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La France, en voie de sous-développement ?

19 Août 2013, Posté par adminviedoc dans Société

Actuellement en cinquième position après les Etats-Unis, la Chine, le Japon et l’Allemagne, la France pourrait bien glisser au neuvième rang d’ici dix ans, d’après l’institut britannique ‘Centre for Economics and Business Research’ (CEBR). De quoi redonner de l’espoir et du travail à nos imprimeurs locaux pour rééditer une nouvelle version de nos livres d’histoire et d’économie…

Côté innovation, selon l’indice mondial établi par l’OMPI, l’université américaine de Cornell et l’INSEAD, la France est à la peine et n’arrive qu’au vingtième rang des nations innovantes au classement 2013 (même si elle a progressé de 4 places, en passant du 24e rang au 20e rang).

Et cela se constate même dans le football, avec l’annonce il y a quelques jours seulement, de la chute de la France au 23ème rang du classement Fifa, reculant ainsi de cinq places après ses défaites contre l’Uruguay et le Brésil en juin dernier.

Heureusement, tout n’est pas négatif avec notamment le recul annoncé de la rougeole. Mais là, nous nous égarons…

Et à l’heure où de nombreux chefs d’entreprise songent à quitter la France ou l’ont déjà fait ! A l’heure où quelques tabloïds étrangers invitent nos jeunes diplômes à venir créer de la richesse chez eux et donc en dehors de la France. On est en droit de se poser la question : la France ne va-t-elle pas inexorablement vers le déclin ?

Après tout, se poser la question, c’est déjà envisager des réponses.

Une chose est sûre : la sortie de crise passera par l’innovation ! De nombreux articles font d’ailleurs l’apogée de cette certitude.Mais à l’heure où innovation rime surtout avec subvention publique, qu’est ce qu’une innovation aujourd’hui ?

Il est vrai qu’avec l’explosion du nombre de sociétés qui se disent spécialisées dans l’octroi de subventions, on pourrait croire que l’on assiste à une véritable course à l’innovation subventionnée dans les entreprises. Et à voir certaines innovations, tout laisse à penser que certains chefs d’entreprises pensent qu’il est plus facile d’obtenir des subventions que de trouver des clients.

Pourtant, en dehors de la recherche fondamentale, l’innovation n’a de sens que si elle se vend !

L’innovation pratique n’a donc d’intérêt que si elle répond réellement à un besoin client en y apportant une originalité, un facteur de différenciation. Les entreprises n’innovent pas en règle générale par plaisir mais pour répondre à un besoin fondamental : gagner des parts de marché, se différencier de l’offre concurrente, se diversifier et conquérir de nouveaux clients, se développer à l’export… et donc en résumé, gagner en compétitivité.

Alors que peut bien apporter un cabinet de conseil en veille à une entreprise dans un contexte de crise ?

Notre rôle n’est pas de conforter le chef d’entreprises dans ses idées mais bien de confronter l’innovation à des marchés cibles… bref, de prendre du recul quant aux choix stratégiques à faire et aux décisions à prendre.

Cela peut se traduire par de multiples actions visant à :

  • Optimiser la connaissance de son environnement concurrentiel (analyse concurrentielle)
  • Mieux cerner les spécificités des marchés visés en collectant les besoins et attentes de clients potentiels  (étude de marché)
  • Challenger l’innovation en évitant de se perdre dans la technicité (veille brevet et technologique)
  • Apprendre des autres pour gagner en réactivité (identification de transferts technologiques)

L’inde entre dans le « big five »

13 Août 2013, Posté par D. Bocquelet dans Regard sur l'actualité

Depuis une dizaine d’année, l’essor économique de l’Asie se double de démonstrations de puissance, qui passent par l’accroissement des forces armées. L’un des symboles les plus forts dans ce domaine est la construction d’un porte-avions. Summum de la concrétisation de ce que les militaires et politiques appellent une « projection de puissance », le porte-avions est une base aérienne, un morceau du territoire national, que l’on peut exhiber à portée des frontières de tout pays bordé par un océan. C’est une proclamation aussi imposante que le fait de posséder un arsenal nucléaire. Le paradoxe est que la Chine, l’Inde et maintenant probablement aussi le Pakistan, avaient tous l’arme nucléaire et la technologie afférente bien avant de posséder un porte-avions. Cela donne une idée de la complexité et du coût d’un tel projet.

