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Veille Salon à Pollutec 2013

25 Nov 2013, Posté par T. Perran dans Veille Salon

VIEDOC (Equipe Veille Salon) se rend très prochainement à Pollutec Horizons 2013. Ce salon des technologies et de l’innovation pour l’environnement est désormais bien installé dans le paysage événementiel Français et est l’une des dates incontournables en Europe pour le domaine.

Il se tient du 3 au 6 DECEMBRE 2013 à Paris Nord Villepinte – Hall 6.

Un rapport de veille sera rédigé sur le salon qui donnera lieu à une publication ultérieure et sera proposé à la vente.

Pour en savoir plus : http://www.veillesalon.com/fr/n/salons/pollutec-horizons-2013-v12328.html

Veille du salon Big Data 2013

21 Nov 2013, Posté par T. Perran dans Veille Salon

Le salon Big Data Expo s’est déroulé les 16 et 17 octobre 2013 à la Porte de Versailles à Paris et les professionnels se sont vigoureusement interrogés les uns les autre pour savoir vers quelles directions ce nouveau marché des Big Data s’orientait. En effet, avec le Big Data, viennent les gros volumes d’informations non structurées que l’on peut traiter très rapidement. Il devient alors possible pour une grande entreprise de suivre en temps réel l’évolution de son chiffre d’affaires par exemple. Ainsi, le Big Data s’invite au cœur de la stratégie des entreprises pour leur apporter des avantages compétitifs. Cela implique de nombreux bouleversements dans les méthodes de travail.

Tout d’abord, tout le monde s’est accordée sur le fait que l’information devenait décloisonnée, à savoir qu’elle n’appartient plus à tel ou tel service mais elle est mise dans un pot commun. Pour des raisons d’efficacité, il devient nécessaire de ne plus faire appel à des serveurs physiques mais à du cloud qui permet un stockage redondant de l’information avec une grande vitesse d’accessibilité. A ce niveau, on constate que le secteur est encore jeune, car il n’y a pas deux systèmes de cloud identiques. Tout est customisé aux besoins des entreprises. Il y a une grosse différence entre le cloud public pour des sites comme Facebook, Twitter, Hotmail et le cloud privé, qui donne des garanties d’accès et de vitesse d’accès à tout instant, avec des systèmes redondants qui évitent la moindre perte d’information. Certaines entreprises passent tout leur système d’information, y compris leurs ressources humaines, dans les systèmes cloud, alors que d’autres y vont de manière sélective. Pour s’y retrouver dans la forêt d’offres et de prix sur le cloud (au plus bas 0,05 € pour 1 Go stocké en cloud), les professionnels recommandent d’essayer les offres et de s’interroger sur au moins 3 points :

1. Où sont stockées mes données, à savoir la localisation physique des data centers ?
2. Comment accéder à mes données, à savoir quelles dispositions d’accès offrent le fournisseur ?
3. Quelles services et applications me sont proposés pour exploiter mes données ?

Mapping des acteurs du cloud en 2013

 

Sur cette infographie, on retrouve les acteurs majeurs présents sur le Big Data et le Cloud Computing. On peut constater que c’est un marché très concurrentiel et en général, les sociétés qui vont vers le Big Data font appel à plusieurs prestataires par prudence. Les fournisseurs ont une responsabilité sur le contenant et pas sur le contenu, mais il peut y avoir des conflits avec les systèmes juridiques des pays où se trouvent physiquement les data centers. Par exemple, aux Etats-Unis, la loi Patriot Act oblige les fournisseurs à donner aux autorités les données qu’ils hébergent, sans qu’ils puissent vraiment s’y opposer, d’où l’intérêt de connaitre la localisation des data centers des fournisseurs. Windows a communiqué le fait que depuis la mise en application du Patriot Act, les autorités américaines ont fait 13 demandes d’information. 7 ont été refusé par un juge et une seule fois Windows a été contraint de livrer les informations sans prévenir le client.

