons qu’être d’accord avec cette analyse car une solution de veille « n’est qu’un outil » qui va aller rechercher dans un corpus de sources d’information pour en faire remonter certaines à la surface. Si la qualité des sources n’est pas au rendez-vous, il est donc impensable de pouvoir à la fois faire remonter de l’information de qualité et limiter le bruit.

L’efficacité de la collecte se joue donc sur le couple outil + sourcing. L’un ne va pas sans l’autre et ceci est d’autant plus crucial pour les personnes qui font de la veille en complément de leur activité principale comme cela est le cas dans la majorité des entreprises.

Il ne faut bien sur pas non plus tomber dans le travers qui consiste à dire que les outils de veille payants sont la panacée. Cependant, certains peuvent vraiment simplifier les phases laborieuses de surveillance et de collecte d’information ce qui permet de consacrer plus de temps à l’analyse et la prise de décision.

Pour avoir déjà assurer le sourcing pour certains de nos clients qui avaient fait le choix d’une solution de veille payante mais « vide », nous avons chez Viedoc fait le pari de proposer des solutions de veille sur-mesure, immédiatement opérationnelles et abordables.

Ainsi, plutôt que de proposer un corpus unique de sources d’information, nous utilisons notre expertise en veille pour réaliser un sourcing international propre à l’entreprise ce qui permet de limiter le bruit et de gagner en pertinence. Aucune formation couteuse n’est nécessiare puisque le paramétrage est extrèmement simple sur nos outils et que les fonctionnalités essentielles à l’activité de veille sont intuitives.

La gamme d’outils proposés par Viedoc aujourd’hui comprend :

  • Rss Sourcing Thématique (cosmétique, packaging, materiaux, environnement, automobile, aéronautique, maritime, textile, agroalimentaire)
  • Rss Sourcing Sur-mesure (sourcing propre à l’entreprise et fonctionnalités essentielles)
  • Rss Intelligence (sourcing propre à l’entreprise et fonctionnalités collaboratives avancées)

Pour plus d’information : www.rss-sourcing.com et www.rssintelligence.com

alertes mail maritime

alertes mail innovations maritimes

 

Image à partager librement !

Séïsme dans le landernau des crowdfunders : Les révolutionnaires lunettes virtuelles développée par la jeune startup Oculus viennent d’être rachetées par Facebook… Le produit avait eu le pied à l’étrier lors de la campagne la plus lucrative de l’histoire de Kickstarter. Sur le plan tactique, les motivations de Facebook restent floues. On songe bien sûr aux Google glass, qui récemment viennent de franchir un cap supplémentaire en s’alliant ouvertement avec la mythique marque Ray-Ban pour sortir de leur image « accessoire geek » et entrer de plein-pied dans le domaine de la mode grand public, bien que les lunettes en question ne sont pas du tout comparables (rappelons qu’il s’agit d’une sorte de casque partiel avec son et image pour une immersion plus complète dans les jeux vidéos). Toujours est-il que l’annonce, tombée le 25 avril, du rachat pour une somme de 2 milliards de dollars, à fait l’effet d’une bombe parmi les très nombreux contributeurs associés au projet depuis 2012.

Il y eut 9522 contributeurs (« backers ») en 2012, pour plus de 2 500 000 dollars (dix fois mieux que prévu) qui ne prennent pas de parts dans l’entreprise mais s’assurent en échange d’acquérir à terme les lunettes en question, ou d’autres contreparties virtuelles (et les ont obtenues vu que le projet a pu aller à son terme rapidement). La campagne étant terminée et le projet volant de ses propres ailes, les fondateurs ont sans doute trouvé l’offre faite par le géant Californien irrésistible, avec sans doute la promesse de conserver l’équipe et une certaine autonomie.

Pourtant c’est vécu comme une trahison pour beaucoup s’il on se réfère aux commentaires peu amènes sur la page de l’application sur kickstarter. Beaucoup regrettent leur décision de backing. Est-ce l’image un peu « big brother » de facebook qu’on ne voyait pas dans d’autres secteurs que les application mobiles ? Il est certain que beaucoup auraient imaginé la firme conserver son indépendance et continuer son développement incrémental en comptant sur un communauté active de développeurs avec des contenus en open source pour dynamiser et entretenir son expansion. Quelles seront les intentions de Facebook à ce sujet, seul l’avenir nous le dira…