Contrairement à la Chine, l’inde n’était pas étrangère aux porte-avions. C’était même le premier pays d’Asie continentale à en posséder un: Le Viraat, un ex-bâtiment de la classe Centaur (mis sur cale en 1944) et achevé après-guerre. Lorsque la grande-Bretagne s’en sépara pour des raisons budgétaires, l’Inde en fit l’acquisition et il permit de former plusieurs génération d’officiers et de pilotes rompus aux tactiques et techniques propres à l’aéronavale. Toutefois, sa coque approchant les soixante-dix ans, le vénérable bâtiment, quoique modernisé, arrivait au bout de ses possibilités. Il faut épaulé plus récemment par le Vikramaditya, un ex-bâtiment russe de la classe Kiev (conçu dans les années 70). L’inde commença donc dès 1995 à rechercher des possibilités de remplacement. Parmi ces dernières figuraient l’acquisition d’un bâtiment Britannique, Russe, Français, avec transferts de technologies et/ou construction partielle mais au final il fut décider de procéder à la conception d’un bâtiment purement national, notamment pour ne dépendre d’aucune technologie étrangère et de répondre parfaitement aux matériels et spécifications locales. Baptisé INS Vikrant, le nouveau bâtiment vient d’être lancé à Cochin Shipyard ce lundi 12 août, en grande pompe.

C’est un bâtiment de 40 000 tonnes, 260 mètres de long par 60 m au pont d’envol, qui sera capable d’opérer une trentaine d’appareil, dont des Mig 29K (version navalisée) et Hal Tejas, chasseur national dérivé du Mirage 2000 Français. Son pont d’envol avec rampe témoigne de la double influence, Russe et Britannique, et permet de lancer des appareils (par catapulte – STOBAR) lourdement chargés. Le Vikrant est le premier d’une classe de deux bâtiments à propulsion  classique (Une paire de turbines à gaz LM2500), dont la construction, très largement modulaire, permettra facilement de futures modernisations. Il fait largement appel à des systèmes assistés et automatisée, mais pour autant son équipage (y compris le personnel naviguant) sera de 1600 personnes. Son entrée en service est prévue en 2017, tandis que son sister-ship, l’INS Vishal, qui fera appel au système CATOBAR et à des catapultes magnétiques. Son entrée en service est prévue pour 2020… L’inde, en concevant un bâtiment strictement national, sur ses rssources propres, entre dans le très sélect club des « big six » comprenant les USA, la Russie, la Grande Bretagne, la France, l’Espagne et l’Italie. Il faudra donc maintenant parler de « big 7 » et même « big 8 » en incluant les Japonais…

Ce bâtiment est une réponse à la mise en service l’année dernière du Liaoning, premier porte-avions Chinois, entamé en union soviétique (Varyag) et resté inachevé, acheté à l’Ukraine pour un projet de « casino flottant », puis modernisé et partiellement reconstruit à Dalian, en Chine. Le Liaoning est à propulsion nucléaire. La Thaïlande de son côté avait lancé le Chakri Naruebet, sous assistance Espagnole, et le Japon très récemment à mis en service le Hyuga et l’Ise en 2009-2011 et récemment lancé le Izumo, bien plus grand. Officiellement, ces trois bâtiment sont d’ailleurs classés comme « destroyers porte-hélicoptères » d’une marine normalement strictement défensive. La Corée projette également son premier porte-avions pour les années à venir, plusieurs projets circulent et des négociations pour des partenariats technologiques sont en cours.

La veille environnementale

30 Juil 2013, Posté par adminviedoc dans Outils


« Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre les générations futures à répondre aux leurs »

Telle fut la première définition donnée au développement durable, un concept qui a priori ne semblait avoir aucun impact sur l’activité des entreprises. Et pourtant, c’est un domaine qui à l’heure actuelle va de paire avec progrès économique.

Appliqué aux entreprises, le développement durable prend la dénomination de « Responsabilité Sociale » et s’avère être un réel levier de performance économique.

La RSE, enjeu important pour les entreprises

L’un des principaux défis des entreprises d’aujourd’hui est de savoir comment intégrer efficacement le développement durable dans la formulation de leur stratégie. En effet, le modèle économique actuel suppose que les dimensions sociale et environnementale doivent être prises en compte dans la définition des objectifs.

Dans ce contexte, la pratique de la RSE devient un critère de performance pour les entreprises et les études tendent à démontrer que les clients privilégient les structures responsables. De ce fait, cette pratique se transforme en un réel  levier stratégique, un facteur de compétitivité et une partie prenante du management.

Le développement durable, un secteur à surveiller de plus près

Face à cette internalisation de nouvelles dimensions, les entreprises doivent élargir les analyses et veilles  qui précèdent la mise en place de la stratégie. Ainsi, en plus de la veille concurrentielle et technologique, la veille environnementale devient primordiale pour détecter les signaux faibles liés au développement durable.

La veille environnementale est une veille sectorielle qui consiste à surveiller un large panel de thématiques liées au développement durable allant des problématiques qui touchent directement l’environnement tel que la pollution, la biodiversité ou encore les déchets à des sujets plus tournés business tel que l’éco-conception ou l’innovation.

