viedoc

Google Reader RIPLe 13 mars dernier, Google a annoncé la fin de l’un de ses services phares, Google Reader.

Si celle-ci n’interviendra réellement que le 1er juillet prochain, les utilisateurs commencent déjà à chercher une solution de remplacement.

Pour celles et ceux qui n’ont jamais entendu parlé de Google Reader (oui, il y en a !), il s’agit d’un lecteur de flux d’informations au format RSS et Atom sur Internet ouvert au grand public depuis 2005. Les utilisateurs, qu’ils soient professionnels ou particuliers, veilleurs ou non, peuvent souscrire (s’abonner) à des flux, soit en utilisant la fonction de la recherche du lecteur de Google, ou en entrant l’URL exact du flux RSS/Atom. Ainsi, plutôt que de vous rendre sur vos sites préférés pour vérifier qu’un nouveau contenu a été publié, ce contenu va directement jusqu’à vous. A chaque fois qu’un nouvel article est mis en ligne, l’agrégateur vous le signale et vous propose de le consulter directement, sans forcément devoir visiter le site en question.

Au fil des années, Google Reader était devenu l’agrégateur doté d’une interface web le plus populaire en ligne.

Avec sa disparition annoncée, nombreux sont ceux à la recherche d’une alternative et les nouvelles solutions fleurissent chaque jour dans l’espoir de récupérer une part du gâteau.

Mais avant de partir à la recherche d’une solution, il est intéressant de faire une rapide revue critique de Google reader :

Côté avantages :

  • Une solution gratuite, sombre et facile à prendre en main
  • Une interface lisible en un simple regard
  • Pas de publicité
  • Compatible smartphone, tablette et pc avec la synchronisation en prime.

Côté inconvénients :

Sur ces deux derniers points, il est d’ailleurs toujours surprenant de voir le manque de discernement de certains utilisateurs qui ne montrent pas de suspicion ou plus simplement de méfiance quant au business model du tout gratuit. Une entreprise pour survivre doit vendre quelque chose… mais alors, que vendent ces sociétés proposant des applications totalement gratuites ? Vos coordonnées ? Vos centres d’intérêt ?…

De plus, il ne faut oublier qu’une fois, la prise en main effectuée, le plus dur reste à faire : Trouver des sources pertinentes (on ne peut pas décemment penser réaliser une veille professionnelle en ne mettant en surveillance qu’une dizaine ou une vingtaine de sources, aussi qualifiées soient-elles), les intégrer et faire les paramétrages éventuels

Bref, si on veut réaliser une veille professionnelle avec ce type d’outils, il faut y consacrer beaucoup de temps (et comme dit la maxime : le temps, c’est de l’argent !) et tout ceci, sans aucune garantie de confidentialité et de pérennité.

En résumé, Google Reader est un outil qui a (ou plutôt avait) le mérite d’exister, mais qui, une fois passé l’enthousiasme d’utiliser un outil totalement gratuit peut susciter quelques doutes quant à son utilisation au quotidien et pour un usage réellement professionnel.

D’autres voies que le « tout gratuit » existent aujourd’hui, à l’image du concept RSS Sourcing (www.rss-sourcing.com).

En effet, avec ses 9 outils de surveillance thématiques immédiatement opérationnels – puisque comportant un corpus de sources qualifiées dans chaque domaine – RSS Sourcing offre une alternative abordable et vouée à une utilisation professionnelle aussi bien dans les très petites entreprises que dans les grands groupes.

Rapport de Veille Salon In-Cosmetics 2013

02 Mai 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon

Avec un peu d’anticipation, voici venu notre dernier rapport de Veille Salon, consacré à In-Cosmetics 2013 (avril 2013)

Salon majeur du domaine des cosmétiques et des ingrédients associés à cette industrie, In-Cosmetics à reçu la visite d’un de nos veilleurs deux jours de suite, pour dresser un panorama de l’innovation et des nouveautés recensées auprès des exposants. Pour en savoir plus : http://www.in-cosmetics.com/

Vous n’étiez pas à In-Cosmetics ?

