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PCD 2013

20 Fév 2013, Posté par adminviedoc dans Veille Salon
Résumé PCD 2013: Cette annee, le PCD & l’Aerosol Forum ont une fois de plus été « the place to be » à Paris des acteurs de la cosmétique. Ces deux événements qui se déroulent désormais en parallèle permettent aux visiteurs d’avoir un aperçu complet des derniers développements packaging de leur secteur. Les deux tendances fortes de cette année ont été sans surprise le respect de l’’environnement avec le développement des solutions Airless qui permettent de limiter le recours aux conservateurs, les plastiques bio-sources, l’’arrivée des aérosols en plastique et les solutions de décors plus flexibles comme les manchons et le In-Mold-Labelling. L’’autre tendance pour le packaging cosmétique est encore et toujours la practicité avec les emballages 2-en-1 qui se sophistiquent..

Tags :Environnement, airless, tube, flacon, aérosol, in-mold-labelling, sleeve, PET, bio-sourcé, résine, aminoplaste, Bag-on-Valve, BOV, Bag-in-Can, BIC

Langue: Français – 30 pages • Sommaire PCD 2013

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     En béta test depuis le début de l’année, RSS Environment est le dernier né de nos outils de veille thématiques.

    Aujourd’hui totalement opérationnel et comptabilisant d’ores et déjà plus de 250 sources d’informations qualifiées dans le domaine environnemental, RSS Environment dispose des dernières fonctionnalités issues de la nouvelle version* de notre concept d’outils de veille multidomaines thématiques RSS Sourcing, à savoir :

    – Un sourcing international 100% qualifiés et classé selon une segmentation précise

    – Une plateforme de surveillance personnalisable

    – Un moteur de recherche sans bruit pour ne plus être noyé par des informations non pertinentes

    – Un système de gestion et de diffusion d’alertes paramétrables pour recevoir par mail toutes nouvelles actualités répondant précisément à vos centres d’intérêt

    – Une surveillance des événements et des offres d’emploi dans le domaine

    Que ce soit pour rester au fait de l’actualité réglementaire, s’informer des nouveautés dans le domaine du développement durable, suivre les tendances en matière d’environnement, être alerté sur les nouvelles concernant la problématique de pollution de l’air et de l’eau… une solution existe désormais.

    Et cette solution, à la fois simple d’utilisation et performante, s’appelle RSSEnvironment !
    Pour tester l’ensemble de ces fonctionnalités, nous vous offrons 1 mois d’essai gratuit.rssenvironment

    Pour cela, il vous suffit de vous inscrire sur http://www.rssenvironment.com/reg-plateforme.php .

    Au plaisir de vous voir prochainement sur RSS Environment…
    * La nouvelle version de nos outils thématiques RSS Sourcing, disponible d’ores et déjà sur les domaines de l’automobile, de la cosmétique, du packaging et de l’environnement sera déployé dans les prochaines semaines sur les autres thèmes couverts (le maritime, l’aéronautique, le textile, l’agroalimentaire, les matériaux). Plus d’informations sur www.rss-sourcing.com

    RSS cosmetic

    Notre présence au salon PCD/Aerosol Forum & Dispensing 2013 les 6 et 7 février à été pour l’équipe Viedoc l’occasion de présenter en avant première la nouvelle version de nos outils de veille thématiques RSS Cosmetic et RSS Packaging à l’ensemble des acteurs de la filière packaging.

    Riche d’un panel contenant désormais plusieurs centaines de sources qualifiées et soigneusement catégorisées, la nouvelle version de nos outils de veille dédiés à la cosmétique et au packaging intègre de nouvelles fonctionnalités telles que l’alerte mail, un moteur de recherche 100% sans bruit, une page d’accueil personnalisable…

    Résolument centrée sur l’utilisateur final, cette nouvelle version à la fois très simple d’utilisation et immédiatement opérationnelle vous apporte les moyens de :

    • Surveiller en temps réel plus de 250 sources qualifiées dans votre domaine…
    • Diffuser les informations les plus pertinentes d’un simple clic.
    • Construire vos propres tableaux de bord
    • Suivre vos sources préférées en un lieu unique de consultation
    • Rechercher dans les archives via un moteur 100% sans bruit
    • Rester alerté par mail de toutes actualités répondant à vos centres d’intérêt.

