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Pollutec 2013, le rapport disponible gratuitement !

19 Déc 2013, Posté par T. Perran dans Veille Salon

Rapport de veille Pollutec 2013 Conscient des enjeux environnementaux et des défis restant à accomplir dans ce domaine, nous ne pouvions passer à côté du salon Pollutec 2013, événement incontournable des éco-technologies, de l’énergie et du développement durable.

Comme nous le faisons régulièrement pour d’autres événements, nous avons rédigé un compte-rendu d’étonnement complet suite à notre visite de Pollutec début décembre.

Le résultat : un rapport gratuit de 41 pages, en Français, qui présente l’ensemble des innovations du salon du durable de référence en Europe.

Résumé :

Le salon Pollutec 2013 s’est déroulé du 3 au 6 décembre 2013 au parc des expositions à Paris-Nord Villepinte,où pas moins de 1194 exposants (819 français) venant de 28 pays ont pu dévoiler leurs activités en matière de développement durable.

Cette édition 2013 s’est quand même fait remarquer par l’illustration de cette crise économique, qui commence à durer bien au-delà des prédictions et qui a fini par entamer la trésorerie de bon nombre d’entreprises. Ainsi, il convient de noter que l’ambiance générale n’était pas à l’innovation en rupture, mais plutôt à la rationalisation, à la chasse au gaspillage, à l’amélioration continue, etc.

Lors de sa visite à l’ouverture du salon, le ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Philippe Martin, a bien donné le ton, en faisant l’éloge de l’économie circulaire qui œuvre à refermer le cycle de vie des produits, via l’optimisation des stocks, des flux de matières, d’énergie, de déchets. Autrement dit, la tendance est à l’éco-conception des produits, en intégrant dès les premiers stades de production les préoccupations de durabilité, de réutilisation ou de recyclage des produits.

Cela dit, nous avons pu déceler tout de même quelques innovations en rupture, mais elles venaient très majoritairement de la part de start-up, de PME, encore bien éloignées des marchés de masse. De très loin, le secteur de l’énergie est celui qui était le plus dynamique du point de vue des innovations technologiques. Cela est probablement dû au contexte post-Fukushima où de nombreux Etats s’interrogent sur la voie à emprunter pour les prochaines décennies quant à leur approvisionnement en énergie.

Pour l’énergie solaire, une start-up réunionnaise a mis au point par exemple une technologie très prometteuse visant à prédire la production photovoltaïque en fonction des conditions climatiques, ce qui in fine pourrait grandement faciliter l’utilisation de cette énergie renouvelable intermittente. Cela ouvre la voie à la valorisation financière de l’énergie intermittente prédite ce qui soulagerait par la même occasion les gestionnaires de réseaux.

Le secteur de la production et de l’exploitation de biogaz était pour sa part très dynamique. Plusieurs sociétés comme Etia ou Cogebio par exemple proposent des moteurs pouvant fonctionner avec des mélanges air –combustibles très divers, allant même jusqu’à coupler des modules de recyclage de déchets avec des chambres de combustion. Schnell Motoren propose même des unités de cogénération, qui vont jusqu’à exploiter la vitesse de gaz d’échappement pour atteindre un rendement record de 48,3% !

Enfin, sur le traitement des déchets en aval, il y a une tendance très nette vers des produits plus naturels et une meilleure valorisation de la matière première. Les sociétés Aquaprox et Amoeba ont notamment mis au point un traitement des légionnelles dans les tours aéroréfrigérantes par un biocide 100% naturel, alors que Morphosis arrive à valoriser les déchets venant des industries électronique, électrique et télécom, en récupérant les éléments rares et précieux via une chimie plus douce (acides faibles). Pour finir, la société Ecomouton propose un concept original et rentable économiquement pour entretenir les grands espaces verts par le biais de moutons !

Pour tout savoir des innovations présentées lors de Pollutec 2013,

téléchargez dès maintenant le rapport complet.

Le Nautic 2013, bilan.

16 Déc 2013, Posté par D. Bocquelet dans Veille Salon

Le salon nautique de Paris, auquel VIEDOC s’est rendu vendredi pour présenter RSS Maritime, vient de s’achever dimanche dernier.