Actuellement, moins de 1% des dépenses IT sont consacrées au Big Data, mais ce nouveau secteur est fortement soutenu par le gouvernement américain. En effet, alors que les agences fédérales américaines émettaient 35 appels d’offres sur les Big Data en 2012, celles-ci avait déjà 75 appel d’offres sur le même sujet sur les 9 premiers mois de l’année 2013. Un appel d’offre d’une agence fédérale vaut généralement entre 35 et 80 millions de dollars. L’exploitation des métadonnées devient un enjeu majeur et les applications commencent à toucher la vie des citoyens. Les banques américaines par exemple ont mis en place une plateforme commune pour identifier les fraudes très rapidement et se transmettre les informations immédiatement. Ces avancées permettent aussi aux entreprises de réaliser qu’elles exploitaient encore assez mal les données en leur sein et les technologies liées au Big Data leur sont d’un grand recours, avant même de vouloir analyser ce qu’il se dit sur les réseaux sociaux.

Au niveau innovations technologiques, le modèle de développement communautaire Open Source suit son cours. L’environnement ou écosystème Hadoop fait toujours office de référence et d’ailleurs la version 2 de Hadoop était sortie dans la nuit du 16 au 17 octobre 2013 avec un nouveau système de fichier HDFS. La fondation Apache détient toujours la propriété intellectuelle de Hadoop mais son développement se fait à partir des ateliers entre experts aux 4 coins du monde. Le fait marquant sur le salon a surtout été l’évolution des bases de données relationnelles avec de nouveaux systèmes de stockage en colonne et de nouvelles visualisations graphiques. Dès lors, on commence à parler de notions comme le patrimoine informationnel et survient la délicate question du droit de regard de la CNIL sur ces bases de données relationnelles complexes. En effet, dès lors que l’exploitation de ces dernières peut aboutir à la suppression d’un droit à un citoyen, la CNIL doit être mise dans la boucle. Là encore, on découvre des choses et les gens du secteur se cherchent. Le secteur est loin d’être mûr mais les retombées en termes de valeur ajoutée sont gigantesques. Affaire à suivre donc !

3D Print Show Paris en images

18 Nov 2013, Posté par T. Perran dans Veille Salon

Comme annoncé Veille Salon était présent à 3D Print Show, Paris, première édition. En attendant la rédaction du rapport de veille, voici un petit avant-goût avec la galerie du défilé qui présentait des créations imprimées de stylistes de la mode…

Les photos du défilé de 3D print Show

RSS-Sourcing, un outil pour les dominer tous…

12 Nov 2013, Posté par D. Bocquelet dans Outils

…et dans les ténèbres, les lier*.
La preuve en image :

*Tirade phare pour ceux qui connaissent le cycle du « seigneur des anneaux » écrit par Tolkien et mis en images récemment au cinéma par Peter Jackson… Un clin d’oeil à l’anneau unique, instrument de domination par Sauron sur la terre du milieu, ici celles de l’intelligence économique à travers le cycle de la veille…

La même chose en pdf haute qualité.

Veille Salon à Paris 3D print show

06 Nov 2013, Posté par T. Perran dans Veille Salon

Veille salon sera présente au salon professionnel international 3D Print Show, pour la première fois en france les 15-16 novembre à Paris, l’un des salons majeur des technologies d’impression 3D. Le marché est en plein essor depuis quelques années et notamment s’est taillé une place de choix dans l’industrie et notamment le prototypage rapide. Une domaine qui révolutionne ou est en passe de révolutionner également l’éducation, le cinéma, l’architecture, l’art, et bientôt se prépare à débarquer dans les foyers… Quel est l’état de la concurrence, des technologies, des marchés ?

Veille Salon fera une analyse complète de l’évènement et des acteurs impliqués avec un rapport de veille complet qui sera diffusé à la rentrée 2014.