Quand au crowdfunding, il en restera à jamais marqué pour les futurs backers, qui y regarderont désormais à deux fois avant d’investir, et voir « leur » projet valorisé être revendu à l’un des géants de l’internet ou du CAC40 pour une somme colossale et… aucune contrepartie, car c’est la loi du jeu. Espérons toutefois que le principe restera d’actualité et n’en souffrira pas trop, car c’est bien souvent la seule solution pour de nombreux projets qui ne trouvent aucun investisseur -tout particulièrement en France, ou entre conjoncture très tendue et frilosité traditionnelle, manque de structure et de réseaux de financement participatifs, de business angels ou même de culture du business-risque- les futures startups hexagonales auront au moins une alternative à sortir les fonds uniquement de leur poche…

Voir aussi : #oculusVR #Kickstater Backlash

20 conseils SEO pour 2014

26 Mar 2014, Posté par D. Bocquelet dans Digital

En moyenne , Google fait environ 500 ajustements de son algorithme de recherche chaque année. Depuis Panda en Février 2011, les mises à jour autres changements ont été les plus ambitieux et ont eu la plus grande envergure dans leur impact dans l’histoire de Google et du référencement mondial. L’effet voulu et annoncé a été d’élever le « contenu de qualité », sanctionner les pratiques de de linking douteux et spamming, et distancer l’E-marketing de l’utilisation systématique de mots clés et de données de performance. Les modifications visent à améliorer selon Google la qualité des résultats de recherche (SERPS). Pour ceux qui pratiquent l’optimisation pour les moteurs de recherche (en Anglais SEO) l’impact collectif des mises à jour a été vécu parfois comme confus, frustrant et parfois désespérant. Une vague d’inquiétude inédite qui est allé secouer jusqu’au bases les plus solides de la profession – voire la remettre en cause.

Les E-Marketeurs ont tenté en 2013 de  faire face à tous les changements de Google, qui ont inclus Hummingbird, une révision majeure du moteur de recherche Google. « Chaque fois que nous réagissons et récupérons d’une mise à jour Google, il y a une autre.. » Comme déclarait Mike Huber, vice-président du service à la clientèle (Agence E-marketing Vertical Measures) dans un récent webinar. « C’est comme une série de déferlantes »…

Basé sur une enquête auprès de 60 experts référenceurs, CIO dresse un tableau fait de trois questions-réponses sur ce sujet.

-Compte tenu des updates Panda, Pingouin, Hummingbird, et autres grandes mises à jour Google, nous dirigeons-nous vers une ère post-SEO ?

-Cette discipline sera t’elle en 2014 différente de 2013 ?

-Qu’est-ce que les E-marketeurs, agences et référenceurs devront faire pour s’adapter ?

1-Le SEO sera toujours là. Selon Brian Provost, vice-président de la stratégie numérique de Media Group. « Le SEO est comme le droit fiscal. C’est un ensemble de questions et de stratégies pour optimiser la conformité de la présence des entreprise.  À cette fin, le référencement existera toujours en tant que pratique et discipline de l’adaptation contenu au marché.. « . Les entreprises intelligentes, il ajoute, ont cessé de jouer « à la chasse aux algorithmes », optant plutôt pour la création d’un contenu à base de métriques « en ligne avec la demande du marché. »

2. Le SEO a toujours porté sur le marketing de contenu. Brian Wood, directeur marketing senior référencement pour Wayfair.com, pense que la tendance du content marketing est exagérée. « C’est là-dessus que le référencement de qualité a toujours porté. Il semble que de plus en plus de personnes utilisant des tactiques spammy que Google a rendues plus difficile l’ont constaté à leur frais. « Les même outils de référencement professionnel white-hat utilisés l’année dernière seront utilisés l’année prochaine ».  « Cela dit, il est vrai que la barre est placée de plus en plus haut étant donné que toujours plus de sites se concentrent sur la production de contenus de qualité. C’est aussi plus en plus difficile de gagner des liens avec un bon contenu que les blogueurs qui inondent Google avec beaucoup de choses. »

3. SEO et content marketing deviennent synonymes. « Si vous jouez le jeu, vous ne pouvez pas avoir l’un sans l’autre » selon le consultant SEO Christian Sculthorp. Mais la SEO traditionnel aura toujours sa place, ajoute-t’il. « La plupart des gens sous-estiment le travail nécessaire pour optimiser la recherche des mot-clé, le balisage de chaque page la structure du site. Il y a beaucoup plus dans le SEO que du spam de liens ».

4. Les Bases du SEO ne disparaîtront jamais. Adam Barker, directeur marketing senior pour SmartBear Software, admet que le référencement a changé: « Le contenu est la nouvelle façon d’optimiser et de générer du trafic. » Mais vous avez encore à préparer votre site pour la recherche par mots clés et le référencement de base sur la page. Et il ajoute. « Cela pose les rails pour le train à venir – et s’assurer que vous avez le bon train grâce à la recherche par mot clé, ce qui est encore aussi important qu’avant. »

– Les pratiques de SEO devront-elles changer en 2014 ?