Cette édition s’étalait sur quatre bâtiments mais l’un d’eux étant réservé aux piscines et SPA, nous nous sommes focalisés sur les trois autres. Le bâtiment 1 (le plus vaste en superficie comme en hauteur) était tout destiné à voir s’élever les 15-16 mètres de certains mâts. En effet, les grands voiliers y étaient omniprésents, et certains des grands noms du yachting ou de la plaisance « de masse » comme Bénéteau ou Janneau avaient des stands de choix avec espaces VIP n’ayant rien à envier en recherche stylistique et affluence aux plus beaux stands du salon de l’automobile.

L’animation y était présente également sous la forme d’une piscine de 400 m2 dans laquelle avait lieu, organisée par la MACIF, des régates radiocommandées, des figures acrobatiques en board tracté, des régates et autres cours de navigation et de sécurité ouvert aux adolescents, ainsi que non loin de là, une démonstration de gabiers sur un « carré » traditionnel de grand-voilier.

La partie « moteur » faisait la part belle aux bateaux pneumatiques, encore plus cette année que pour les bateaux « en dur », ne serait-ce que par leurs performances dignes de hors-bord de compétition. Dans ce secteur, les constructeurs Italiens et Allemands étaient présents en force.
Dans le domaine de la plaisance de luxe, le succès des catamarans ne se dément pas, comme en témoignait l’affluence chez Lagoon ou Fontaine Pajot.

Très présents également (et sans doute bien plus que les années précédentes) les brokers (loueurs) de bateaux de plaisance, depuis les yachts (Amel) jusqu’au modestes péniches fluviales aménagées. Les régions, les agence de voyage, et croisiéristes étaient aussi de la partie, avec une place toute particulière donnée aux petits constructeurs de plaisance Bretons (qui à cette occasion avaient laissé leur bonnet rouge au vestiaire).

Le bâtiment 2.1 – 2.2 abritait l’ensemble des équipementiers. L’étage supérieur était réservé aux motoristes et équipementiers spécialisés pour la construction nautique (navigation et repérages, accastillage, électronique, pompes, portes et hublots, hélices, panneaux de contrôles, etc), plutôt réservé aux professionnels. Nous y avons notamment retenu une hélice innovante à pas variable auto-adaptative en fonction des conditions de mer, pour la plaisance. Les motoristes ont également annoncé des performances en hausse avec des moteurs sans cesse plus légers (aluminium) mais aussi hybrides. L’énergie solaire semble logique pour un voilier et avait été déjà démontrée opérationnellement sur le Planet Solar (MS Turanor), lequel avait bouclé un tour du monde en 2013 grâce à l’énergie solaire. Un équipementier présentait à ce titre les possibilités de « couvrir » les surfaces d’un voilier avec des panneaux solaires résistants, notamment les ponts (avec un surface transparente protégeant les panneaux sur lequel on peut marcher), et même la bôme (partie basse horizontale du mât contenant la voile et l’orientant).

Le rez-de-chaussée était quant à lui, consacré aux équipementiers plus « grand public » et cela allait des produits de nettoyages aux vêtements marins et autres accessoires, en passant par l’artisanat comme ces superbes couteaux marins. Mais sans doute la découverte la plus intéressante venait d’un concept de navire assez audacieux, à mi-chemin entre une sculpture moderne et un vaisseau de science-fiction avec le même rôle qu’une station ISS pour le milieu marin, le SeaOrbiter, qui fera l’objet d’un prochain article.

GALERIE :

Voici quelques photos prises « au vol » en différents endroits du salon.

L’intelligence économique et la veille stratégique sont sans aucun doute les instruments essentiels pour relever l’enjeu de la compétitivité et la pérennité des entreprises, un véritable défi dans le contexte de mondialisation des échanges, lui même exacerbé par la crise économique actuelle.

« Qu’il soit source d’innovation, facteur de différenciation ou encore aide à la décision, ce domaine doit aujourd’hui s’ouvrir à de nouveaux challenges pour répondre aux enjeux de demain, estime Bruno Galimand, fondateur et directeur de Viedoc. De la prise en charge des univers multi-langues à l’ajout de la dimension collaborative, son application se veut de plus en plus transversale pour répondre aux besoins et attentes de tous les services. On assiste ainsi à un véritable décloisonnement du processus de veille où le veilleur devient le facilitateur et l’animateur de la démarche. »

Pour retrouver l’intégralité du dossier de l’Express.