Profitez d’un rapport de veille complet gratuit – de 21 pages (en anglais)

Consultez le sommaire

Lisez le rapport entier (au format pdf).

 

Regard sur le marché des outils de veille

30 Avr 2013, Posté par B.Galimand dans Outils

Outils de veille gratuits et payants

Le marché de la veille est en pleine mutation. Selon l’enquête menée par serdaLAB en 2009, si les trois quarts des organisations ont mis en place une politique de veille, les structures privées comme publiques sont encore en majorité dépourvues de solutions performantes pour effectuer une veille efficace.
Seules 39% de ces structures utilisent un outil payant et les clients des éditeurs et prestataires de veille sont, dans leur majorité, les grandes entreprises du CAC 40 ou des laboratoires de recherche et des instituts dont le cœur de métier est la veille.
Les secteurs de l’énergie, de l’industrie, de la banque-assurance, de l’édition, les laboratoires pharmaceutiques et la sécurité nationale sont les plus équipés en moteurs de recherche et en
logiciels de veille.

En ce qui concerne les outils de veille, on peut globalement aujourd’hui diviser le marché en deux grandes catégories, à savoir :

=> Les outils gratuits

– ne disposant pas de l’ensemble des fonctionnalités attendues par les utilisateurs d’où la nécessité de disposer d’une combinaison d’outils,
– non sourcés (il s’agit de « boites vides », ne disposant pas de sources qualifiées)
– pour lesquels la confidentialité n’est pas toujours garantie et pouvant ne plus être disponibles du jour au lendemain et ainsi provoquer la perte de l’investissement en temps consacré au paramétrage et au déploiement.
Avec la fin annoncée de Google Reader, la prise de conscience de cet élément n’a jamais été aussi forte …

=> Les outils payants

– relativement coûteux et accessibles, pour la plupart, uniquement aux grands groupes et collectivités,
– relativement complexes à utiliser, nécessitant une formation préalable et réservés généralement aux experts de la veille,
– enrichis de fonctionnalités qui ne sont pas 100% utiles. En effet, selon les résultats d’audits d’utilisation de ces outils par certains de nos clients, seules 5 à 20% des fonctionnalités des progiciels seraient réellement utilisées.

Ces points ont d’ailleurs déjà été soulignés dans un rapport de recherche ANR ISICIL de 2009 portant sur l’état de l’art et tendances du marché de la veille et de l’intelligence compétitive. Dans ce rapport, on peut notamment
lire que :

– « Les outils du web 2.0 montrent leur limite quand il s’agit d’automatiser certaines tâches ou de contrôler certains processus propres à toute entreprise ;
– Les systèmes d’informations plus structurés souffrent souvent d’un manque de convivialité et d’une faible assistance à la capture des connaissances. »

Pour lire l’intégralité du rapport : http://isicil.inria.fr/res/docs/livrables/ISICIL-ANR-EA02-BusinessIntelligence-0906.pdf.

Fort est de constater que ces freins à l’utilisation et au déploiement de ces outils n’ont toujours pas été levés et que le challenge du « meilleur compromis » reste à relever.

C’est ce défi que tente de relever aujourd’hui Viedoc à travers l’entité Viedoc Sourcing en développant et commercialisant des outils de veille immédiatement opérationnels associant simplicité d’utilisation et pertinence à travers un sourcing 100% humain et donc 100% qualifié.

De la plateforme de veille collaborative RSS Intelligence en passant par nos outils de surveillance thématique RSS Sourcing (9 domaines à ce jour : aéronautique, agroalimentaire, automobile, cosmétique, environnement, maritime, matériaux, packaging et textile), ces outils, conçus pour une utilisation quotidienne :

– permettent de suivre en temps réel l’actualité des différents secteurs d’activité et de vos centres d’intérêt,
– facilitent le travail collaboratif, et
– encouragent l’innovation au sein des entreprises.

Ils permettent également un gain de temps substantiel dans le traitement quotidien de l’information du fait de leur simplicité d’utilisation et de la pertinence des sources contenues.