C’est donc dans une optique de performance globale où la performance sociale et environnementale prend place aux côtés de la performance financière que la veille environnementale devient une pratique primordiale qui guide la prise de décision.

RSS Environment, une réponse opérationnelle de veille

Pour répondre à cet enjeu, Viedoc a développé une solution unique sur le marché, RSS Environment, un outil de veille dédié au développement durable à partir duquel vous pouvez suivre l’actualité, en temps réel, de vos thématiques clés.

Cette plateforme qui réunit plusieurs centaines de sources qualifiées allie la simplicité d’utilisation à l’efficacité des fonctionnalité et vous garantit un résultat pertinent, fiable et à forte valeur ajoutée.

Ne perdez plus de temps, inscrivez-vous et testez RSS Environment, le premier mois est gratuit et sans engagement http://www.rssenvironment.com/

A bientôt sur RSS Environment
Une solution développée par la société VIEDOC.

Les Balises Meta ne servent à rien

24 Juil 2013, Posté par D. Bocquelet dans Digital

Balises meta ça sert à quoi ?

Un constat personnel :

Ayant pendant des années parsés les sites internet les plus divers pour récupérer titres et descriptifs à fins de classement, une chose est apparue rapidement : Les balises meta étaient généralement absentes,  parfois même totalement;  ou bien l’entrée générique « par défaut » était conservée (sites de type CMS). La proportion constatée en était même effarante, peut être 70% des sites concernés n’avaient pas de balise descriptive du tout, et environ 25% pas de titre du tout, ceux ayant des balises titres étant souvent celles laissées par défaut : « Bienvenue », « titre », « homepage », ect. Bref, il semble qu’une grande partie de l’internet soit constitué de sites dont la conception n’inclue pas toutes les facettes du SEO, notamment les plus élémentaires. Quand à la nature des sites, il s’agit d’abord et avant tout de sites d’entreprises, même importantes.

On pourrait rapidement déduire de ces observations que les CMS sont concernés, lorsque la plupart des sites les employant comme base sont personnalisés par des « designers », qui n’ont a priori aucune notion du référencement, et on pourrait ajouter que la personne responsable ensuite du site, éditeur au sein de l’entreprise, n’en avait aucune notion non plus. Toutefois, dans le lot, bon nombre de sites apparemment conçus sans passer par une architecture prémâchée, donc partant de la feuille blanche. Ce qui pourrait être un avantage si les CMS étaient en effet très mal conçus sur le plan du référencement.

Des CMS à la faute ?
La plupart des CMS de première génération -SPIP pour les portails par exemple ou OsCommerce pour l’E-commerce- ne se souciaient que peu de SEO, étant issus en effet du travail de nombreux développeurs. Avec le temps, cette notion à commencé à apparaître sur la plupart de ces structures, soit directement, soit par compléments (plugins). Aujourd’hui la communauté des SEO s’accorde à souligner les possibilités qu’offrent un WordPress (ajouté au fait que Google favorise les blogs) ou un Prestashop en la matière. Donc reste la volonté (ou la connaissance) des auteurs d’en tirer partie. Et c’est encore bien souvent le parent pauvre de la « formation » parfois dispensée à l’usage d’un CMS. Les rédacteurs ayant l’impression d’effectuer un travail redondant, cette « corvée » passe d’ailleurs bien souvent à la trappe pour la plupart des personnes chargées de faire vivre un CMS en marge de leurs fonctions principales au sein d’une petite structure (les grandes ont un département communication qui s’en chargent). Quand aux sites créés de la page blanche, bien rares car souvent trop chers, peu sont ceux qui intègrent des SEO dans l’équipe chargée de rédiger un cahier des charges. Encore aujourd’hui un site « corporate » d’une entreprise de taille moyenne à grande, doit en mettre « plein la vue », mais il s’agit bien des internautes, et potentiels clients/partenaires, pas du robot google qui devra se contenter de belle images invisibles pour lui et de beaucoup, beaucoup de code.

Pourquoi cette désaffection apparente ?

D’une part ce monitoring m’avais permis de voir que beaucoup trop de ces sites « corporate » de présentation étaient pauvrement optimisés. Mais d’autres part il était parfois clair que ces mêmes entreprises, lorsque bien conseillées, segmentaient nettement leur stratégie marketing, entre un site corporate sciemment fait pour impressionner visuellement, et d’autres part une stratégie multipolaire incluant un blog d’entreprise pour le référencement naturel, des relais sur les réseaux sociaux (avec éventuellement un community manager dédié), et du référencement payant via Google adwords et autres réseaux publicitaires. Donc au final, le « premier site » historique, corporate, restait « dans son jus » depuis sa création et était plus ou moins laissé à l’abandon sur le plan du référencement.