5. Les moteurs de recherche deviennent plus intelligents. « Les moteurs de recherche développent rapidement l’intelligence de discerner entre les sites Web qui offrent une vraie valeur ajoutée et ceux qui créent l’illusion de la valeur », explique James McDonald, analyste E-commerce pour Lyon Consulting Group. « Si (ne) vous pensez (pas) le SEO comme une stratégie HTML de linkbuilding, tactiques de mots-clés qui permettent à un site pour mieux se placer dans un moteur de recherche, alors oui, nous sommes sur la bonne voie à pour une ère post-référencement. » Pourquoi? La prochaine génération d’experts SEO va éviter ces techniques, selon McDonald, « et rechercher plutôt à dominer les classements en créant un contenu toujours plus pertinent, engageant et détaillé. »

6. La présence sur les réseaux sociaux va prendre toujours plus d’important sur la recherche. Cette tendance déjà évidente en 2013, ne sera qu’apparente que cette année, pour Ian Aronovich, president et co-fondateur de GovernmentAuctions.org. « Ce n’est pas que le ranking et le SEO seront terminés, cela vaut toujours la peine de s’y investir. Mais la part donnée à une forte présence sur les réseaux va devenir de plus en plus efficace et solide pour amener du trafic et construire une conscience de marque. » C’est parce que l’on peut plus plus rapidement partager du contenu sur les réseaux sociaux, notamment Twitter, Facebook, Google+ et LinkedIn, pour Aronovich. « Si vous mettez en ligne un contenu que les gens sont prêts à partager, vous pouvez obtenir beaucoup plus de visibilité pour votre entreprise et votre marque en beaucoup moins de temps qu’un traditionnel webranking. »

7. Déterminer le classement, et ses raisons, va être plus compliqué. Copley Broer, PDG de LandlordStation, imagine beaucoup de temps et d’effort consacré à déterminer les contenus les plus partagés et ceux qui font déplacer l’aiguille de ranking de Google et les autres. Flipboard, une application d’agrégation pour mobile, en est un bon exemple, pour Broer. « Être indexé dans le bot de Flipboard si ce contenu apparaît est important – mais il est presque impossible de dire quand les lecteurs afficheront ce contenu sur cette appli à moins que l’utilisateur clique pour l’ouvrir dans un navigateur. « Comment savez-vous ce que Google pense de l’importance ce contenu si vous ne pouvez pas dire combien de personnes le voient ?. Est-ce que Hummingbird prendra en compte Flipboard directement, ou y-aura t’il un effet ressenti qu’a partir du moment ou quelqu’un partage ce contenu de Flipboard à Google+? »…

8 . En 2014 , le référencement sera surtout mobile. David Finkelstein, directeur marketing pour KEMP Technologies, note que plus de 40% des e-mails sont maintenant vus sur un appareil mobile. » L’Email reste un application d’E-marketing « tueuse » qui peut … créer un effet de marketing viral comme aucune autre application. Le SEO et les contenus associés optimisés pour une plate-forme mobile qui se connecte à d’autres applications via des API  open source continueront d’être la plus grande tendance, et un vrai défi, pour les commerçants. »
B. Wood, de Wayfair.com, ajoute que la recherche mobile est la future révolution, car croît de plus en plus rapide par rapport à la recherche de bureau. « À un certain point, nous pouvons nous attendre à ce que Google commencer pondère la recherche de sites sur mobile… qui pour l’instant à pour elle sa vitesse exponentielle. En fin de compte, les sites web non « responsive » ou les sites mobiles ne présentant qu’une partie réduite de leur contenu présenteront une « mauvaise expérience utilisateur », et Google sera obligé d’intégrer cette variable ». Wood ne sais pas en revanche si une mise à jour du ranking des sites sur mobile interviendra en 2014… « mais quand Google le fera, les sites sans optimisation ou présence sur mobile vont être dans la panade. « 

9. Le Local SEO va continuer à peser. Pour Austin Melton, superviseur SEO on-site  pour SEOscalespro.com, pense voir Google et Bing continuer leur tendance à localiser les résultats de recherche. « Cela peut durement impacter la recherche nationale -horizontale, face à la recherche verticale » ajoute t’il.