    Déjà disponible sur les domaines de l’automobile et de l’environnement (le « petit nouveau » de nos outils multiclients) depuis le début de l’année, cette nouvelle version sera déployée sur les autres thématiques (matériaux, textile, maritime, aéronautique, agroalimentaire) prochainement.

    Enfin, en venant nous rendre visite sur le stand N05, vous pourrez également assister à une démonstration de notre plateforme de veille collaborative sur mesure, RSS Intelligence, le dernier né de nos développements.

    Toute l’équipe Viedoc est présente cette année au PCD / Aerosol Forum & Dispensing2013 qui se tient à Paris, Porte de Champerret les 6 et 7 février.

    A cette occasion, Bruno Galimand, directeur de la société Viedoc aura le plaisir d’animer un atelier conférence sur le thème de la veille technologique au service de l’innovation.

    De plus, comme pour les éditions précédentes, un consultant Viedoc dans le cadre du service Veille Salon (1er service professionnel de veille évenementielle) fera le tour des exposants afin de détecter les innovations présentes et les dernières tendances.

    Toutes les informations collectées seront capitalisées dans un rapport disponible vers la fin février sur le site veillesalon.com.

    Pour télécharger le rapport de l’édition précédente, rendez vous sur : http://www.veillesalon.com/fr/rapports-veille-salon.html.

    D’autres rapports sont également consultables en ligne gratuitement.

    Retrouvez nous sur le stand N05 pour découvrir nos prestations et nos outils de veille dédiés au domaine du packaging et de la cosmétique…

    Les salons Mobile IT & Big data se sont tenus les 23-25 octobre 2012 à Paris – Porte de Versailles. Bien que les visiteurs et exposants pensaient aux coupes drastiques des budgets consacrés aux technologies de l’information dans leurs entreprises, de nombreuses innovations ont vu le jour. Tout d’abord, avec l’arrivée des smartphones et des tablettes, on assiste à une révolution dans la gestion de la mobilité professionnelle, notamment par le phénomène de gamification des applications afin de rendre ludique l’utilisation de logiciels professionnels. Au niveau des infrastructure, l’explosion du poids des données ces dernières années a donné naissance au concept de Big Data. Il faut avoir accès rapidement à des gros volumes de données de natures diverses, pour créer de la valeur ajoutée exploitable commercialement. L’environnement Hadoop qui permet de gérer les ressources de manière flexible est très vogue, mais le secteur Big Data évolue très vite en ce moment.

    http://www.veillesalon.com/rapports-doc/mobileIT/Rapport_veille_salon-MobileIT&BigData

    Dès le premier jour du salon Emballages, qui ouvre ses portes lundi 19 novembre, Viedoc sera sur place pour y faire de la veille salon. Ce sera en effet pour nous l’occasion de sentir les tendances du packaging et découvrir de nouveaux acteurs, mais aussi de détecter des innovations produits, process et services que nous consoliderons ensuite sous la forme d’un rapport. Pour une veille salon sur mesure ou si ce rapport vous intéresse, n’hésitez pas à prendre contact avec nous ou à aller sur notre site www.veillesalon.com.

    Mobile IT & Big Data

    25 Oct 2012, Posté par adminviedoc dans Veille Salon
    Résumé: Même si de l’’aveu même des organisateurs, les salon Mobile IT et Big Data n’a pas attiré beaucoup de visiteurs et que les grands du milieu comme Orange, SFR, Bouygues, Free pour les télécoms ou comme Intel, Dell, IBM pour les Big Data étaient absents, les conférences techniques et sociétales sur l’’évolution de ces secteurs ont connu un vif succès. Bien que visiteurs et exposants parlent ouvertement de chutes des budgets dédiés aux technologies de l’’information, certains secteurs affichent cependant une santé de fer. Les fabricants d’’équipements et développeurs de téléphonie de nouvelle génération, ou les hébergeurs, pour ne citer qu’’eux. On assiste particulièrement à des innovations florissantes dans le domaine des smartphones avec un grand nombre de jeunes sociétés, spécialisées dans les solutions professionnelles mobiles. L’’arrivée des smartphones et des tablettes révolutionne la mobilité en entreprise. L’’utilisation judicieuse des interfaces venant de l’’industrie des jeux vidéos apporte un côté ludique aux applications, qui permet une meilleure appropriation par les utilisateurs. On parle donc de «gamification», phénomène amené à exploser commercialement à très court terme.