Des pages d’accueil faites de compromis bancales:

Autres erreurs fréquentes de webmasters observées encore récemment, de nombreux sites avaient été modifiés pour inclure un carousel de présentation en page d’accueil, parfois uniquement en images ou pauvre en textes, censés présenter la société et une myriade d’informations parfois même extérieures à la société tant on avait vanté il y a 5 ans le fait d’avoir des informations « fraîches » sur la page d’accueil. Ce Constat SEO à parfois été un peu trop pris à la lettre par les webmasters ayant cru sans doute trouver une panacée, en oubliant les internautes eux-mêmes, obligés de chercher la page « about us ». Et dans ce cas il s’agissait d’une stratégie « mono ». Un seul site corporate, sans blog d’appoint. Ce site devait donc savoir tout faire.

Or une page d’accueil est une landing page, elle doit être optimisée pour les robots mais aussi les humains, et donc 100% efficace sur le plan marketing. Si l’internaute ne voit pas bien qui vous êtes ou ce que vous faites, ou ce qu’il doit faire lui-même (« call to action ») dès la première page, il ne servira à rien de la faire ressortir haut dans les SERPs…

Au bilan :

Aucune solution n’est efficace à 100% ni ne drainera 100% du SEO par elle-même. Maintenant plus que jamais -et ceci fut confirmé par la dernière mises à jour Google de l’aveu de son porte–parole lui-même- il faut voir dans toutes les stratégies SEO de petites rivières qui forment les grands fleuves. Diversité, diversité, diversité, et pas seulement dans les backlinks. On peut tout à fait réaliser une page d’accueil de site corporate incluant tous les aspects « gagnants » à la fois du SEO et du Marketing  en dosant bien chaque aspect, et donc de se passer d’un blog. Mais bien souvent les réseaux sociaux, la publication de documents de présentation (type « powerpoint » par exemple) ou de vidéos pour créer un buzz multimédias, et de publicité payée, sont nécéssaires en complément. Reste à articuler le tout avec intelligence, sans ne négliger aucun aspect, et oui, quoiqu’elles puissent paraître « old school », le fait de faire un balise de titre, une URL bien claire, et un Meta descriptif bien en phase avec le contenu, comptent aussi. Ce sont des valeurs sûres du SEO…

La Veille sur les Cosmétiques

24 Juil 2013, Posté par adminviedoc dans Outils

La cosmétique, un marché mondial, une place d’honneur pour la France.

La renommée mondiale des groupes de parfums et cosmétiques « Made in France » tel que l’Oréal, Chanel… font du pays le leader mondial des produits cosmétiques.

La France est également le premier lieu de production de cosmétiques et représente un marché de consommation très important.

Cette notoriété attire notamment de grands groupes étrangers tels que Shisheido, Paco Rabanne, Lancaster… à produire en France pour profiter de cette réputation de qualité.

Egalement, le marché des cosmétiques se développe partout dans le monde et impose aux acteurs du secteur, innovations, amélioration continue de la qualité, prise de position sur de nouvelles niches… pour faire face à de nouveaux concurrents.

Cette concurrence accrue touche tous les niveaux de l’industrie cosmétique, du géant des biens de la consommation (Procter & Gamble, Beiersdorf (Nivea), Unilever, Henkel) au petit producteur d’ingrédients et de toutes catégories, du prestataire industriel au distributeur.

Ainsi il est devenu vital pour ces entreprises de surveiller les informations qui pourraient influencer leurs activités.

La veille cosmétique, une réponse à des problématiques concrètes

Les prestataires industriels (laboratoire de recherche, fournisseurs, sous traitant, fabricant de composants) sont confrontés à des problématiques diverses notamment en terme de rapport qualité/prix des produits avec les pays d’Asie produisant de grandes quantités à très faible couts.
Aussi en termes d’innovation l’obligation de se renouveler encore et toujours pour proposer formulations originales, nouvelles substances, packagings audacieux…

Les groupes industriels, les généralistes, les spécialistes, les façonniers sont eux confrontés à la maturité de certains marchés (japon, Allemagne, EU, et l’émergence d’autres pays: Brésil, la Chine, l’est de l’Europe), mais aussi l’émergence de nouveaux segments en forte croissance (produits ethniques, cosmétiques pour hommes, nutri cosmétique, bio…) auxquels ils doivent s’ouvrir ou s’adapter.