Une base d’événements professionnels unique :

Depuis 2010, RSS Sourcing propose sur ses différents outils de surveillance thématique un petit plugin gratuit et facile à installer sur n’importe quel site internet, présentant l’ensemble des salons, congrès, conférences, symposiums et autres séminaires à travers le monde, une partie des 16 000 évènements internationaux listés actuellement sur le site veille salon. Les domaines couverts à ce jour sont : la cosmétique, le packaging, les textiles, les matériaux, l’aéronautique, l’automobile, l’industrie maritime, l’agroalimentaire et l’environnement. Les informations affichées dans ce plugin sont la date, le lieu, l’organisateur, la périodicité, le type d’évènement ainsi qu’un descriptif avec le lien vers le site de l’événement en question.

Un sourcing événementiel 100% sans bruit :

Rappelons que ce service de veille événementiel gratuit est basé sur un sourcing rigoureusement catégorisé, réalisé par VIEDOC et enrichi par les organisateurs eux-mêmes. Donc vous n’y trouverez jamais d’événements de type « foire régionale à la … », « fête de… », « marché du » et autres joyeusetés  touristiques comme c’est le cas bien trop souvent sur les annuaires d’événements largement « ouverts à soumission », et bien souvent utilisés qu’à des fins de référencement. Bref, uniquement des événements BtoB réservés aux professionnels du domaine.

Une implémentation facile sur votre site Internet :

Le principe est assez similaire à l’intégration d’une vidéo sur un site internet. Une simple ligne de code à copier/coller ou bon vous semble, et le tour est joué. Vous disposerez ainsi d’un contenu frais et réactualisé en rapport direct avec vos centres d’intérêt et ceux de vos visiteurs. Deux types de lecteurs sont proposés, un détaillé et un autre, plus synthétique (voir exemple ci-dessous).

Comment l’obtenir ?

C’est très simple. Il suffit, si ce n’est déjà fait, de s’inscrire et de se connecter à un des domaines couverts par nos outils de surveillance thématique que vous trouverez en page d’accueil du portail de veille sectorielle. L’inscription est gratuite et l’essai dure un mois, vous pourrez donc aussi essayer l’outil de veille du domaine choisi.

Pendant cet essai, vous pourrez accéder à la page Événements (icône ) et procéder à l’installation du plugin sur votre site.

Cliquez sur la bannière en haut « tous les événements » sur cette page, et suivez les instructions. (Il s’agit simplement de copier le code à intégrer).
Votre lecteur d’événement restera actif même après la fin de votre période d’essai.

Ci-contre, exemple de petit lecteur du domaine maritime.

 

Aujourd’hui, RSSIntelligence apporte une réponse concrète à un réel enjeu stratégique pour les entreprises : passer de l’intelligence individuelle à l’intelligence collective en démocratisant l’accès à l’information pertinente.

Outre les innovations techniques  dont la plus importante est  le générateur de flux RSS (ce qui a d’ailleurs permis à la société Viedoc de remporter le prix de l’innovation technologique 2012 du Business Club UTC), l’innovation de cette plateforme de veille collaborative est principalement d’usage puisque liée à la simplicité d’utilisation.

A l’heure où l’on parle de plus en plus de partage d’informations au sein des entreprises, l’enjeu social devient un vecteur de différenciation. L’outil du fait de sa simplicité d’utilisation n’est plus observé sous l’aspect technologique mais plus sous l’angle des interactions sociales.

Utilisable par tous les services de l’entreprise et non plus uniquement par des experts de la veille préalablement formés, le déploiement de la plateforme RSS Intelligence est rapide, le partage d’informations est réel et la rentabilité est par conséquent accrue.

En quoi l’outil RSS Intelligence répond en tout point aux tendances actuelles ?

– Le développement du modèle économique de l’Open Access aux contenus scientifiques

Les sociétés tendent à résilier leurs abonnements à des bases de données payantes et se dirigent maintenant plutôt vers les sources d’informations gratuites.

– La veille temps réel et notamment la restitution des flux d’informations par ordre ante chronologique dans une interface de consultation dynamique où les données s’affichent en s’empilant les unes sur les autres.