Viedoc au Nautic

11 Déc 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon

Viedoc sera au Nautic 2013 dans deux jours, le 13 décembre 2013. Ce salon monopolise une bonne part du complexe d’exposition de la porte de Versailles (4 halls sur 9) et fait venir près de 240 000 visiteurs, ce qui le maintient en tête des d’événements consacrés aux nautisme. 785 exposants, 700 bateaux, aussi bien voiliers comme non voiliers, 300 embarcations et près de 200 nouveautés et lancement commerciaux. Bénéteau par exemple, le leader mondial des bateaux de plaisance, y dévoile son dernier-né, le Flyer 6, une gamme de 6.50 m rigides pour concurrencer les habituels pneumatiques qui plaisent dans cette catégorie.

Le Nautic est depuis des années une référence dans le domaine nautique – bateaux de loisirs (ce qui inclut les Yachts), mais aussi plus général tout ce qui concerne le monde de la mer « grand public ». On y retrouve la presse, l’artisanat, les associations et services publics liés à la mer.

Mais Viedoc y sera surtout pour présenter son outil de veille maritime (www.rssmaritime.com). C’est actuellement en effet le seul outil de veille sur le marché spécialisé dans ce domaine. Il recense actuellement plus de 900 flux, 2500 bookmarks maritimes qualifiés, et 80 événements internationaux professionnels. Tous peuvent être surveillés en temps réel avec les requêtes choisies depuis son mobile ou tablette…

La nouvelle à de quoi surprendre. Bien qu’ancienne (la dépêche est tombée en juin dernier), elle continue a faire débat car si les entreprises on vu un temps le télétravail comme un source d’économie non négligeable et un arrangement pour les salariés, au final une solution gagnante-gagnante, en réalité les choses ne sont pas si simples et beaucoup de grandes entreprises en particulier font maintenant marche arrière.

Pourquoi ?

Lorsque Marissa Mayer, le nouveau PDG de Yahoo, a envoyé une lettre à tous les employés annulant leur droit de travailler à domicile, l’onde de choc a été ressentie à travers le monde, du Bureau de Washington des statistiques du travail à Necker Island au domicile des Caraïbes du CEO de Virgin, Richard Branson. La décision de Yahoo concernant le télétravail est revenue sous les projecteurs pour les organisations et leur personnel . Dans ce contexte ressurgit le débat du « Pourquoi pas? »

Pourquoi ne travaillons tous pas à la maison? Après tout, c’est l’ère de l’hyperconnectivité, des périphériques connectés en haut débit: Le Bureau of Labor Statistics rapporte qu’un sur quatre des travailleurs américains sont en télétravail au moins une partie du temps.

Dans la période 2005-2011, le télétravail américain a progressé de 73%, rapporte le Réseau de recherche sur le télétravail, et que les programmes de télétravail accroissent la productivité et la satisfaction des employés. Pourtant, les chefs d’entreprise continuent à se préoccuper de louer de l’espace de bureau. Pourquoi ?

– Contrôle: La réponse intuitive serait que de nombreuses entreprises craignent de perdre le contrôle de leurs employés. Les télétravailleurs eux-même appuient souvent cette perception en invoquant des difficultés dans les évaluations de rendement, par rapport à leurs pairs au bureau.

Oui, les travailleurs distants peuvent en effet sembler plus décontractés, plus heureux et plus productifs, mais cela ne signifie pas qu’ils sont bons pour leurs entreprise.

Une entreprise est plus que la somme du travail qui doit être fait, et les salariés qui sont là pour le faire. Une organisation saine avec une culture qui permet le partage des valeurs et des idées, la formation d’ une identité d’entreprise, et le sentiment d’urgence concurrentielle, peut être agile et innovante. Cependant, le travail à domicile ne peut manquer de motiver les salariés de la même manière qu’un environnement de travail en commun. En conséquence, les entreprises souffrent, malgré les augmentations de la productivité et le moral du personnel qui passent par le télétravail.

Le procès fait au télétravail:

La décision de Yahoo a créé l’incrédulité, car la résistance au télétravail vient justement des entreprises que l’on imagine justement être les plus ouvertes sur la question. Les employés de Google, par exemple, se rendent à Mountain View sur un bus gratuit doté du wi-fi, et ils sont encouragés à consacrer jusqu’à 20% de leur temps à des projets autres que leur propre travail. Pourtant, quand il s’agit de travailler à la maison, la ligne de l’entreprise est de maintenir le télétravail au strict minimum, sauf lorsqu’il s’il s’agit de donner exceptionnellement quelques heures supplémentaires après avoir quitté le bureau. Quand même les entreprises de haute technologie hyperconnectées souhaitent restreindre le travail à distance, l’idée que tout est basé sur ??le contrôle des employés se retrouve du coup sur une pente glissante.