10. Les requêtes en langage naturel seront plus importantes. Pour Daniel LaLoggia, directeur E-merketing pour Walker Sands Communications,  la plus grande tendance SEO va essayer de profiter de colibri, qui est moins un changement d’algorithme qu’un changement de la manière de rechercher pour le moteur de Google. Le porte-parole du géant de Moutain view souhaite que les gens soient en mesure de «parler» au moteur de la même manière qu’ils parlent naturellement, pour LaLoggia. Les utilisateurs, quant à eux, souhaitent voir Google analyser leurs phrases et comprendre leurs intentions. En conséquence, l’accent sur ​​des mots clés individuels devrait s’estomper et faire place à une approche plus périphérique, à sémantique large : Le thème de la création de contenu. « En d’autres termes, 1000 variantes de mots clés sur un thème devraient être moins importantes que beaucoup de contenu construit autour d’un noeud thématique de mot-clés qui reste à déterminer »

11. Le rôle des experts SEO va évoluer. « Il y aura une renaissance continue des agences SEO avec le content-marketing ou les officines d’inbound-marketing. Cela à déjà commencé à se produire », selon Tchad Pollitt, directeur marketing de DigitalRelevance. En outre, le mariage SEO-relations publiques traditionnelles représentera une autre tendance du SEO, prenant le nom de « PR numérique. » Enfin, Pollitt s’attend à ce que la communication marketing et les services de relations publiques avalent les départements SEO au sein des grands comptes.

-Vos meilleurs conseils pour 2014 ?

12. Identifiez les principaux points douloureux de vos clients en requérant des départements de ventes et des membres de l’équipe un soutien pour les évaluations. « Cela signifie que ces questions ne sont pas traitées sur le site », pour Barker de SmartBear software. « Rédigez votre hiérarchie de contenu autour de ces points et de questions attenantes. »

13. Restez honnête. « Mettre l’accent sur la génération de contenu de haute qualité dans la création d’un site Web qui sert vraiment ses utilisateurs et éviter les vieilles tactiques de linkbuilding » pour Halloran de Namu, Groupe de Voyage. « Si vous construisez une « killer app » en quelque sorte, vous aurez plus de chances d’attirer des liens de qualité que quelque autre technique de linking. »

14. Soyez une autorité, ne parlez pas de vous-même, et faites mieux que vos concurrents. « Ne faites pas blog d’entreprise de plus pour relayer des annonces que personne ne veut lire. Ajoutez de la valeur. Formez votre public cible, explique Adam Connell, directeur marketing pour le Royaume-Uni de Linkology. « Utilisez au mieux les influenceurs dans votre secteur et faites-les relayer votre contenu à valeur ajoutée. » « Ne vous inquiétez pas d’être unique ou de prendre des risques, et prenez le pas sur vos concurrents ». C’est ce que fit Social Media Examiner, et c’est l’un des blogs marketing/business les plus influents de la planète actuellement.

15. Gagnez de l’attention et développez votre réseau. Pollitt recommande la création d’un contenu divertissant et/ou de résolution de problèmes  mis en vedette par les médias en ligne et les influenceurs de l’industrie. « Les marques qui pourront vraiment percer sur les médias seront les grands gagnantes en SEO, ». Pour ce faire, développer un réseau de rédacteurs, blogueurs, éditeurs, journalistes et influenceurs de l’industrie, car pour Pollitt « ce sont les gens dont vous dépendez pour écrire et partager votre contenu. » En outre, le poids des cadres de votre entreprise en tant que chroniqueurs possibles sur des sites Web de l’industrie sont particulièrement populaires. Leur expertise est précieuse, pour Pollitt , et « les moteurs de recherche respectent les liens citations de sources fiables telles que les sites d’autorité d’une industrie ».

16. Envisagez votre politique de linkbuilding comme une autre forme de networking. Jason Whitt, le « geek de tous les métiers » à Geek Propulsed Studios, note qu’il y a eu des beaucoup spéculations concernant l’obsolescence supposée du linkbuilding. « Même si je peux comprendre le raisonnement derrière tout cela, je ne crois pas que ce soit vrai, » dit-il. « Il revient aux types de liens que vous créez sur un site Web et l’intention derrière leur acquisition. » « Ces liens deviendront effectivement obsolètes si votre stratégie se limite à payer pour des inclusions premium dans les annuaires et de spammer de commentaires des blogs » pour Whitt. « Le renforcement des liens naturels est un travail difficile, et il n’est en aucune façon rapide. La meilleure façon de regarder une construction de liens légitimes est de voir chacun comme une relation d’affaires. Le plus de temps et d’effort que vous mettez dans cette relation, plus il est probable que cette relation vous aidera à atteindre la position sur laquelle vous souhaitez vous placer ».