    Les conférences sur le Big Data ont amené les visiteurs à découvrir un secteur naissant qui devrait peser très lourd dans le développement des entreprises. On assiste depuis 10 ans à une explosion du poids des données. Le stockage de données est une problématique coûteuse pour les entreprises, mais ces données sont encore relativement peu exploitées. L’’idée des big data est de créer de la valeur ajoutée à partir des données de nature très diverses. On raisonne désormais en flux, échange, collaboration plutôt qu’’en stockage. On ne classe rien mais on retrouve tout. Le Big Data (à partir de 10 To de données) est en train de révolutionner les infrastructures dans les technologies de l’’information. Les environnements comme Hadoop permettent d’’avoir une grande souplesse dans les ressources et de s’’adapter à la masse de travail en ajoutant en parallèles des serveurs peu coûteux. Par ailleurs depuis 2013, on assiste à l’utilisation des big data en vue de faire du Predictive Marketing, en utilisant les relations entre des tombereaux de données pour cerner au mieux le profil de clients et maximiser le taux de transformation.
    Le Big Data a déjà généré un chiffre d’’affaires de 17 milliards de dollars en 2011 et on estime que ce chiffre doublera d’’ici 2016. Le grand débat avec la finesse d’’exploitation des big data va être où placer le curseur entre la transparence des données et le respect de la vie privée des citoyens..

    Tags : big data, stockage, données, valorisation, géolocalisation, mobilité, smartphone, serveur, Hadoop

    Langue: Français – 36 pages • Sommaire

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      Veille Salon à IT Convergence

      25 Oct 2012, Posté par T. Perran dans Veille Salon

      Ip Convergence Veille salon est en ce moment à IP Convergence – Le salon des réseaux et télécoms, dans le but de faire la lumière sur les évolutions et innovations dans le domaine très actif et réactif des télécommunications, réseaux, cloud et applis mobiles. Un rapport de veille complet sur cet évènement sera disponible prochainement sur Veille salon.

      Le site : http://www.ipconvergence.fr

      Les nouveaux enjeux du référencement

      12 Oct 2012, Posté par D. Bocquelet dans Digital

      Recadrons le sujet :

      « Le référencement est l’ensemble des actions techniques visant à promouvoir un site internet »:

      C’est une définition à nuancer.

      Le « technique » est là pour faire la différence avec de la publicité, ou du marketing. Toutefois, c’est aussi incorrect, car une bonne partie du référencement n’est justement pas « technique ». Et cela reflète parfaitement la situation actuelle. Qu’en dit wikipedia ? : « techniques visant à apporter un maximum d’informations concernant le contenu d’une page web aux robots d’indexation des moteurs de recherche. »

      En réalité le référencement (SEO en anglais) est une nébuleuse reprenant des éléments communs à d’autres actions visant, de manière globale, à faire connaître un site internet. Et son évolution, depuis une bonne quinzaine d’année a été spectaculaire : Il démarrait jadis avec une simple optimisation (au temps où les utilisateurs de Wanadoo se comptaient sur les doigts d’une main et beaucoup ne juraient (et croyaient encore) au minitel, à une suroptimisation parfois grossière et à présent totalement archaïque (comme le keyword stuffing)…

      Il est ensuite passé par une phase d’expansion (on dira même d’explosion) du temps de la première bulle internet, fin 1990-début 2000, lorsqu’il était « in » d’avoir son propre site, sans se préoccuper d’interactivité (ce qu’on appelle aujourd’hui le « web 1.0 »). A cette époque, le terme de « référenceur »  et de « référencement » n’était plus connu des seuls initiés, mais toutes les agence de communications qui se lançaient dans le web en avaient au moins quelques notions. Un certain moteur de recherche, Google, était encore peu connu (arrivé en France en 1999). Puis 2010, la seconde bulle internet, qui ne prend sa pleine ampleur que vers la fin de 2011.

      Aujourd’hui, Google règne (toujours) en maître sur le paysage mondial et particulièrement Français de la recherche internet. Beaucoup se demandent encore si faire un site qui plaît seulement aux internautes suffit. Erreur.

      Car avant qu’un site internet soit vu par des êtres humains, il doit être « poussé » par les robots au seul niveau efficace des résultats de recherche : La « ligne de visibilité ».