Créativité et mémoire institutionnelle:

Au final, une entreprise n’est jamais aussi bonne que si ses salariés le sont. La valeur de chacun(e) est centrée sur la connaissance qu’il(elle) possède et les connaissances qu’il(elle) peut engranger. Dans les environnements de travail qui voient leurs collègues papoter autour de la fontaine d’eau, un apprentissage réel se fait. Beaucoup d’échanges d’informations ont lieu, ce qui permet les mêmes salariés d’augmenter leur potentiel de valeur pour l’organisation. Ils sont capables de puiser sans limites dans ce flux dématérialisé d’information et de connaissance partagées.

La lettre souvent citée de Marissa Mayer délivrée aux employés de Yahoo en effet stipule :

« Nous devons être Yahoo!, et cela commence par être physiquement ensemble. Rapidité et qualité sont souvent sacrifiées lorsque nous travaillons à la maison ». Elle ne parlait pas tant de la qualité du travail effectué, que des qualités que les employés apportent à une société quand ils se réunissent autour de la fontaine d’eau causant de shopping. Elle a probablement entièrement appris cela à Google. C’est un sentiment partagé par le directeur financier de Google, Patrick Pichette. Dans une interview avec le journaliste australien Ben Grubb, il a expliqué la position anti – télétravail, contre-intuitive de Google : « Il y a quelque chose de magique dans le partage des repas. Il y a quelque chose de magique dans le fait de passer du temps ensemble, de brasser librement des idées, de demander, ‘Que pensez-vous de cela?’ « .

Magique ou non, le fait est que le télétravail ne fonctionne généralement pas bien, parce que les entreprise n’ont pas encore résolu le problème du knowledge management à distance, ou la gestation collaborative de nouvelles idées. Si cette « magie » se produit, vous avez encore de beaux jours devant vous. Au final l’évolution technologique s’accélère et les pressions du marché intensifient, les entreprises ont besoin pour devenir de plus en plus agiles et innovantes, de coller à leur environnement par un jeu de communication des connaissances externe/interne passant par le travail physiquement et en commun. Paradoxalement, la technologie qui a rendu le télétravail possible conspire maintenant a garder les salariés au bureau…

Traduit et adapté, d’après un article de Forbes

Le salon 3D Print Show s’est déroulé les 15 et 16 novembre à Paris et à en juger par l’affluence, le salon a été un franc succès. Il est fort à parier que la prochaine édition se déroulera dans un endroit plus spacieux tant il était difficile de se déplacer d’un stand à l’autre. Après tout, le marché mondial de l’impression 3D, machines et services compris, a été estimé à 2,2 milliards de dollars en 2012 avec un taux de croissance annuelle de 28,6% selon le rapport Wohlers 2013 !

URBEE au salon 3D Print ShowLongtemps réservée au prototypage rapide et aux industries de pointe, l’impression 3D s’est récemment démocratisée avec l’arrivée sur le marché d’imprimantes moins onéreuses et plus rapides, ainsi qu’un choix plus varié de matériaux imprimables. Il y a maintenant de nombreuses sociétés qui proposent des imprimantes et consommables à des prix abordables. De nouveaux services dédiés à l’impression 3D ont également vus le jour. Des sociétés proposent par exemple des plateformes de fichiers 3D à imprimer que les utilisateurs peuvent eux-mêmes personnaliser. L’univers de l’open source est aussi très présent et permet de faire du lien social entre bricoleurs d’un nouveau genre. De nombreux utilisateurs mettent en effet leurs créations en ligne à la disposition de tous.

Le salon 3D Print Show a également fait la part belle à la création artistique par le biais d’un défilé de mode où l’on a vu des bijoux, des sacs, des chaussures, des lunettes et autres accessoires imprimés en 3D. Un hall d’exposition entier était d’ailleurs réservé aux artistes souhaitant montrer et vendre leurs créations.