17. Insistez sur une qualité de contenu sous toutes ses formes. Oui, votre contenu doit être « incontournable, descriptif et différencié », explique Joelle Kaufman, responsable des partenariats et du marketing pour BloomReach – « …mais la qualité s’étend sur le côté technique de votre site, aussi. »  « Identifier et réduire, ou éliminer les pages en double dans votre contenu. Assurez-vous que votre linking interne permet aux utilisateurs et moteurs de recherche de trouver leur chemin sur votre site. Identifiez les sources de trafic on-site et off-site pour guider le contenu que vous créez, partagé et conservé. Assurez-vous que votre contenu est accessible et optimisé pour la recherche sur mobile, qui atteignent déjà 50% du trafic de recherche global ».

18. Construisez un site unique pour les utilisateurs de mobiles et de PC. « Avec l’évolution de la fracture numérique des recherches sur le Web, il y a un besoin accru pour les sites web adaptables d’être proprement consultés sur les smartphones, tablettes et ordinateurs », selon Jayme Pretzloff, directeur E-marketing pour Wixon Jewelers. Au lieu de développer un site pour chaque appareil, pensez à un conception en responsive design, qui s’adapte à la taille du navigateur et de l’appareil. En plus d’améliorer l’expérience utilisateur, ceci va stimuler le SEO grâce à une augmentation des visites, un taux de rebond réduit, de meilleurs classements dans les SERPs et plus de visites et d’activité sociale.

19. Recherchez les meilleurs mots-clés à longue traîne. Pour Kelly Boyer Sagert, directeur du contenu pour Guru Search, les mots-clés à longue traîne sont appelés à devenir plus importants avec la sortie de colibri, la dernière mise à jour de Google. Ces derniers contiennent généralement plus de mots, et sont donc généralement moins compétitifs car plus rares. Mais ils sont également beaucoup plus ciblés. « Lorsque vous en trouvez un qui s’adapte parfaitement à votre public cible, c’est une trouvaille formidable » pour Sagert.

20. Le Markeup prendra de l’importance. « Depuis les débuts du Web, la plus importante langue de codage Web a été le HTML. Le Web a évolué avec le HTML » selon Sagert. « La dernière version, HTML 5, intègre des ensembles de balises HTML qui aident les moteurs de recherche à comprendre les données structurées. (Ces balises sont catalogués et référencés par www.Schema.org.). Ces Données structurées aident les moteurs de recherche à comprendre rapidement et facilement les différents éléments d’une page, telles que des articles, les événements et les informations localisées ».

En fin de compte, le référencement sera ce qu’il devrait être et à toujours été…

« En 2013, le référencement de ces 10 dernières années est mort – et Dieu merci ! » Pour John Lincoln, co-propriétaire et président du cabinet SEO & social Ignite visibility. En 2014, « le référencement portera sur ce qu’il aurait toujours pu être : Créer un site en responsive design, développer une stratégie de content-marketing, de la publicité sociale, s’assurer que le site soit techniquement propre et sain et capter toutes les requêtes longue traîne que vous pouvez de manière responsable « .

Traduit et adapté de l’anglais. Source : James A. Martin pour CIO.com, 16 janvier 2014.

Une chose est sûre… Il tiendra ses promesses !

21 Mar 2014, Posté par adminviedoc dans Outils

Le veilleur virtuel promet d’assister votre entreprise, quelque soit sa taille, en vous donnant les moyens de surveiller, rechercher, capitaliser et partager sans limite les informations de votre environnement professionnel et de prendre les bonnes décisions en toute connaissance de cause.

Ses 5 propositions pour démocratiser la veille :

  1. Opter pour un outil professionnel simple et intuitif doté de fonctionnalités réellement utiles
  2. Disposer d’une plateforme riche en sources d’informations 100% qualifiées
  3. Adopter une solution immédiatement opérationnelle, sans formation, ni paramétrage préalable
  4. Gagner du temps pour l’analyse en lui confiant les phases chronophages
  5. Bénéficier de l’assistance et du retour d’expérience d’experts en veille, à l’origine de la solution

Alors ce week-end… Votez pour lui !!!

Le réseau FabrikLink (www.fabriclink.com) récompensait en janvier 2014 les innovations remarquables du secteur pour l’année 2013, basée sur les innovations produits et technologiques, les améliorations significatives dans la conception, la construction ou la performance des produits existants.

Corkshell, développé par Schoeller Textil AG, présente une nouvelle technologie qui combine les caractéristiques naturelles exceptionnelles de liège avec les caractéristiques fonctionnelles de tissus de haute performance. Il est composé d’un granulat de liège certifié FSC qui est un sous-produit de la fabrication des bouchons pour le vin. Ce granulat naturel est pulvérisé et fermement ancré comme un revêtement par un procédé spécial breveté par Schoeller.

Deux options sont disponibles :

  • Deux couches de tissu avec un revêtement en liège à l’intérieur.
  • Construction à trois couches de tissu avec la couche de liège en sandwich au milieu.