La veille temps réel se définit comme un système intelligent qui permet de capter un corpus d’informations sans décalage entre le moment de production de l’input, du signal et sa diffusion via les médias.

L’avènement des réseaux sociaux d’entreprises.

On est en effet passé d’un web d’informations qui était synthétisé par un professionnel de la veille au travers d’une newsletter, à un web de conversations qui implique des individus à l’extérieur et à l’intérieur de l’entreprise

Le partage de l’information avec la curation, pratique qui consiste à sélectionner, éditorialiser et partager les contenus les plus pertinents du Web pour une requête ou un sujet donné.

Passer de l’intelligence individuelle à l’intelligence collective nécessite simplicité d’utilisation, personnalisation et flexibilité puisque l’ensemble des fonctionnalités doivent être accessibles aux experts comme aux non-spécialistes. C’est là toute la philosophie de RSS Intelligence.

–       L’élimination garantie du bruit (informations non pertinentes)  avec 100% d’informations qualifiées.

En effet, devant le volume croissant d’informations disponibles, on recherche de plus en plus le qualitatif plutôt que le quantitatif

 

L’an dernier, les étudiants du Master 2 Intelligence Economique ICOMTEC ont rédigé un livre blanc intitulé « Quels outils de veille pour demain ? » qui tente de tracer les tendances et les évolutions à venir en matière d’outils.

Camille Alloing (Auteur du blog CaddE-Réputation) signe la préface de ce rapport où l’on peut lire notamment :

[…] Le web démocratise l’accès à l’information, donc à l’utilisation stratégique de celle-ci. Si la veille et l’utilisation d’outils adéquats paraissent être encore réservées aux spécialistes de la question dans les entreprises, c’est de moins en moins le cas. Le paradoxe réside ici dans le fait que les outils vont devoir devenir de plus en plus pointu notamment pour la gestion des données, mais leurs utilisateurs vont être de plus en plus hétérogènes dans leurs pratiques et leurs connaissances de la veille. Google, dont la pertinence sur la question des tendances du search n’est plus à démontrer, commence d’ailleurs à intégrer ce fait: des résultats toujours plus personnalisés et « clés en main » avec en parallèle la diminution des options de recherche. […]

[…]Prochain enjeu des outils de veille donc : simplifier la compréhension de l’outil sans pour autant en diminuer la pertinence de recherche et la souplesse d’utilisation. En résumé, répondre à la diversité des besoins et des pratiques dans une seule solution. […]

Alors, RSS Intelligence serait-il en avance sur son temps puisqu’il semble répondre d’ores et déjà aux tendances à venir en matière d’outils ?

Loin de nous cette idée présomptueuse.

RSSIntelligence est tout simplement le fruit d’une réflexion menée par une équipe de veilleurs qui comme n’importe quel utilisateur souhaite disposer d’un outil simple et intuitif répondant concrètement à leurs attentes et leurs besoins.  Le bon sens a fait le reste…

PENOX opte pour la solution RSS Intelligence

17 Avr 2013, Posté par adminviedoc dans Outils

Viedoc est heureux d’annoncer que Penox utilise désormais la plateforme de veille collaborative RSS Intelligence, solution qui permet d’automatiser la surveillance et la collecte dans les différents domaines de la veille stratégique tout en favorisant le partage des informations.

Le groupe Penox est l’un des plus grands producteurs au monde d’oxydes de plomb avec des opérations en France, en Allemagne, en Espagne (Coplosa), en Italie, au Mexique et plus récemment au Brésil (Durox).

En complément des oxydes de plomb, Penox a également développé la vente d’autres oxydes métalliques tels que l’antimoine, ainsi que des activités d’ingénierie de l’équipement et d’usines à l’international.

Sur un domaine d’activité aussi spécifique que celui de Penox, l’approche sur mesure de RSS Intelligence et de son sourcing 100% qualifié apporte aujourd’hui une réponse concrète à l’ensemble des services et filiales du groupe.