Le site du 3D Print Show

Suite à un examen qualitatif,  Viedoc a intégré le catalogue d’experts pour dans le cadre de l’Action collective AIR 2013 – 2014 et de ses déclinaisons départementales (Sensinno, Trempolinno, Innovia Touraine, Innov’action Loiret et Berrinnov) ainsi que du dispositif CAP Conseil AIL du Conseil régional du Centre.

Cette action régionale, co-pilotée par L’ARITT Centre, la CCI Centre et les 6 CCI Territoriales des départements de la région Centre, vise à accompagner des projets d’innovations portées par des PME sur le territoire régional.

Pour plus de détails sur le dispositif AIR :

http://www.reseaucentreinnovation.fr/dispositif_air.pdf

 

Le R.I.P. social

23 Oct 2013, Posté par D. Bocquelet dans Regard sur l'actualité

RIP rubrique nécrologique des réseaux sociaux

En cette fin d’octobre, avec Halloween qui approche, nous abordons un sujet de circonstance: La rubrique nécrologique des réseaux sociaux…

Le phénomène des réseaux a maintenant atteint une certaine maturité, et force est de constater que la loi darwinienne s’y applique aussi. Certains réseaux sociaux vous seront peut-être inconnus, mais  à une certaine époque, ils sont étés au sommet de la vague et avaient des millions d’utilisateurs et de followers.

Sont-ils tous enterrés ou une résurrection est à souhaiter (ou à craindre ) ?

– L’avenir nous dira si certaines de ces solutions seront capable de se réinventer et de fidéliser de nouveaux utilisateurs…

1-Friendster (2002-2009). Pionnier après facebook, ce média à su fidéliser 3 millions utilisateurs avides de nouveautés peu après son lancement, mais d’après PCMag.com, une fois son profil renseigné il n’y avait pas grand chose à faire en comparaison de facebook ou myspace. Les premiers clous au cercueil ont été plantés lorsque la base technique n’a pas suivi son extension. Problèmes de serveur à répétition, bugs de cache, puis un temps de chargement qui culminait à 40 secondes au pic de sa croissance. Enfin le choix hasardeux (à posteriori) de passer d’un base java en php, mal gérée. Aux USA il avait été déserté vers 2006-2008. Encore au top en Asie (Philippines, Malaisie, et Singapour selon alexa), il avait été racheté par MOL (poinds lourd des médias en Asie). Sa « résurrection » est encore discutée tant ses utilisateurs asiatiques lui sont restés  fidèles jusqu’en 2009. Le nom a été réactivé (pas le concept, bien mort)  pour un site de jeux en 2011 et actuellement « cartonne » aux Philippines et en Corée.

2-MySpace (2003-2011). Certainement mieux connu, il a pu trouver son public très vite après son lancement en 2003. Il avait été racheté à hauteur de 580 millions de dollars par une major des actualités. En 2009, il culminait à 75 millions d’utilisateurs, encore loin encore derrière facebook. Toutefois les critiques s’accumulaient : En 2006 MySpace signait un partenariat avec Google, et s’est vu littéralement inondé de publicités provoquant des ralentissements, tandis que les utilisateurs se plaignaient aussi d’un spamming intensif. Enfin, peu de nouvelles innovations ou applications et au final une perte constante de trafic au profit de Facebook. En 2011, le réseau est moribond, et l’artiste Justin Timberlake le rachète pour 35 millions avec l’idée de le transformer en réseau social pour les musiciens amateurs. Nouveau problème en 2012, le FTC, équivalent américain de la CNIL, attaque Myspace pour violation répétée à l’accès aux données personnelles. En 2013, Myspace est rebadgé, propose une appli iphone radio et de création de .gifs, mais son avenir est plus que jamais incertain face à des majors bien installées dans ce domaine, comme Spotify, Rdio, et lastFM, sans parler de Rolling Stones et Pitchfork…

3-ORKUT (2004-?). Lancé discrètement par Google et créé par une petite main de Google, Orkut Buyukkotnen, le réseau n’a jamais rencontré le succès attendu, et surtout a été suspendu aux USA, pour cause de non-filtrage des publicités (envahi par le porno). Il est resté par la suite lent et perclus de spams. Toutefois contre toute attente le succès s’est maintenu au Brésil qui l’a préféré à Facebook. A tel point que techniquement mort aux USA, il se porte bien au Brésil (près de 57% de Brésiliens, ainsi que 22,4% d’indiens) où le QG  et les serveurs ont été déménagés en 2011.