Les tissus ainsi générés sont hydrophobes et coupe-vents mais aussi très respirant et disponibles en 2-way et 4-way stretch.

Corkshell offre une isolation thermique significativement plus élevée que les produits comparables à structure souple classiques et en fonction de la structure du tissu, peut fournir jusqu’à 50% de l’isolation thermique du produit final. Corkshell offre un bon niveau d’isolation thermique mais aussi un haut niveau de respirabilité. En outre le procédé est certifié bluesign®, conforme à la norme la plus stricte au monde pour les textiles.


Emana
est un nouveau polyamide 6.6 fait de fil intelligents par Rhodia. Ce polyamide incorpore un additif breveté offrant des propriétés de thermorégulation et améliore la micro circulation sanguine capillaire pendant plus de six heures. Des études scientifiques menées par un laboratoire indépendant brésilien montrent qu’au cours d’exercices sportifs les tissus fabriqués avec Emana améliorent la thermo-régulation corporelle par rapport à d’autres tissus et réduit l’accumulation d’acide lactique qui entraîne la fatigue musculaire.

Les études indiquent également un confort accru et une réduction de la cellulite, en raison d’une augmentation de l’élasticité de la peau. Les propriétés intelligentes de ce fil ne se détériorent pas après les lavages répétés. Bénéficiant des caractéristiques clés des polyamides, tels que le toucher doux, la facilité d’entretien, la résistance et l’élasticité accrue, Emana® est proposé aux clients de Rhodia sur les marchés du sportswear, de la lingerie et des sous-vêtements pour son extraordinaire souplesse en termes de couleur et de design. Emana® a été certifié classe I en vertu de la norme Oeko-Tex 100 (aucune substances nocives).

Fire Stomp est une nouvelle gamme innovante de produits de tricots, développée et mise en place par Texollini, société basée à Long Beach en Californie, qui développe depuis des années des machines à tricoter circulaires et des tissus innovants. Dans la collection Fire Stomp™, il existe une variété de mélanges de fibres tricotées en exclusivité avec Superfino® pour la première couche. La ligne de tissus FR utilisent Viscont® FR fait de filaments rayonnants de Glanzstoff. Les nouveaux tissus Fire Stomp™ présentent un mélange de filaments rayonnants FR/Lycra en deux constructions de jersey. La collection comprend également un « mélange Quad » fait d’un autre développement propriétaire de FR modacrylique/laine/nylon de couleurs vives pour équiper les personnes travaillant sur les ponts d’envol ou le personnel de sécurité par exemple. Il y a d’autres développements avec le lainage Triblend de Texollini – ceratins avec du Lycra.  Tous les produits sont conformes pour les applications FR commerciales, militaires et industrielles.

GlenGuard Hi-Vis Anti-Stat est un nouveau tissu introduit dans la ligne des Glen Raven Technical Fabrics. Développé conjointement avec les textiles de performance de William Barnet & Son LLC, GlenGuard Hi-Vis Anti -Stat est un produit de grande visibilité, fireproof, conformes aux normes ANSI 107, ASTM 1506 et NFPA 70. Il protège de l’électricité statique pour éviter une inflammation à partir des émanations qui peuvent être présentes sur les lieux de travail. Ce tissu empêche l’accumulation d’électricité statique grâce à l’utilisation d’une fibre de carbone développée par Barnet pour les salles blanches, les hôpitaux et toutes les vêtements de travail. Le cœur de la fibre de carbone est enveloppé dans une gaine de polyester qui protège la fibre de carbone contre l’abrasion et les dommages pendant le lavage sans diminuer les propriétés de dissipation statiques de la fibre de carbone. Le tissu est disponible dans les constructions tissés et maillés.

Merino State Bi-Component Fabrics (fabriquées par l’Australien Charles Parsons & Co) sont des lainages mérinos tricotées avec les fibres innovantes «Merino Plus» et d’autres fibres de type coton biologique, Biophyl, Tencel, Modal et filaments de polyester haut de gamme. La société utilise d’intéressantes constructions de tissu tricoté pour fournir une gamme de produits polyvalents, multi-fonctionnels pour une variété d’applications outdoor de type vélo, athlétisme et chasse. Les produits bi-composants pourrait aussi se retrouver dans les sports plus traditionnels comme le golf et le tennis. Un ajout intéressant serait l’intégration de modèles de camouflage sous licence. Merino Sate travaille d’ailleurs actuellement en étroite collaboration avec Realtree et Mossy Oak pour développer des textiles spécialisés pour le marché de la chasse.