A propos de Viedoc :

A l’origine une société de conseil en veille et intelligence économique, Viedoc s’articule aujourd’hui autour de 3 business units (Viedoc Sourcing, Viedoc Consulting et Viedoc Solutions).

L’offre Viedoc couvre ainsi l’ensemble des métiers de l’information : de la surveillance à la diffusion en passant par l’analyse.

En parallèle des études, Viedoc propose en effet des outils de veille associant simplicité d’utilisation et pertinence à travers un sourcing 100% humain et donc 100% qualifié :

du concept RSS Sourcing qui vise à proposer des outils de surveillance et de collecte multi-clients dédié à un secteur ou un métier

à la plateforme de veille collaborative sur mesure RSS Intelligence.

Pour en savoir plus sur RSS Intelligence : www.rssintelligence.com.

 

In Cosmetics 2013

15 Avr 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon
Résumé: Le salon In-Cosmetics 2013 s’est déroulé du 16 au 18 avril 2013 où il était question de l’industrie cosmétique du point de vue des fournisseurs d’ingrédient. Il a été possible de constater qu’il y a une grande tendance vers les produits naturels, au détriment des synthèses dans les laboratoires. L’industrie effectue un retour vers la nature vers des principes actifs d’origine biologique, qui ont la vertu d’être moins toxique, ce qui offre en partie de meilleures perspectives pour tester et valider ces ingrédients. En effet, l’Union Européenne a banni les essais sur animaux pour les produits cosmétiques et de grands acteurs comme l’Oréal appliquent cette politique sur leur fournisseur. D’où une seconde tendance vers des produits plus respectueux de l’environnement. Les techniques d’imagerie pour caractériser in vivo les principes actifs se sont également amélioré avec des solutions en 3D qui cartographie la surface et la profondeur des rides..

Tags :cosmétique, peau, ride, soin, ingrédient, beauté, maquillage, essai clinique, principe actif

Langue: Anglais – 27 pages • Sommaire In Cosmetics 2013

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    Top 6 des navigateurs

    15 Avr 2013, Posté par D. Bocquelet dans Digital

    NavigateursEn tant que veilleur vous vous êtes sans-doute posé la question, au delà du moteur de recherche, quel est le « meilleur » navigateur à utiliser au quotidien ?

    Le qualificatif  « meilleur » reste bien entendu, hautement subjectif, mais il existe quelques critères « objectifs » qui peuvent être pris en considération :

    Du point de vue du veilleur ou du référenceur et autres professionnels du web la question à son importance. Ces métiers nécessitent d’avoir un outil au quotidien de première frappe, rapide et pratique (hors customisations avancées). Une petite étude a donc été réalisée la semaine passée :

    Premier constat : Firefox semble emporter tous les suffrages, suivi de chrome et enfin IE (Microsoft Internet Explorer).

    En revanche pour ce qui est de la proportion d’utilisation pour le grand public et les professionnels, une étude de mars 2013 de TNW montre que IE se maintient toujours en-tête, et de loin en terme d’utilisation : 55.83%.

    UTILISATION :

    #1 Internet Explorer : IE8 prends 23.23% de cet ensemble, du fait du grand nombre d’ordinateurs « tournant » toujours sur Windows XP, principalement au niveau des réseaux d’entreprises. La mobilité est beaucoup plus forte chez les freelance, PME-PMI et particuliers. IE9 (liés à Vista/Seven) prends la seconde place de cet ensemble avec 20.62%. Des dinosaures comme IE7 et IE6 (XP non mis à jour et Windows 98) ne sont plus respectivement qu’à 1.93 et 6.21%. IE10, lié à l’utilisation de la nouvelle tablette tactile et du nouvel OS Microsoft, Windows 8 prends une part croissante de 2.93% (actuellement 3%)… La principale explication derrière cette prééminence est bien entendu liée à la domination sans partage de la micro-informatique personnelle par Microsoft. Dans une utilisation quotidienne limitée de l’internet, par faute de comparaison et d’habitude, ainsi que de la difficulté de faire évoluer les gros réseaux d’entreprise, IE reste donc utilisé « par défaut ».