      Dans la pratique il s’agit toujours de la zone allant de la première à la 30 position sur la requête recherchée (soit la troisième page sur google).  Les non-professionnels de la recherche internet s’acharnent rarement au-delà. Quand aux veilleurs et autres professionnels de la recherche, ils connaissent les formulations et opérateurs leurs permettant un accès au « web profond » (au delà de cette « ligne de visibilité ») et se placent d’emblée hors de ce classement. Ils sont toutefois une claire minorité, joints par des geeks connaissant aussi des « hacks » de recherche. Les règles du marketing grand public les ignorent donc.

      Veille et référencement aujourd’hui se répondent en effet sur la masse considérable de sites internet consultables du web (plus de 582 716 657 à ce jour (source: netcraft)). Le web « visible » n’a fait, sur chaque requête, que reculer, rendant la tâche de recherche de plus en plus difficile, ainsi que celle du référenceur.

      La logique de prise d’information et celle des impératifs rentabilité et marketing se téléscopent ainsi et depuis quelques années ont fini par rendre l’utilisation d’outils de filtrage et de crawl complémentaires. Une nécessité pour bien des entreprises effectuant de la veille.

      Si on ajoute au matraquage publicitaire via des services comme google adwords, les pratiques « limites » (aujourd’hui sanctionnées par Panda) comme les fermes de liens qui n’apportant aucun contenu, ou encore les résultats commerciaux qui (volontairement) brouillent les résultats « naturels », le travail du référenceur lambda, au budget limité, ne s’en trouve que plus ardu.

      Aujourd’hui la profession de référenceur n’est plus inconnue de l’état ni des services publics en général, ce qui est un minimum s’il on songe à faire carrière et à s’y spécialiser. C’est même devenu un ensemble de spécialités, compliquant encore l’organigramme de l’équipe qui se cache derrière un webmaster. Le temps où le webmaster au singulier est bien révolu. Il faut en effet être à la fois webdesigner (codeur CSS et infographiste – deux cultures totalement différentes), Ergonome, Développeur (avec des spécialités qui se comptent par dizaines), Marketeur graphiste (communication), et rédacteur, et enfin référenceur (c’est à dire à la fois codeur sémantique, mapper, rédacteur SEO, linkeur, expert SEO social…).

      Les fondamentaux sont toujours là (et encore plus après le lâcher de la ménagerie Google), du contenu, encore et toujours, faire un site « dans les guidelines google » c’est à dire faits pour les internautes. Le message de Google étant toujours de ne pas se préoccuper de leur robot crawler. Or,  les impératifs du moment pour les « grands comptes » imposent les premières places, quelque en soient les coûts. La guerre économique à depuis quelques années investi la scène internet, et les référenceurs s’y sont retrouvés en première ligne. Ce n’est pas pour rien qu’on parle aujourd’hui du remplacement du chef de projet webmaster (à l’ancienne, c’est à dire 70% codeur, 20% webmaster, et 10% référenceur), par un chef de projet SEO. L’évidence est qu’actuellement, le référencement supplante tous autres aspects du sites internet, et pour cause. Avec une telle masse d’information, la seule manière de parvenir aux premières places, de manière « naturelle », est bel et bien de confier le projet à un coordinateur issu du monde du SEO: Un site internet est fait de compromis et d’équilibrages.

      Souvent la voix la plus forte (client, principal investisseur ou département marketing) n’était pas la mieux placée sur ces questions. Cela a durant des années fait les affaires de agences spécialisées en refonte de sites internet. Car sur les centaines de million de sites web, les plus anciens ont déjà changé presque entièrement plusieurs fois. Les « changements » d’un site web sont bien sûr avant tout de contenu « frais », préalable à une bonne réindexation régulière, à des ajustements permanents de différents éléments (pas seulement des retouches techniques) jusqu’à la refonte complète. On n’aurait pas l’idée actuellement de proposer un site entièrement en « flash », qui se se maintient que sur quelques types de sites internet de niche (ex. promotion d’un film). Globalement donc le mouvement a été vers la décrue du « tout graphique » vers un meilleur compromis. De nouvelles technologies javascript par ailleurs, SEO-friendly, ont aidé à cette mutation.

      Le référenceur, au travers ces évolutions et la croissance fulgurante du web, semble être devenu le professionnel-roi d’internet (ou devrait-on préciser « reine » car elle est fortement féminisée), une acception à tempérer toutefois par la condition de bien savoir s’entourer…