4-DIGG (2004-2010). Sans doute le « décès » le plus choquant de tous (combien de fois avez-vous entendu « digg-like » ?), le pionnier du partage d’articles atteignait les 236 millions d’utilisateurs en 2008, l’année de son sommet. Google envisagea puis repoussa finalement  son acquisition pour 200 millions de dollars.  A la suite ce cet événement, la direction ambitionnait de concurrencer Facebook et twitter en mettant en place des fonctionnalités similaires puis en refondant entièrement sa charte graphique et son interface. Les fidèles avaient entre-temps perdu nombre de fonctionnalités populaires, se voyaient envahis de publicités tandis que lenteurs et bugs s’accumulaient. Il fallait près de 7 étapes pour partager une article… En 2011, son CEO admettait lui-même des choix discutables. En 2012, Digg était finalement revendu en trois parts, à Betaworks (base technique), au Washington post Social Code (salariés), et enfin une série de brevets à Linkedin. En 2013, ses fondateurs se sont recentrés sur un concept nouveau et modernisé, incluant un lecteur RSS, une appli iphone et une API, ainsi qu’une nouvelle interface entièrement repensée. Résurrection en vue ?

5-Xanga (1999-2013). Commencé comme un réseau social, puis migrant vers un moteur de blog à succès, Xanga a connu son année phare en 2006 aux USA comme troisième réseau social le plus utilisé, très prisé des teenagers Américains. Il est même devenu une référence pour de nouveaux challengers comme Tumblr, Blogger, et WordPress. Mais ces derniers ont su sortir très vite des innovations qui ont lentement mais surement rendues moins attrayante la formule de Xanga. Dans le même temps, le réseau accusait un grave coup porté par le COPPA, organisme Américain de défense de la vie privé des enfants/ados, avec une amende de quelques 1 millions de dollars et l’exigence de modifications. De plus, Xanga n’est jamais parvenu à l’équilibre financier. En 2013, il était en quasi-faillite, devant trouver 60 000 dollars de financement. Une bonne partie fut payée par son CEO, John Hiler. Finalement, c’est sous la forme d’un hébergement de blogs en utilisant WordPress comme base, sans publicités, que la formule tente d’être réactivée par ses concepteurs.

6-SixDegrees (1997-2001). Sans doute le plus ancien (« le grand-père des réseaux sociaux »), il avait été pionnier en combinant les profils personnels, la messagerie instantanée entre membres, la liste d’amis et la possibilité de rechercher parmi les amis de ses amis. En 1999, il culminait 2.5 millions de membres. Le concept de « six degrés » renvoyait à l’idée imagée de pouvoir être connecté au reste du monde avec six degrés de connexion étagée. La même année, il nouait un partenariat avec un major des newsmedias aux USA, et en 2000, il était racheté par YouthStream Media Networks pour 125 millions de dollars. La raison de sa disparition est sans doute lié à un concept d’avant-garde qui n’avait pas su trouver l’équilibre financier avec un modèle de recette publicitaire encore très balbutiant à l’époque, et des problèmes récurrents de spam. Une tentative de le réactiver par des nostalgiques en 2010 a tourné court.

L’infographie (ouvrir dans un nouvel onglet)

Source originale :http://technorati.com/social-media/article/will-social-media-relics-rise-again/

Top 10 des moteurs de recherche gratuits

23 Oct 2013, Posté par D. Bocquelet dans Regard sur l'actualité

La recherche « no noise » en gratuit, ce n’est pas pour tout de suite !

En veille, on peut utiliser une surveillance de sites internet choisis par flux RSS, mais beaucoup n’en ont pas.