    #2 Mozilla Firefox.

    Issu du monde de l’open source, il n’a pu se construire sa place que grâce aux « geeks » et par contestation d’IE. Quasi inconnu du monde des grandes entreprise, il est un choix individuel au sein de petites structures et free-lances, ainsi que semble t’il les professionnels les plus chevronnés du web en heures d’utilisation. En mars 2013, il dominait 20.21% du marché, derrière IE9 et E8. Alors qu’IE dominait encore le service public, il semble que les économies budgétaire ont parfois milité dans l’adoption d’un OS non propriétaire, à savoir LINUX-Ubuntu. Le navigateur associé est aussi FF (Firefox). C’est particulièrement vrai dans le milieu scientifique.

    #3 Google Chrome.

    Autre choix alternatif, il a capitalisé sur une interface plus minimaliste (fidèle à l’interface du moteur d’origine), très rapide (au départ)  intégrant dans un seul champ la barre d’adresse et le moteur. Là encore le public concerné est fait de particuliers, avec une utilisation du navigateur moins intense du fait que les extensions du navigateur et sa flexibilité sont moindres. Les « geeks » ne sont pas non plus convaincus de cette solution semble-t’il, et les habitudes n’en sont qu’en partie responsable. Il y a une méfiance justifiée relative au modèle économique de google qui laisse à penser en utilisation quotidienne qu’il se comporte en spyware à but commercial. Les veilleurs et en particulier les professionnels du référencement le fuient comme la peste à cause de résultats complètement biaisés (par l’utilisation du compte google, adresse gmail etc. importance outrancière donnée aux réseaux sociaux internes…) et de l’impossibilité de passer facilement en recherche internationale. Chrome prends 16.45% du marché.

    #4 Safari et Opera, navigateurs Macintosh.

    Second fournisseur du marché de la micro-informatique, Macintosh propose des machines mieux « finies », performantes, plus fiables et design, et se destinent surtout aux professionnels des arts, de la mode, de la communication… Safari est son navigateur Natif, ce qui explique sa part du marché de 5.31%. Opera (1.74%) peu connu est un navigateur alternatif né également sur macintosh mais aujourd’hui disponible sur windows et Linux.

    #5 Les raretés : Des navigateurs très confidentiels, comme Maxthon.

    Se taillant la part du microbe (0.46% du marché en Europe), quelques navigateurs sont des alternatives exotiques, non sans mérites.

    On ne les citera pas tous, mais existent dans cette « face cachée » du web, Lunascape, Browsar, SlimBrowser, Camino, K-meleon, XB Browser, Flock, Ibrowser, Ikab, SeaMonkey, Stainless, Sunrise, et  Shiira (ces derniers basés sur un framework open source spécifique à Mac OS), … ou bien Maxthon (testé ici) qui est un dérivé du Chinois d’IE. Les partenariats Microsoft-Baidu (le moteur de recherche filtré Chinois) ont permis d’en faire un des navigateurs les plus utilisés en Chine.

    Source TNW (The Next Web)

    Source : TNW (The Next Web)

    PERFORMANCES Comparées :

    Du plus au moins gourmand, en mégaoctets constatés  dans le gestionnaire de tâches. Essai effectuée sur la base de l’OS Windows XP (le plus courant), sur un seul onglet, avec un même site internet riche graphiquement et faisant appel à des scripts jquery (javascript).

    #1 : Maxthon : de 115 à 150 mo (stabilisés avec 10 onglets).

    #2 : IE8 : 120-140 mo (stabilisés)

    #3 : Opera : 122 mo (stabilisés)

    #4: Firefox : 203 mo (stabilisés)* Commence à 170-180

    #5: Safari :  210 mo (stabilisés)** Commence à 130 mais l’utilisation de webkitprocess fait vite monter ce chiffre.

    #6: Chrome : 322 mo.