Polymer Cross Linked Aerogels. Les aérogels polymériques réticulés développés par le Centre de recherche Glenn de la NASA sont légers, mésoporeux, robustes et mécaniquement 100 fois plus résistants que les aérogels naturels à seulement le double de la densité. Ils sont obtenus par dépôt de polymères sur une structure d’aérogel. Les aérogels sont des matériaux à faible densité avec d’excellentes propriétés thermiques et acoustiques compte tenu de leur porosité élevée et du faible diamètre des pores. Cela les rend particulièrement intéressant pour de nombreuses applications aérospatiales et industrielles, de l’isolation des réservoirs cryogéniques, aux appareils de grande consommation en passant par la construction. Cependant, l’inconvénient principal de ces matériaux est leur fragilité. Sur le plan nanométrique, les aérogels sont constitués d’un réseau en collier – comme des perles de nanoparticules, dont les points faibles restent les liaisons interparticulaires. Renforcer ce réseau de nanoparticules augmenterait donc la résistance de la structure avec seulement une petite perte de poids et une légère diminution de la mésoporosité de la structure.

Le Glenn Research Center de la NASA a utilisé la fonction ‘hydroxyle à la surface des nanoparticules de silice pour greffer un oligomère di-isocyanate. Les aérogels ont ainsi vu leur densité n’augmenter que d’un facteur de 2,5, alors que leur résistance mécanique a été multipliée par 100. En utilisant les silanols présents en surface des nanoparticules, les réactions de réticulation sont limitées aux isocyanates. L’équipe de Glenn a permis d’améliorer cela en utilisant un co-réactif afin de modifier la surface des nanoparticules, ce qui a permis la formation de divers groupes fonctionnels sur lesquels peuvent être greffer de nombreux types de polymère (époxy, polyimides, isocyanates, acrylates, styrène …), élargissant ainsi le domaine d’applications au-delà de la plage de fonctionnement limitée de la chimie des isocyanates.

SafeTcrete, développé par EY Technologies, est composé d’une fibre longue, plate, découpée et réorganisée dans une matrice de béton pour créer une dispersion hautement isolante. Les fibres utilisées pour réaliser SafeTcrete sont rigidifiées grâce à un enrobage par un polymère à base d’ester ou d’acrylate. La rigidité obtenue facilite la dispersion des fibres dans le béton et empêche les fibres de s’agglomérer en boules dans la suspension. L’ enrobage permet aussi à ces fibres de résister à l’absorption d’eau en agissant comme une barrière hydrophobe. L’enrobage améliorerait également la liaison entre le ciment et les fibres. En plus de posséder des fibres bien dispersées dans le béton, SafeTcrete renferme des nanoparticules de silice de façon à réduire de manière significative la perméabilité du béton, le rendant plus résistant aux agents corrosifs et protégeant mieux l’armature du béton.


SEFAR PowerMatrix
, développé par Sefar AG, est un tissu hybride léger comprenant de filaments de polyester (PET) et des filaments métalliques en chaîne et en trame. La technologie fusionne les deux mondes de l’électronique et les textiles, combinant leurs avantages respectifs. Les fils métalliques conducteurs d’électricité en chaîne et trame sont isolés par une couche mince de polymère, ce qui permet aux fils métalliques de former une grille sans contact électrique entre eux. Toute la structure de câblage souhaitée peut être établie avec PowerMatrix par l’élimination sélective du vernis et par connexion point par point des fils. Les connexions sont encapsulées avec des résines époxy ou silicium. Les composants électriques peuvent être montés et reliés entre eux en utilisant la même méthode. Grâce à cette technologie, SEFAR offre des LED sur mesure et des panneaux combinés avec un tissu. D’autres applications de PowerMatrix permettent la détection. Par exemple, il est possible de produire les premiers capteurs de température entièrement en tissu dans le monde. Aucun composant supplémentaire n’est nécessaire pour la mesure de la température car le tissu lui-même est le capteur. Le capteur peut mesurer un intervalle de température de -10 à +100 degrés Centigrades avec une précision de plus ou  moins 1,0 degré Centigrade. PowerMatrix peut fournir des éléments de détection à la fois uniques et multiples sur des surfaces plus grandes par le biais d’un réseau de capteurs à l’échelle de la zone. SEFAR PowerMatrix est conçu à des fins de chauffage, de mesure de température, mesure de débit et mesure de l’allongement pour l’automobile, les filtres, l »industrie et la sécurité.