Les distributeurs (grande surface, les enseignes spécialisées, les boutiques de vente direct, boutiques de vente en ligne, les pharmacies…) sont eux aussi sujets à la concurrence avec l’arrivée de nouveaux acteurs qui tendent à durcir la compétition tels que les petites boutiques spécialisées ou bio et naturel.(Mademoiselle Bio, Body Shop, l’Occitane en Provence…)

Des enjeux de premier ordre

La recherche de croissance et de parts de marché reste le point commun et la motivation des acteurs de l’industrie cosmétique et la différenciation tant sur l’offre produits que sur les services, les concepts de distribution, la gestion client font la différence.

Parce qu’il est difficile de fidéliser les consommateurs et de se différencier de la concurrence, les acteurs du domaine cosmétique n’ont d’autres choix que surveiller leur environnement, d’appréhender sur le plan national et mondial les enjeux économiques des filières, d’identifier les tendances du secteur et les facteurs d’influence favorables.

Parce que dans l’esprit des consommateurs, on assiste à un rapprochement de plus en plus fort entre plusieurs univers autrefois très différenciés : beauté, hygiène, santé, alimentation, habillement. Les produits de ces univers se mélangent et la surveillance du marché se doit d’être de plus en plus large.

RSS Cosmetic, une solution clé en main

Jusqu’ici pour répondre à ces enjeux, les professionnels de l’industrie cosmétique avaient la possibilité d’utiliser les sources presses (généralistes ou spécialisées), de suivre les blogs spécialisés, de se tenir informé par le biais des organismes et autres fédérations professionnels.

Aujourd’hui, une solution réunit toutes ces sources en un seul et même outil.

RSS Cosmetic est une plateforme permettant de disposer d’informations fiables, pertinentes sur lesquelles s’appuyer pour :
• Surveiller fournisseurs et concurrents au travers des lancements de produits et services,
• Détecter les nouveaux entrants,
• Identifier de nouveaux marchés,
• Suivre la règlementation,
• Identifier les tendances du marché et les innovations technologiques…

Ce sont plus de 400 sources d’informations, qualifiées et triées par thématique, surveillées en temps réel pour comprendre et agir avant les autres, anticiper les évolutions du marché.

Un outil de surveillance thématique professionnel associant la simplicité d’utilisation à l’efficacité des fonctionnalités de surveillance, de recherche, de partage et de diffusion.

Vous pouvez tester l’outil gratuitement en remplissant simplement le formulaire en bas de page : http://www.rsscosmetic.com/outil-de-veille-cosmetiques.php?lang=fr

A bientôt sur RSS Cosmetic
Une solution développée par la société VIEDOC.

Des rapports de Veille Gratuits…

22 Juil 2013, Posté par D. Bocquelet dans Veille Salon

Rappelons que VIEDOC, pour son service Veille Salon, édite régulièrement des rapports de veille, publiés sur ce dernier et relayés sur ce blog.

Ces rapports d’étonnement portent sur tous les domaines concernés par son service RSS Sourcing à savoir les cosmétiques,  le packaging, l’agroalimentaire, les matériaux, le textile, mais aussi l’environnement, l’automobile, ou en dehors ces ces domaines, les réseaux, la pollution, la sécurité…

La plupart des ces articles sont en anglais, mais certains sont en Français.

Ils sont également publiés sur plusieurs plate-formes de documentation en ligne comme Yudu, Slideshare

Un exemple récent (sur Yudu):


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Publisher Software from YUDU

Top 7 des navigateurs confidentiels

16 Juil 2013, Posté par D. Bocquelet dans Digital

Vous connaissez forcément Internet Explorer, Google Chrome,  Mozilla Firefox, Opera et Safari ?

A juste titre ils emportent les 80% du trafic de navigation dans le monde, le restant étant partagé par Baidu -le moteur filtré Chinois, et une pléthore de « petits » navigateurs.

C’est  précisément ces derniers que nous avons testé et comparé.

Pourquoi me diriez-vous? – Tout simplement parce que ces « petits » navigateurs mal connus le sont aussi des hackers, et des marchands… Donc ont peut naviguer relativement plus « anonymement » et en toute sécurité, avec souvent des performances relativement appréciables, du fait de l’absence de nombreuses options présentes sur les « gros » car justifiant leur upgrades. Cela peut être utile aussi lorsqu’on arrive pas à se débarrasser d’un spyware-adware tenace sur son navigateur favori… Oui, il y a des alternatives, parfois même séduisantes.

Ces navigateurs compatibles Windows (il y en a presque autant sur Mac Os) sont :

Flock, Lunascape, SlimBrowser, Seamonkey, Maxthon, Browsar, K-Meleon.

Le sujet : Ouvrir le présent blog, qui comprend des scripts javascript (jquery) et flash.

Voici donc le résultat des ces tests :

Navigateur Performances (ressource constatée dans les process – gestionnaires de tâches windows)

Flock

92 000 ko. Notes: Ouvre le résultat dans un 2e onglet. Affichage impeccable.