Côté projets ambitieux, on peut citer des prothèses de main, ou encore des robots commandés par la voix. L’impression 3D a un potentiel énorme en médecine, d’autant plus que maintenant il est possible d’imprimer des tissus humains et des implants bio-résorbables. L’impression 3D a d’ailleurs déjà sauvé la vie d’un nouveau-né qui s’étouffait et qui a bénéficié d’une «attelle bronchique» sur mesure réalisée par impression 3D à l’université du Michigan !

Il semble vraiment que la seule limite rencontrée par l’impression 3D aujourd’hui soit la taille des pièces, tant les possibilités permises par cette technologie sont importantes. L’impression 3D est d’ailleurs utilisée depuis quelques années par l’industrie cinématographique et chose rare pour être précisée, la société américaine Legacy Effects avait prêté pour le salon ses pièces imprimées en 3D et utilisées dans des films comme Avatar, Iron Man ou Pacific Rim.

Enfin, il a été signalé lors du salon 3D Print Show que la démocratisation de l’impression 3D allait changer la donne au niveau de la propriété intellectuelle, surtout en Europe où il est permis de faire des copies personnelles. Avec l’impression 3D, viendront en effet le piratage et la personnalisation des objets. Vite débordées par le nombre des consommateurs devenus en quelque sorte des « concurrents très locaux », les entreprises vont être forcées d’aller vers de nouveaux concepts marketing comme la co-création d’objets avec les consommateurs, quitte à accorder des licences révocables. La propriété intellectuelle n’a en effet de valeur que si on peut la faire respecter.

Pour tout savoir des innovations présentées lors de l’événement 3D PRINT Show Paris 2013, commandez dès maintenant le rapport complet VeilleSalon !

Visualisez le Sommaire du rapport de 46 pages en français.

Bon de commande

 

Pollutec 2013 : Deux veilleurs et un rapport.

05 Déc 2013, Posté par Wanda Tardy dans Veille Salon

Le Salon Pollutec est depuis des années le rendez-vous incontournable des technologies et innovation durables et s’est scindé un temps en deux entités, traitement des pollutions (le Pollutec original) et Pollutec Energie, avant de se voir regroupé en un unique événement, Horizons. Ce dernier concerne les secteurs les plus divers de l’économie verte. Le salon se tient à Paris Nord Villepinte, Hall 6, du 3 décembre, avec une nocturne le 05 décembre (21h30).

Pour en savoir plus

 

Secteurs :

Et s’adresse aux professionnels, ingénieurs et experts du secteur privé et des collectivités publiques.

Le rapport de veille Pollutec 2009 présent sur la plupart des plate-formes de publications en ligne avait été lu plus de 2500 fois et téléchargé 325 fois. Nous souhaitons le même succès à l’édition du rapport de veille Pollutec 2013 !.

Rapport de veille Pollutec 2013

04 Déc 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon
Résumé Pollutec 2013: Le salon Pollutec 2013 s’’est déroulé du 3 au 6 décembre 2013 au parc des expositions à Paris-Nord Villepinte, où pas moins de 1194 exposants (819 français) venant de 28 pays ont pu dévoiler leurs activités en matière de développement durable. Cette édition 2013 s’’est quand même fait remarquer par l’’illustration de cette crise économique, qui commence à durer bien au-delà des prédictions et qui a fini par entamer la trésorerie de bon nombre d’’entreprises. Ainsi, il convient de noter que l’’ambiance générale n’’était pas à l’’innovation en rupture, mais plutôt à la rationalisation, à la chasse au gaspillage, à l’’amélioration continue, etc.… Lors de sa visite à l’’ouverture du salon, le ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, Philippe Martin, a bien donné le ton, en faisant l’éloge de l’’économie circulaire qui oeuvre à refermer le cycle de vie des produits, via l’optimisation des stocks, des flux de matières, d’énergie, de déchets. Autrement dit, la tendance est à l’éco-conception des produits, en intégrant dès les premiers stades de production les préoccupations de durabilité, de réutilisation ou de recyclage des produits (…).