Ce sont particulièrement les sites corporate de petites sociétés, et fournisseurs qui n’ont pas par nature une grosse actualité.

Le complément c’est donc un moteur de recherche pour pouvoir parser ces informations du « web profond », invisibles mais pourtant vitales dans certaines secteurs d’activité.

Nous avons testé plusieurs moteurs et comparé leurs avantages et inconvénients. Nous avons éliminé les moteurs fanco-français (comme voilà) et les moteurs thématiques de ce test. Les moteurs abandonnées ou en cours de déménagement sont également hors-course tout comme les moteurs professionnels non-publics comme Sinequa ou Polyspot.
Ce test s’est basé sur une requête type susceptible d’être tapée par un veilleur professionnel sur un sujet donné, technique, précis. Ici c’est « scrubber » (un système de recyclage du CO2, permettant de réduire l’impact environnemental des rejets de carbone), et comme nous cherchons ce système uniquement pour des navires, cela donne scrubbers+ships.

Moteur de recherche Avantages Inconvénients
Nombreux résultats (855 ko) 

Pagination pratique

booléens acceptés

Résultats orientés en fonction profil 

Trop de résultats commerciaux

Possibilité d’afficher plus de 100 résultats/page 

Paramétrage possible langue

Résultats trop limités (30) 

Déconnexion préalable de son compte microsoft

Trop de résultats commerciaux

Nombreux résultats (404 ko) Déconnexion préalable 

Basculer sur sur yahoo.com

Résultats commerciaux trop présents

Couplage avec google


Affiche les favicones des sources Résultats limités et non pertinents 

N’accepte pas les booléens

trop de résultats commerciaux (+70%)


Vignettes 

Rapide

Pas trop de résultats commerciaux

Trop peu de résultats (30) immédiatement visibles. 

Pagination peu ergonomique.

Bonne pagination 

Peu de résultats commerciaux

Relativement lent 

Pertinence courte (deux pages)

Rapide Pertinence vite perdue (sémantique approchante) 

Trop peu de résultats par page

Rapide 

Bonne pertinence

Bonne pagination

Statistiques & filtrage

Pertinence courte (-30 résultats sur la requête)
Epuré Trop peu de pertinence sur la requête 

Trop de résultats commerciaux

Partenariat avec Yandex

Bonne pagination 

Bonne pertinence

Pas de surlignage sémantique 

Ads trop présents sur les pages de recherche

Pertinence courte (env. 20 résultats)

Au final : Exalead (Dassault systemes) est le moteur qui s’en sort le mieux et a les options les plus intéressantes en accès public. Toutefois l’absence ou presque de résultats commerciaux masque une pertinence vite perdue dans les SERPs sur la requête, et le volume reste modeste.

Nos observations :

  1. Les technologies sont matures et la recherche est rapide.
  2. Dans certains cas, il est nécessaire de se déconnecter avant toute recherche
  3. La pagination sur 10 pages de 10 résultats est standard, mais les ads (publicités) parasitent parfois la consultation
  4. L’acceptation des booléens (ici « + ») est également standard
  5. La pertinence des résultats initiaux (3 premières pages) dépend du volume initial et du traitement ou non des liens commerciaux
  6. Les options de personnalisation de la recherche sont rares
  7. Problème de redirection pour Google, il faut se connecter en mode anglophone.

Le moteur de recherche parfait serait celui qui peut tirer profit de la base de google, après avoir filtré un grand nombre de paramètres, sans parasitage commercial ou personnel.

Exemple : Préciser le champ sémantique pour un terme polysémique. Ex. « Tank » veut aussi bien dire « char d’assaut » que « réservoir ». Préciser une catégorie comme « défense » permettrait déjà de passer outre les ambiguïtés.

Problème : Ce genre d’indexation est impossible sur une grosse masse de données. La plupart de sites internet ne précisent pas de balise meta « category » tout simplement par méconnaissance des webmasters et SEO sur son avantage possible.