Lunarscape

18-40 000 ko. Notes : Une seule fenêtre. Affichage impeccable. CPU Instable !

Slimbrowser

102 300 ko. Notes: Une seule fenêtre. Affichage très rapide mais défauts typiques IE8. +sbframe 25 000 Ko

Seamonkey

116 600 Ko. Notes: Dérivé de Mozilla. Recherche barre adresse, affichage standard mozilla.

Maxthon

20 100 ko. Notes: Démarre à 106 000 Ko avant stabilisation. Dérivé d’IE p le marché Chinois. Ouvre de nombreux onglets. Affichage standard IE8, qqes bugs d’affichage.

Logo Browsar Browsar

78 600 ko. Notes: Ouvre le résultat dans une nouvelle fenêtre (_blank). Quelques problèmes de mise en page. Navigation 100%  privée

K-Meleon

70 440 ko. Notes: Ergonomie à revoir. Pas de clic droit. Dérivé de mozilla. Affichage impeccable.

BILAN :

Maxthon en termes d’économie de ressources, est intéressant. Toutefois, avec 5 onglets ouverts, il décolle à 216 mo. Le hic est sa parenté avec IE, donc des troubles possibles d’affichages, et failles potentielles. L’original (IE8) est encore plus léger, mais ses tolérances vis à vis du W3C et javascript restent calamiteuses, et Maxthon reste encore assez proche des limites du modèle. Il n’est pas très compact (surtout comparé à IE9 !) avec 4 toolbars par défaut.

Lunascape est encore plus léger, quoique assez instable sur le plan des ressources, et il consomme 182 mo avec 5 onglets ouverts. Il reste relativement compact, simple, l’ergonomie est standard et ne déroute pas.  En revanche compacité ne rime pas avec praticité. La barre d’adresse est mono-tâche (URL seulement). Bon comportement avec des sites en jquery exigeants. Il fonctionne avec deux moteurs de rendu, IE et Gecko.

Slimbrowser : Vendu comme « le meilleur navigateur windows », Slimbrowser n’est pas aussi léger que son nom pourrait suggérer : 274 mo avec cinq onglet, il fait moins bien qu’IE8… En revanche, il est annoncé comme optimisé pour IE9 (Windows 7). Sur IE8 quelques soucis de rendu graphiques propres à IE mais il est nettement plus performant en effet pour charger des sites complexes, images et vidéos. Le design est sobre, L’ergonomie standard, avec la barre d’adresse  et barre de recherche (et choix de moteurs) bien séparés. En revanche la pléthore d’icônes colorés sans séparation claire gène un peu le repérage des fonctionnalités (quand les bookmarks sont affichés). Il bénéficie en revanche de nombreuses fonctionnalités en lien avec IE, notamment la faculté de récupérer automatiquement tous les bookmarks et donc d’effectuer plus facilement la bascule IE/slimbrowser.

SeaMonkey : Sans doute le plus connu de tous, au moins pour les familiers de Mozilla, SeaMonkey est un projet « dissident ». Il se base sans surprise sur Mozilla, et tente d’être également un navigateur multifonctions (navigation, recherche, mail, newsgroups , lecteurs RSS, éditeur html, correcteur développement, chat, etc.). Niveau graphique est respect du W3C, c’est impeccable. SeaMonkey est assez rapide, quoique gourmand en ressources. En revanche l’ergonomie est à revoir: La création de nouveaux onglets est… impossible, il faut ruser et ouvrir un résultat de recherche dans un nouvel onglet. Pas de boutons ni de menu contextuel pour cela. Pour le reste, le style est sobre et clair. SeaMonkey est relativement léger avec 5 onglets -145 mo- et ne se double pas d’une application supplémentaire comme le fait mozilla (plugin container).

Browsar : S’il y a bien un point qui différencie ce navigateur, c’est son lancement et son installation. Etant basé entièrement sur IE, il utilise « par défaut » toutes ses fonctionnalités. Il  n’y a pas d’installation à proprement parler puisque le peu de fichiers requis ne pèsent que 222 ko. Pas de raccourci bureau ni de proposition de le prendre comme navigateur par défaut, ni de tonnes de plugins: Pour le lancer, on l’installe, à chaque fois… Mais le coeur de Browsar est ailleurs : C’est littéralement un navigateur privé, qui ne retient aucun résultat de recherches ni cookies -pas de choses équivoques qui pourraient surgir devant un autre utilisateur lors d’une auto-completion, et il se « nettoie » à chaque fermeture…

Sur le plan ergonomique, Browsar tient la route, sans fioriture, son design semble assez abouti et est personnalisable. Barre d’adresse et recherche sont clairement séparées. Pas de choix de moteurs, c’est Google Custom search, en mode privé. Un navigateur intéressant pour les pros du référencement ou ceux qui ont l’esprit mal tourné, mais en revanche sur le plan graphique, il a sans surprise les mêmes limitations qu’IE8 vis à vis du W3C et jquery.