Les pots VELCRO de Peel-Away sont des produits développés par Velcro Industries et disponibles exclusivement chez les fournisseurs spécialisés en jardinage. Ils permet aux jardiniers de réussir leurs transplantations grâce à :

  1. Le VELCRO poreux crée un système racinaire sain tout en évitant l’effet de spirale des semis « rivés au pot »
  2. Les sous-coupes auto-arrosantes, incluses dans le kit Peel Away, maintiennent le sol humide
  3. Les côtés ouvrables des pots minimisent les perturbations racinaires pour une transition en douceur vers un plus grand récipient ou le jardin

Le pot est fabriqué à partir d’un tissu lavable et réutilisable qui favorise la croissance de racines saines. Les tests réalisés avec des semis de tomates ont montré que les plants produisent plus de fruits et que les tiges sont plus épaisses que lorsque des pots traditionnels en plastique sont utilisés.

Disponible en deux tailles et deux couleurs ( rouge et marron ), les pots Velcro de la Marque Peel Away sont vendus en kits avec pots et plateaux d’auto-arrosage, ou en packs de pots seuls. Les pots de 10 cm sont idéaux pour les semis de tomate, poivron et aubergine, tandis que les pots de 5 cm sont adéquats pour démarrer les graines.

Le Viscont FR – Fabriqué par Glanzstoff Industries en Rep. Tchèque, Viscont FR est le seul fil de viscose FR au monde. Viscont FR offre une résistance au feu, et des performances en termes de résistance à la fonte, de confort, de contrôle de l’humidité, de résistance à l’abrasion et de solidité encore jamais atteintes par les fibres en rayonne. Le fil possède des caractéristiques techniques inédites pour les applications militaires et industrielles, les vêtements de sécurité, les bandes textiles et le textile pour l’ameublement et la décoration. La taille des fils va de 110 à  2440 dtex. Un nouveau brevet a été déposé en novembre 2012 pour un fil hybride 100% HT FR. Viscont FR est conforme à la norme Berry et est distribué exclusivement en Amérique du Nord par ICF Mercantile LLC.

Glanzstoff Industries avec ses trois sites de production en République tchèque, Italie et Luxembourg, et son réseau de distribution dans le monde entier, est un leader dans la production et la transformation de fils de viscose haute résistance pour les applications textiles techniques. Outre la viscose, des fibres synthétiques comme le polyester, le nylon ou l »aramide sont convertis au moyen d’ une technologie de pointe. Glanzstoff Industries fournit également des services dans l’intégration verticale pour une variété de produits de fils/textiles et des possibilités de finition.

Un article adapté de l’anglais de rsstextile

Airwriting, ou le poids des mots en l’air

17 Mar 2014, Posté par D. Bocquelet dans Regard sur l'actualité

On pourra multiplier à loisir les calembours sur les mots vides ou creux, les mots en l’air, brasser de l’air… Il n’empêche que la dernière révolution de l’écriture numérique est de se passer de tout support ou stylo !

En effet vous aviez jusqu’ici l’habitude de taper vos mots avec des touches, puis avec les écrans tactiles, et avec l’application idoine, dessiner des lettres ou écrire à la main avec un stylet, le logiciel faisant la reconnaissance des signes tracés les convertissant en un alphabet. Cela permettait de passer de la prise de note rapide d’un texte manuscrit -à priori isolé sur son support- vers son passage en numérique polyvalent (mails, stockage, retouche, etc). Et c’était déjà bien. Mais on vient de franchir un cap supplémentaire avec le lancement de la nouvelle appli Airwriting.

Créé dans le pays de Goethe, au sein de l’institut de technologie de Karlsrhue, cette petite appli est en train de faire parler d’elle.  Cette dernière permet de dessiner des mots littéralement « en l’air », et les applications standards de reconnaissance de caractères prennent le relai. Bien sûr cela passe par une connection bluetooth sur un iphone, et l’utilisation d’un emetteur au poignet ou sur la main (un « gant » pour le prototype). La marge d’erreur actuelle se tient autour de 11%, mais l’équipe derrière le projet s’attend à descendre sous la barre des 3%. La base consiste en une bibliothèque de 8000 mots parmi les plus courants en Anglais. Google s’y intéresse déjà, ayant primé récemment l’application; Peut-être pensent t’ils à une extension de leurs google glass.

Ce n’est pas la première tentative de dématérialiser l’écriture. Depuis près de 10 ans au MIT, l’équipe chargée de développer la réalité augmenté avait déjà exploré cette voie par le truchement d’une caméra et dans un contexte bien spécifique. On pouvait taper des lettres sur sa main par exemple, sur un mur, u n’importe quel support. La caméra enregistrait simplement la location de la main et la position des doigts à la bonne distance. Tout était très calibré cependant et ne fonctionnait que dans des limites très strictes.

D’autres applications de l’airwriting existent en dehors de la réalité augmentée : Notamment comme moyen de communiquer pour les muets, en alternative au language des signes qui n’est connu que des muets et de leur entourage immédiat.

Un article technologies de Viedoc.