Solution : Une indexation sémantique des contenus pour en déduire une ou plusieurs catégories, ainsi que le champ sémantique élargi du site qui fournit des indices supplémentaires. C’est un système déjà en place sur Google, mais beaucoup de moteurs n’ont pas la capacité de suivre.

La possibilité de filtrer les résultats avant ou après la requête avec plusieurs critères, est rarement une possibilité donnée par des moteurs de recherche gratuits. De même l’analyse graphique des résultats est quasi-absente du paysage. En revanche il s’agit de fonctionnalités attendues sur des outils payants.

Autre problème : La base de recherche est sur le gratuit en « tout-venant ». On mélange les informations issues de blogs personnels, forums, documents pdf, sites d’actualités spécialisés et presse généraliste, et liens et sites commerciaux.

Deux solutions sont possibles :

  • Soit le WWW est scanné sur le plan technique en amont (lorsque le filtrage par type de site existe -et est possible)
  • Soit on effectue une recherche sur une base de données qualifiée et contrôlée, c’est le cas de RSS Sourcing.

Enfin, la vérification de pertinence, qui s’effectue en lisant les descriptifs des résultats affichés. Un surlignage ou passage en gras des termes de la requête au niveau de l’URL, du descriptif (balises meta) et contenu, sont une aide précieuse, malheureusement pas encore généralisée.

La consultation des pages de résultats est sans doute l’étape la plus chronophage. Là encore les algorithmes du moteur décident quels sites sont les plus « pertinents » sur la requête, et le travail des SEO vient parasiter encore ces SERPs par des résultats commerciaux. La consultation donc du « web profond » reste donc un challenge, qu’un système permettrait de contourner : Celui des alertes, avec le bémol du sourcing qui est derrière. S’il ne se base que sur des fils d’actualité, cela est perdu d’avance.  Il peut y avoir en effet une information très valable bien enterrée dans un pdf de présentation technique, lui même difficilement accessible sur un site internet n’ayant pas d’actualité. Il faut donc un « bot » agressif et passe-partout à la google, mais qui puisse en même temps forwarder les informations de ce « web profond » en temps réel, en parfait « pull ».

Pour l’anecdote, Yahoo et Bing ont tous deux décidé de changer de logo dernièrement. Voici les différentes options testées par Marissa Mayer, ex porte-parole de Google maintenant à la tête de Yahoo.

Souhaitant positionner l’utilisateur final au cœur du dispositif, nous nous devions de prendre en compte les différences d’approche face à la veille.

On remarque en effet, des disparités importantes du fait de la taille et de la culture des entreprises mais aussi selon la présence ou non de personnes dédiées à la veille au sein même de ces structures. Si le non-spécialiste va privilégier le gain de temps et la facilité d’utilisation de l’outil, le veilleur va être quant à lui, plus particulièrement attentif aux fonctionnalités et au mode d’affichage avancé.

A la recherche de la synergie parfaite entre d’une part la simplicité d’utilisation et d’autre part la pertinence des fonctionnalités, le défi était de taille et revenait à répondre à la question suivante : comment optimiser la circulation des informations distribuées directeur au niveau du poste utilisateur et offrir des possibilités d’enrichissement et de rediffusion tout en favorisant les aspects collaboratifs.

Dans ce contexte et pour répondre à cet enjeu, la société Viedoc a opté pour le développement non pas d’un outil mais d’une famille de solutions :

Un positionnement et des solutions pour toutes les entreprises

Les outils de veille RSS Sourcing (www.rss-sourcing.com), disponible en version thématique et sur mesure

Conçu tout particulièrement pour les TPE, PME et plus largement pour toutes les structures ne disposant pas des ressources nécessaires pour effectuer une veille adaptée et efficace, le concept RSS Sourcing s’apparente à un véritable veilleur virtuel. Doté des fonctionnalités essentielles, ce veilleur virtuel vous assiste dans vos recherches ainsi que dans la surveillance et la diffusion des informations qualifiées.