Flock : Intitulé « the social web browser » Flock charge par défaut une page personnalisable comprenant flux rss, réseaux sociaux, et médias variés (vidéos, etc), le tout regroupé sur une page. Sur le plan des performances, il plafonne à 159 mo avec 5 onglets. L’ergonomie est standard, avec la barre d’adresse à gauche et la recherche à droite, et un choix de moteurs. Sur le plan graphique, quelques soucis d’affichage. Il gère mal des <div> et pas du tout les polices personnalisées google. Flock à un menu contextuel (de clique droit) standard et son design est relativement original quoiqu’ un peu lourd. Le « header » peut être réduit à trois « barres », mais une, totalement inutile, reste désespérément collée en bas de page, au-dessus des onglets courants de windows. Un point à revoir pour les concepteurs.

Kmeleon ne s’en tire pas trop mal avec seulement 120 mo sur la balance et 5 onglets, l’ergonomie est en revanche curieuse et l’aspect particulier de l’interface qui semble relever de l’amateurisme ou de l’école maternelle (un concept ? www.potati.com). Beaucoup d’options, par forcément évidentes au premier abord. Sa barre de recherche fonctionne en mode mono (on tape le nom de domaine sans www ni extension, et il charge le premier résultat de recherche), et qui plus il n’y a pas de champ dédié à la recherche, il faut cliquer sur l’icône dédié pour rechercher.

Tout ceci, comparé à :

  1. Chrome 360 mo avec 5 occurences ouvertes
  2. Mozilla atteind 220 mo avec la même charge (plugin container en est responsable)
  3. Internet Explorer 8 plafonne à 146 mo (104 pour un), ce qui reste la meilleure performance du lot.

La veille aéronautique

15 Juil 2013, Posté par adminviedoc dans Outils

L’année 2012, a été rentable pour l’industrie de l’aéronautique dans le monde entier, spécialement en Chine et aux États-Unis, avec quelques difficultés pour l’Europe, où se sont formés des partenariats stratégiques entre compagnies ou filiales telles que Air France-KLM et Etihas Airways.

2016 semble prendre cette même direction, comme en témoigne le succès de l’édition du salon du Bourget 2015. En effet, un record de commandes a été enregistrées pour les maîtres du ciel, Airbus et Boeing. Les raisons de cette réussite s’expliquent par les perles de l’aéronautique françaises telles que l’A380, le Rafale, ou le Tigre. Mais le secret du secteur aéronautique se trouve surtout dans ses innovations avec des avions plus maniables, ou encore les drones, des inventions qui vont faire exploser le transport aérien.

L’industrie de l’aéronautique semble avoir encore de beaux jours devant lui, mais il s’agit d’un milieu très technique, en perpétuelle évolution. Et pour ne pas se laisser dépasser par ses concurrents, il est primordial de surveiller et comprendre en permanence son environnement.

C’est ici, qu’intervient la veille aéronautique. En effet, être un acteur majeure dans l’industrie aéronautique, nécessite de disposer d’ informations fiables, complètes et actualisées sur votre environnement. Il peut s’agir d’informations réglementaires dans lequelles vous ou vos actifs évoluez ou également d’informations sur des aéronefs.

Face à la multitude d’informations sur l’aéronautique, Rssaero vous aide à plus facilement identifier et appréhender les changements qui vous concernent. Vous pourrez être ainsi informé en permanence des évolutions dans le secteur aéronautique sur :les aéroports, les compagnies aériennes, les constructeurs, les motoristes, les organismes ou les règlementations, avoir la certitude de disposer, sans délai, des mises à jour des informations aéronautique, avoir directement accès à la bonne information, surveiller ses concurrents, déceler des innovations.

Depuis le lancement en ce début d’année de la nouvelle version de notre concept RSS Sourcing, nos outils de surveillance thématique et les neufs domaines couverts à ce jour proposaient déjà:

  1. un sourcing 100% qualifiées comprenant plusieurs centaines des sources internationales
  2. une page d’accueil à l’ interface résolument orientée utilisateurs pour une consultation rapide des actualités
  3. une plateforme de surveillance personnalisable
  4. un système d’alerte mail paramétrable facilement…

Le tout à un coût volontairement abordable pour en faire LA solution de référence pour les TPE, PME !

Aujourd’hui, avec l’ajout de la fonctionnalité de curation, ces outils de surveillance, à la fois très simple d’utilisation et immédiatement opérationnels, deviennent de véritables outils de veille.