Tags : énergie, photovoltaïque, moteur, cogénération, biogaz, déchet, recyclage, eau, renouvelable, smartgrids

Langue: Français – 37 pages • Sommaire

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    Le Rapport de veille du salon 3D Print Show sera très prochainement disponible

    Actuellement en cours de relecture, le rapport de veille suite à notre visite du salon 3D Print Show 2013 sera disponible d’ici la fin de la semaine.
    Dans ce rapport en français d’une quarantaine de pages, vous trouverez notamment :
    – notre regard sur les tendances et innovations dans le domaine
    – les dernières nouveautés en matière d’hardware et de software
    – les nouvelles applications rendus possibles tant pour les particuliers que les professionnels
    – mais aussi ce que l’on aurait aimé voir en matière d’innovations et que l’on a pas vu lors de cette visite

    Pour vous faire patienter, retrouvez d’ores et déjà ci-dessous le résumé ainsi que le sommaire du rapport:

    RESUME

    Le salon 3D Print Show s’est déroulé les 15 et 16 novembre au Carrousel du Louvre à Paris et à en juger par l’influence, le salon a été succès au-delà de l’espérance des organisateurs. Il est fort à parier que la prochaine édition se déroulera dans un endroit plus spacieux tant il était difficile de se déplacer d’un stand à l’autre. Après tout, le marché mondial de l’impression 3D, machines et services, était estimé à 2,2 milliards de dollars en 2012 avec un taux de croissance annuelle de 28,6% !

    L’impression 3D, qui permet de créer des objets par superposition de fines couches de matière, est une technologie en plein essor, même si cette technologie est connue depuis plus de 30 ans. Il n’y a pas, ou très peu, de perte de matériaux et le fait de réduire le nombre d’étapes du processus de fabrication apporte des bénéfices considérables en termes de coût pour les petites séries.

    Longtemps réservée au prototypage rapide et aux industries de pointe, elle s’est récemment démocratisée avec l’arrivée sur le marché d’imprimantes moins onéreuses et plus rapides, ainsi qu’un choix plus varié de matériaux imprimables. En effet, il est désormais possible d’acquérir une imprimante 3D pour moins de 1000 euros, comme par exemple l’imprimante EX1 de 3D Free Sculpt, proposée en France par Pearl Diffusion. Il y a maintenant de nombreux fournisseurs et revendeurs qui proposent des prix abordables tant pour les imprimantes que sur les consommables.

    De nouveaux services dédiés à l’impression 3D ont aussi vu le jour ces dernières années. Des sociétés comme Scupteo proposent des plateforme de fichier 3D à imprimer, que les utilisateurs peuvent personnaliser. Cette société permet d’ailleurs également une rencontre virtuelle entre designers et utilisateurs pour aller plus loin avec l’impression d’objets 3D uniques. L’univers de l’open source, aussi très présent, permet de faire du lien social entre bricoleurs d’un nouveau genre et de nombreux utilisateurs mettent leur création en ligne à la disposition de tous.

    On a également remarqué des projets ambitieux comme l’impression de prothèses de main, ou encore des robots imprimables commandés par la voix. L’impression 3D a un potentiel énorme en médecine, maintenant qu’il est possible d’imprimer des tissus humains, des matériels bio-résorbables et tolérés par le corps, et même des matières synthétiques utilisables pour faire des greffes. L’impression 3D a déjà sauvé une vie, celle d’un nouveau née qui s’étouffait et qui a bénéficié d’une «attelle bronchique» sur mesure réalisée par impression 3D à l’université du Michigan !

    Parallèlement au salon, La Poste et Orange ont mis cet automne quelques imprimantes 3D dans leur agence pour permettre aux usagers d’imprimer des coques pour smartphones au prix de 30 euros. Leurs catalogues proposent d’autres objets personnalisables pour les particuliers mais aussi pour les professionnels comme les cabinets d’architectes.

    Cela dit, le salon 3D Print Show a également fait la part belle à la création artistique, part le biais d’un défilé de mode où l’on a vu des bijoux, des sacs, des chaussures, des lunettes, le tout imprimé en 3D. Un hall d’exposition entier était d’ailleurs réservé aux artistes souhaitant montrer et vendre leur création.

    Il semble vraiment que la seule limite rencontrée par l’impression 3D aujourd’hui soit la taille tant les possibilités permises par cette technologie sont importantes. Chose rare pour être précisée, la société américaine Legacy Effects avait prêté pour le salon ses pièces imprimées en 3D et utilisées dans des films comme Avatar, Iron Man, Pacific Rim. A cette occasion, il a été rappelé que l’impression 3D est utilisée depuis quelques années par l’industrie cinématographique, car la précision des détails est bien meilleure que celle obtenue lorsque par la réalisation d’effets spéciaux sur fond vert.