Véritable simplificateur de votre processus de veille, ces outils vous permettent de gagner du temps en automatisant la surveillance de vos centres d’intêrets et vous garantissent d’être les premiers informés.

En version thématique, neuf domaines sont d’ores et déjà couverts à ce jour – aéronautique,  agroalimentaire, automobile, cosmétique, environnement, maritime,  matériaux, packaging et textile – avec pour chacun d’entre eux plusieurs centaines de sources internationales soigneusement sélectionnées.

Dans sa version sur mesure, l’accès au backoffice permet de prendre le contrôle de votre veille et de faire évoluer l’outil en fonction de vos besoins, le tout en complète autonomie (ajout / suppression / modification de sources, de thématiques et gestion des utilisateurs).

– La plateforme de veille collaborative sur mesure RSS Intelligence (www.rss-intelligence.com)

Plutôt destiné aux ETI et Grands Groupes puisqu’entièrement personnalisable et intègrant la dimension collaborative, RSS Intelligence permet de véritablement décloisonner la veille au sein des entreprises pour passer de l’intelligence individuelle à l’intelligence collective.

De par sa simplicité d’utilisation et ses fonctionnalités avancées avec notamment un générateur de flux rss propriétaire intégré, cette plateforme vise en effet à favoriser la surveillance à l’échelle mondiale mais aussi le partage et la diffusion des informations à tous les niveaux et services de l’entreprise.

Avec cette offre innovante, la société Viedoc apporte aujourd’hui une réponse concrète et opérationnelle au besoin crucial qu’ont les entreprises de comprendre et d’agir avant les autres, d’anticiper les évolutions de leur environnement en toute connaissance de cause et ce, tout en tenant compte de leurs contraintes budgétaires inhérentes à la taille et au secteur de l’entreprise cliente.

3D Print Show 2013

18 Oct 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon
Résumé: Le salon 3D Print Show 2013 s’’est déroulé les 15 et 16 novembre à Paris et à en juger par l’’affluence, le salon a été un franc succès. Il est fort à parier que la prochaine édition se déroulera dans un endroit plus spacieux tant il était difficile de se déplacer d’’un stand à l’’autre. Longtemps réservée au prototypage rapide et aux industries de pointe, l’impression 3D s’est récemment démocratisée avec l’arrivée sur le marché d’imprimantes moins onéreuses et plus rapides, ainsi qu’un choix plus varié de matériaux imprimables. Il y a maintenant de nombreuses sociétés qui proposent des imprimantes et consommables à des prix abordables. De nouveaux services dédiés à l’impression 3D ont également vus le jour. Des sociétés proposent par exemple des plateformes de fichiers 3D à imprimer que les utilisateurs peuvent eux-mêmes personnaliser. L’’univers de l’open source est aussi très présent et permet de faire du lien social entre bricoleurs d’un nouveau genre. Le salon a également fait la part belle à la création artistique par le biais d’un défilé de mode où l’’on a vu des bijoux, des sacs, chaussures, lunettes et autres accessoires imprimés en 3D. Un hall d’’exposition entier était d’’ailleurs réservé aux artistes souhaitant montrer et vendre leurs créations. Côté projets plus ambitieux, l’’impression 3D a un potentiel énorme en médecine, d’’autant plus que maintenant il est possible d’imprimer des tissus humains et des implants bio-résorbables. L’’impression 3D a d’ailleurs déjà sauvé la vie d’’un nouveau-né qui s’’étouffait et qui a bénéficié d’une «attelle bronchique» sur mesure réalisée par impression 3D à l’université du Michigan ! Enfin, il a été signalé lors du salon 3D Print Show que la démocratisation de l’’impression 3D allait changer la donne au niveau de la propriété intellectuelle, surtout en Europe où il est permis de faire des copies personnelles.. (…).

Tags : impression 3D, ABS, PLA, imprimante, scanner, fichier 3d, plateforme, design, DIY, maker faire

Langue: Français – 52 pages • Sommaire

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