    On le voit, IE8 est de manière surprenante plus « léger » que la concurrence, toutefois, il reste en retard par rapport aux évolution du web, qu’il s’agisse de javascript avancé (jquery), de flash, java, et autres applications et ne respecte pas les standards du W3C, donnant un affichage des sites internets souvent aléatoire, voire des bugs. Sur le plan de la sécurité c’est, sans surprise, la plus mauvaise note. La communauté des hackers l’a prit pour cible depuis longtemps et traque ses failles; il rend de ce fait l’usage de pare-feu supplémentaires indispensables.

    A ce jeu, Maxthon semble immunisé. Ce type de navigateur reste encore trop confidentiel (à l’ouest). Il est également assez peu gourmand au niveau de la création de nouveaux onglets : 120 mo stabilisés avec 10 onglets, c’est une des meilleurs performances de cet essai. En revanche, ses performances d’affichages et interprétations du W3C se rapprochent d’IE8, ce qui est normal vu sa parenté, et les mêmes problèmes relatifs au W3C apparaissent.

    Opera est également léger et sans surprise. On est pas forcé d’être un utilisateur de Mac pour l’adopter par ailleurs. De manière indicative, il monte à 530 mo pour 10 onglets.

    Safari serait le navigateur idéal si son gestionnaire d’applications flash/jquery, webkit2process n’était pas aussi gourmand en ressources. Assez sûr, simple, respecteux des standards et rapide, il souffre néanmoins d’une gestion des onglets  relativement gourmande (10 onglets), deux processus safari totalisant 150 mo et webKit2Process 260-280 mo. Soit au total près de 400 mo… Cette dernière application est intrinsèque et ne peut être « terminée » sans provoquer un arrêt du navigateur.

    Chrome obtient la plus mauvaise note de performance, toutefois pour un usage « frais » (première installation, pas de compte google), il relativement reste aussi léger que ses concurrents, et le reste en l’optimisant. Au niveau de ses performances face à des scripts complexes et gourmands, il répond bien et vite (plus que mozilla). La multiplication des onglets n’obère pas trop  sur la part prise par l’ensemble, mais ses « dépendances » démasquées dans le panneau de gestionnaire des tâches n’est ni forcément indispensable, ni forcément évident à supprimer. Niveau sécurité il est également efficace. Toutefois après une utilisation soutenue (quotidienne et intensive) son système de cache fait qu’il peut-être particulièrement lent à répondre (non-utilisé pendant 2 heures, il peut mettre 1.30 min et plus en tapant une requête ou en créant un nouvel onglet !). Ce n’est pas -et loin s’en faut- le navigateur préféré des référenceurs à cause de ses résultats trop personnalisés même lorsque l’on est pas connecté. Les veilleurs ont un peu moins de préventions quoique le poids de ces filtrages personnels obèrent clairement les résultats, en revanche il est utile d’utiliser des opérateurs booléens directement en barre d’adresse.

    Firefox reste le navigateur fétiche des référenceurs et veilleurs, si toutefois ils parviennent à tirer profit de leurs options pour disposer d’un google « neutre ». C’est le plus riche en possibilités et le plus souple et personnalisable, et il reste sûr du fait que les hackers militent pour l’open-source… Toutefois, la multiplication des onglets nuit à ses performances. On peut facilement dépasser un go avec dix onglets au contenu riche et dynamique.  Tout comme Chrome, il est également beaucoup plus stable qu’IE. L’extension flash est relativement gourmande en ressources.

    JEC 2013 : Nouveau Rapport de Veille Salon

    10 Avr 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon

    JEC Composite Europe France 2013Comme les 4 années précédentes, le JEC composite Show, qui se tenait à Paris Nord Villepinte  à reçu en 2013 la visite d’un veilleur de VIEDOC pour Veille Salon, qui a débouché sur la rédaction d’un rapport de veille complet de 21 pages (en anglais). Le rapport analyse les innovation des matériaux composites présentes et les tendances du domaine au travers notamment de 6 acteurs majeurs présent au salon : Arkema, Henkel, Owens Corning, Fokker Aerostructures, BMW Group et Zodiac Recrational…

    Un rapport de veille que vous pouvez retrouver sur veille salon

    Le sommaire du rapport JEC 2013.