La curation consiste à capitaliser et partager des contenus que l’on trouve intéressant sur un espace dédié. Cette pratique est bien entendu liée à l’émergence de certains réseaux sociaux associés à la curation. On peut notamment citer Digg, Pearltrees, Scoopit, ou plus récemment Pinterest. La plupart des réseaux « traditionnels » peuvent être aussi utilisés pour de la curation. Facebook, Twitter et Google+ n’en sont que des exemples.

L’avantage de ces systèmes est d’archiver et de rendre plus accessibles et donc plus lisibles des contenus difficiles à trouver car noyés dans le flot d’informations (on parle d’ailleurs de nos jours de plus en plus  d’infobésité). Grâce à la curation, le veilleur devient éditorialiste de son propre journal en sélectionnant minutieusement les articles qui donneront à ces pages toute leurs originalités et par là même leurs popularités. Un autre avantage de la curation et pas des moindres, le partage dans des cercles d’affiliés permet de donner une véritable viralité à l’ensemble, doublé d’un lectorat qualifié.

Encore faut-il pouvoir repérer ces actualités qui font et feront la une. Comme dans la presse, c’est la fraicheur et la pertinence des informations publiées qui font la différence.

Pour cela, il convient de mettre en surveillance une multitude de sources du domaine concerné dans lesquelles on ira puiser les articles qui ont suscité le plus notre intérêt.

En résumé, avec cette nouvelle fonctionnalité, disponible sur tous les outils de surveillance thématique RSS-Sourcing, la curation n’a jamais été aussi simple !

Pour cela, il vous suffit de sélectionner vos réseaux sociaux depuis votre espace personnel (l’icône associé apparaitra directement sur chacun des articles).

Vous n’aurez plus qu’à alimenter votre plateforme de curation d’une simple clic.

réseaux sociaux

 

La plate-forme de veille, une valeur sûre

26 Juin 2013, Posté par adminviedoc dans Outils

Depuis 2010, VIEDOC propose des outils de veille multidomaines (secteurs et métiers divers) dont le pivot est représenté depuis l’origine par la plate-forme de veille.

Chaque outil dispose de trois niveaux de surveillance. Un premier niveau « public » et néanmoins personnalisable depuis l’espace personnel, un second niveau « extérieur » par le biais d’alertes mails que l’on peut recevoir sur mobile et portables, et un troisième niveau hyper-personnalisé, ou « privé ».

C’est ce niveau qui est le point fort de RSS-sourcing, également présent sur RSS Intelligence. Cet espace se présente sous la forme d’un tableau de bord de surveillance où les sources d’informations sont identifiées sous la forme de boîtes. Par défaut lors de la première inscription, un onglet est déjà prérempli : Il s’agit des « informations générales », la réplique de la page actualité. Cette dernière regroupe les informations mixées de différentes sources présentes pour chaque thème (une boîte par thème). Exemple pour RSS Aero (surveillance aéronautique), les motoristes. La configuration de la plate-forme fait qu’il est déjà possible de mixer plusieurs thèmes entre eux et de supprimer ceux que l’on ne souhaite pas suivre. Il est d’ailleurs possible à tout moment d’effectuer un « reset » de la page pour revenir à l’apparence première de cet onglet. Il est possible aussi de filtrer ces informations par langue.

Alimentation externe :

Le gros avantage de la plate-forme est que cet espace peut être alimenté à distance. En effet, il suffit d’être sur la page des sources (flux RSS), puis de sélectionner les sources que l’on souhaite suivre pour les exporter d’un clic sur la plate-forme. On peut non seulement choisir un onglet déjà présent, mais aussi créer un nouveau à la volée. On ne quitte donc pas des yeux les sources d’informations présentes.

Personnalisation totale :

Créer des onglets permet de se constituer des tableaux de bord personnalisés. Mais une fois sur la plate-forme, il est tout à fait possible de mixer des sources entre elles, d’afficher plus ou moins d’actualités par source, de choisir ses titres et couleurs pour un repérage plus facile. La plate-forme est conçue et utilisée par des veilleurs (ceux de VIEDOC) depuis 2009, pour une lecture en diagonale, de manière à rapidement identifier des isoler des informations pertinentes. C’est un système qui à fait ses preuves…

Et l’avenir ?

Pour la prochaine évolution de la plate-forme, qui dépends surtout la la diffusion auprès du grand public de navigateurs supportant le HTML 3, concerne la possibilité de déplacer ces « boîtes » personnalisées à volonté dans l’espace de trois colonnes, et le cas échéant de créer un affichage en x-colonnes de manière isolée pour chaque onglet. Il sera possible aussi de renforcer le côté collaboratif en permettant de partager ses propres onglets avec d’autres utilisateurs de la solution RSS Sourcing, ce qui est déjà le cas actuellement pour les utilisateurs de RSS Intelligence…