    Enfin, il a tout de même été précisé lors du salon 3D Print Show que la démocratisation de l’impression 3D allait changer la donne au niveau de la propriété intellectuelle, surtout en Europe où il est permis de faire des copies personnelles. Avec l’impression 3D, viendront le piratage et la personnalisation des objets. Vite débordées par le nombre des consommateurs devenus concurrents très locaux, les entreprises vont être forcées d’aller vers des concepts comme la co-création d’objets avec les consommateurs, quitte à donner des licences révocables. La propriété intellectuelle n’a de valeur que si on peut la faire respecter. Dans le cas de l’impression 3D, il faut mieux avoir une petite part d’un grand gâteau, plutôt qu’une grosse part d’un tout petit gâteau. Il arrive que la menace ne se situe pas au niveau de la contrefaçon mais au niveau de la concurrence !

    SOMMAIRE

    PARTIE 1. EQUIPEMENTS POUR L’IMPRESSION 3D

    • 1.1 HARDWARE
    • 1.1.1 Pearl Diffusion (distributeur de 3D Free Sculpt)
    • 1.1.2 Fab Shop (distributeur de Maker Bot)
    • 1.1.3 Airwoolf
    • 1.1.4 Autres fournisseurs présents sur le salon 3D Print Show
    • 1.2 SOFTWARE
    • 1.2.1 Autodesk 3D Print Utility
    • 1.2.2 Autodesk Shapelifter

    PARTIE 2. NOUVEAUX SERVICES POUR LES PARTICULIERS

    • 2.1 L’UNIVERS « OPEN SOURCE » POUR L’ENTRE-AIDE ENTRE « MAKER »,
    • 2.1.1 Les « Maker Faire »
    • 2.1.2 InMoov (Robot 3D)
    • 2.2 PLATEFORME DE DESSIN, DE FICHER 3D ET D’IMPRESSION 3D EN LIGNE
    • 2.2.1 Crobics (Logiciel et impression en ligne)
    • 2.2.2 Sculpteo
    • 2.2.3 Shapelize
    • PARTIE 3. BOULEVERSEMENT DES PRATIQUES CHEZ LES PROFESSIONNELS

    • 3.1 NOUVELLE REVOLUTION DANS LA MEDECINE
    • 3.1.1 Impression sur mesure d’organes biorésorbables
    • 3.1.2 Greffes définitives d’organes imprimés en 3D
    • 3.1.3 Nouvelle technique de chirurgie réparatrice plus précise et rapide
    • 3.2 PROPRIETE INTELLECTUELLE IMPOSSIBLE A PROTEGER
    • 3.3 CREATION ARTISTIQUE
    • 3.3.1 Le défilé de mode
    • 3.3.2 Le hall ouvert aux designers et artistes
    • 3.3.3 Le cinéma déjà dans l’impression 3D

    PARTIE 4. DERNIERES AVANCEES ABSENTES DU SALON

    • 4.1 FAX 3D PAR AIO ROBOTICS
    • 4.2 SERVICES D’IMPRESSION 3D EN MAGAZIN EN FRANCE
    • 4.2.1 Auchan
    • 4.2.2 La Poste
    • 4.3 IMPRESSION D’ORGANES EN TISSUS HUMAINS
    • 4.4 IMPRESSION DE SOUS-VETEMENTS FEMININS SUR MESURE

    CONCLUSION ET PERSPECTIVES
    A PROPOS DE VEILLE SALON
    PRESENTATION DE VIEDOC SARL

    Paris, 15-16 novembre. Le salon 3D print Show montre un florilège de possibilités, vues sous l’angle artistique. Après un aperçu du défilé, voici les réalisations des exposants:

    Galerie des exposants

    DERNIERE CHANCE DE PARTICIPER A L’OFFRE VEILLE SALON PACKAGING 2014…

    Vous avez été nombreux à nous informer de l’intérêt que vous portez à  notre offre Veille Salon Packaging 2014 et notamment la nouvelle formule « Top Events ».

    Avec cette formule, nous vous proposons tout simplement de couvrir les 5 plus grands événements du packaging de l’année répartis sur 3 continents (Europe, Asie et Amérique) pour une parfaite connaissance des évolutions du marché et des tendances dans le monde entier.

    Nous vous rappelons que le vendredi 30 novembre 2013, nous procéderons à la clôture des inscriptions. Il ne vous reste donc plus que quelques jours pour participer à cette offre.

    Pour mémoire, vous trouverez le détail de ce service unique sur cette page